vendredi 23 octobre 2020
Crucifixion
mardi 20 octobre 2020
Boys don't cry
samedi 17 octobre 2020
Si tu es une jolie fille et que tu comprends ceci appelle-moi donc ;)
- c'est moi ta salope préférée ? me demande ce matin le message de la fille qui pourrait être ma fille
- Mais oui !!! dis-je
mercredi 14 octobre 2020
Si tu veux une analyse gratuite, tape toi un(e) psy
mardi 13 octobre 2020
tous les incendies qui ravagent la planète
dimanche 11 octobre 2020
assassin
mardi 6 octobre 2020
Branlage cérébral n°245694
Je l'ai déjà dit, ceux qui ont des femmes rêvent de s’évader, ceux qui n’en ont pas rêvent de s’emprisonner, je voudrais jouir dans ta bouche me dis-je en contemplant ton visage derrière ce comptoir, tu es belle, incroyablement belle et tellement jeune, moi je suis vieux et fou et il y a un homme qui t’aime, il y a toujours un homme qui vous aime, ou qui prétend vous aimer, cela n’a pas d’importance, l’étreinte n’aurait pas lieu même si tu étais la plus seule de toutes, je suis devenu trop vieux, tu aimes juste que je te fasse rire pour trouer l’asservissement du travail, tu sais maintenant je ne bois plus et quand je m’endors je sombre dans un sommeil sans rêve, c’est mieux de ne pas rêver, mieux de ne rien espérer, nous ne sommes rien, nous ne sommes que des jouets dans les mains du destin et nous avons créé des Dieux que nous croyons à notre image, des dieux plus cruels que nous et nous appelons chaque faux pas une remise en question et chaque coup bas de l’existence, une épreuve et nous voulons nous croire important mais nous mourrons et nous finissons dans l’oubli, peu importe que pour certains leurs créations restent, ceux qui nous survivent oublient quel personne nous étions, enfants de pute ou saints et nos futiles branlettes comptent pour du beurre, nos branlettes ne sont nuls péchés mortels, et nos crimes, nos lâchetés ne sont consignés nulle part et il n’y nulle jugement, simplement, nous mourrons et ceux qui ont tenu le plus longtemps et sont allés le plus haut ont gagné et le monde continue, le monde fait son bonhomme de chemin et le propre de l’humain, encore et toujours est de se croire indispensable à un univers qui ne se souvient même plus de l’avoir créé et toi tu te fiches de ça, tu bouges avec aisance derrière se comptoir et dans ma tête de dingue, (je suis l’homme à tête de fou), je ne crois pas que je brûlerai d’avoir tant désiré lécher ta chatte au gout que j’imagine incroyablement délicieux.