Tu es comme une goutte
De
Sang
Dans un verre de vodka
Un rouge éclatant
Dans
La
Transparence
De mon monde
lundi 30 mai 2011
dimanche 29 mai 2011
Il y a du sang sur les murs de ma prison mentale
En chien de fusil
sur le sol
à
maltraiter
mon âme
Comme si
je voulais
hurler
avec
une lame
De
Rasoir
Au fond de
La gorge
la
Folie
Courre
Dans mon
cerveau,
Elle se cogne
Aux murs
Ouvrir les yeux
est une
souffrance,
les fermer
un
suicide
Je sais bien
que
le soleil
ne brille jamais
pour les
perdants
sur le sol
à
maltraiter
mon âme
Comme si
je voulais
hurler
avec
une lame
De
Rasoir
Au fond de
La gorge
la
Folie
Courre
Dans mon
cerveau,
Elle se cogne
Aux murs
Ouvrir les yeux
est une
souffrance,
les fermer
un
suicide
Je sais bien
que
le soleil
ne brille jamais
pour les
perdants
Maux d’amour
Il y avait les lumières
De la rue
Qui se reflétaient
Sur ton corps
lequel remuait
doucement
Sur le mien
Et ta
Voix qui murmurait
Fais-moi un Enfant
Laisse toi
Aller en moi,
Ce que j’ai
Fait
l’Enfant
N’est jamais venu
mais ce sont
Les plus beaux
Mots
D’amour
Qu’une femme
Ne m’ait jamais
Dit,
Va savoir
pourquoi
Ce soir
Je pense à
Tout ça
Le temps
A passé
d’autres
Corps
se sont
allongés
près
de
mon
coeur
Tout ça est si loin
Tes dents jaunissent
Tu as coupé tes cheveux
Ta peau
Se ride
Nous finirons par être
Vieux
Nous somme déjà
Deux inconnus
qui se sourient
à peine lorsqu'ils
se croisent
dans la pénombre
de nos
Vies
Je préfère
Que mes souvenirs
S’estompent comme le
Rose du soleil
Couchant
Quand la nuit reprend
Ses droits
De la rue
Qui se reflétaient
Sur ton corps
lequel remuait
doucement
Sur le mien
Et ta
Voix qui murmurait
Fais-moi un Enfant
Laisse toi
Aller en moi,
Ce que j’ai
Fait
l’Enfant
N’est jamais venu
mais ce sont
Les plus beaux
Mots
D’amour
Qu’une femme
Ne m’ait jamais
Dit,
Va savoir
pourquoi
Ce soir
Je pense à
Tout ça
Le temps
A passé
d’autres
Corps
se sont
allongés
près
de
mon
coeur
Tout ça est si loin
Tes dents jaunissent
Tu as coupé tes cheveux
Ta peau
Se ride
Nous finirons par être
Vieux
Nous somme déjà
Deux inconnus
qui se sourient
à peine lorsqu'ils
se croisent
dans la pénombre
de nos
Vies
Je préfère
Que mes souvenirs
S’estompent comme le
Rose du soleil
Couchant
Quand la nuit reprend
Ses droits
mercredi 25 mai 2011
Les boxeurs savent qu’il faut tenir le centre du ring et ne jamais se laisser acculer dans les cordes
J’ai couché avec ce type hier,
dit la jolie
Brune
assise dans
son bain chaud,
on s’est battu pour avoir le dessus,
je lui ai donné des claques
dans la gueule et des
coups de pieds
sur le torse pour
gagner, à la fin
il m'a fait, "je veux jouir dans ta
bouche" et j’ai accepté, mais
j’ai tout gardé et je l’ai
embrassé pour
lui
rendre, puis au retour,
dans sa voiture
j’ai appelé ma copine,
celle qui tient mes comptes,
afin qu'elle le
rajoute
sur ma liste,
et il n'a rien dit
et je pensais
vraiment ne jamais le
revoir tellement j’ai été
méchante
mais il m’a rappelé
tout à l’heure pour savoir
quand on se voyait, c’est
étrange, plus je les
traite comme des
chiens
plus ils reviennent !
C’est pareil avec les femmes
Je réponds en riant,
il ne faut
jamais être gentil, ça ne marche
que comme ça
Elle connaît la vérité
Je la connais aussi
Et tel
Le Peintre fou offrant son oreille tranchée
à une catin prénommée
Rachel
ceux qui ont passé leur vie à courir après un rêve
et finis par s’asseoir sur un rocher, seuls,
pour
verser de brulantes larmes,
toutes leurs larmes
ceux qui se noient dans l’alcool,
Ceux qui s’abrutissent de cachets, de drogues
ceux qui se brûlent dans l’écriture, la peinture
la musique… et jamais n’arrêtent de Créer
avant que la
folie,
ou la mort les
prennent
ceux qui partent au bout du monde chercher
un vain salut
ceux qui se délivrent de leurs propres
mains,
dans le creux de la
nuit
car ils ne peuvent étouffer les
cris
de leurs cœurs
déchirés
Ceux-là
CONNAISSENT la vérité
L’amour est un mensonge
Seule compte la manière de
jouer
dit la jolie
Brune
assise dans
son bain chaud,
on s’est battu pour avoir le dessus,
je lui ai donné des claques
dans la gueule et des
coups de pieds
sur le torse pour
gagner, à la fin
il m'a fait, "je veux jouir dans ta
bouche" et j’ai accepté, mais
j’ai tout gardé et je l’ai
embrassé pour
lui
rendre, puis au retour,
dans sa voiture
j’ai appelé ma copine,
celle qui tient mes comptes,
afin qu'elle le
rajoute
sur ma liste,
et il n'a rien dit
et je pensais
vraiment ne jamais le
revoir tellement j’ai été
méchante
mais il m’a rappelé
tout à l’heure pour savoir
quand on se voyait, c’est
étrange, plus je les
traite comme des
chiens
plus ils reviennent !
C’est pareil avec les femmes
Je réponds en riant,
il ne faut
jamais être gentil, ça ne marche
que comme ça
Elle connaît la vérité
Je la connais aussi
Et tel
Le Peintre fou offrant son oreille tranchée
à une catin prénommée
Rachel
ceux qui ont passé leur vie à courir après un rêve
et finis par s’asseoir sur un rocher, seuls,
pour
verser de brulantes larmes,
toutes leurs larmes
ceux qui se noient dans l’alcool,
Ceux qui s’abrutissent de cachets, de drogues
ceux qui se brûlent dans l’écriture, la peinture
la musique… et jamais n’arrêtent de Créer
avant que la
folie,
ou la mort les
prennent
ceux qui partent au bout du monde chercher
un vain salut
ceux qui se délivrent de leurs propres
mains,
dans le creux de la
nuit
car ils ne peuvent étouffer les
cris
de leurs cœurs
déchirés
Ceux-là
CONNAISSENT la vérité
L’amour est un mensonge
Seule compte la manière de
jouer
mercredi 18 mai 2011
Seules les dingues peuvent m’aimer
Et je suis ici et le ciel
Est rouge
Et le soir
Me vole ma raison
Et les femmes sont absentes
Et l’alcool est comme
De la lave et je me demande
Qui pourrait jouer
Une mélodie bleue
sur le piano
De ma vie
Un matin
Il y a longtemps,
je me suis réveillé
Et ma première pensée
fut
Merde je suis encore vivant
Et je regrettais VRAIMENT
l'échec de ma mise à
mort
Dire qu’un seul cul
a failli m’effacer de ce monde
d’accord
c’était quand même un
joli cul
mais où sont
les autres ce soir ?
j’ai besoin de repos
et de toute façon
Seules les dingues
Peuvent m’aimer
Et il devient dur
De les abuser elles
aussi,
Car même les dingues
Rêvent d’un bon mariage,
D’amour
De maisons
Et de stabilité
la peur de tout perdre
Plus présente chez elles que
Chez d’autres,
Voilà ce qui les rend
folles
Quoi que j’en dise,
Celles-là connaissent mieux
la réalité de l’existence
Et il y a du sang qui coule
Des murs gris
Et les mouches elles mêmes
Evitent de s’y poser
Et les araignées partent
En courant
Mais où est donc passé ma raison ?
Partie avec les bouteilles vides ?
Dans mon cas,
les femmes sont trop
souvent
comme l’alcool
Passée l’euphorie de la nuit,
Le réveil est dur
Mais on ne sait jamais
Il en existe peut-être une plus
Terrible
Que moi
Et ses cheveux couleront le long
De son dos quand elle dira
Prépare toi !
Et elle portera des étoiles
Dans ses yeux
Et sa voix chantera
Lorsqu’elle viendra
Et peu importe
qu’elle
embrasse
mes paupières
afin de
masquer
l'instant
où
elle lèvera le
couteau
Qu’elle porte
le coup droit
au cœur
Et qu’on en finisse
Est rouge
Et le soir
Me vole ma raison
Et les femmes sont absentes
Et l’alcool est comme
De la lave et je me demande
Qui pourrait jouer
Une mélodie bleue
sur le piano
De ma vie
Un matin
Il y a longtemps,
je me suis réveillé
Et ma première pensée
fut
Merde je suis encore vivant
Et je regrettais VRAIMENT
l'échec de ma mise à
mort
Dire qu’un seul cul
a failli m’effacer de ce monde
d’accord
c’était quand même un
joli cul
mais où sont
les autres ce soir ?
j’ai besoin de repos
et de toute façon
Seules les dingues
Peuvent m’aimer
Et il devient dur
De les abuser elles
aussi,
Car même les dingues
Rêvent d’un bon mariage,
D’amour
De maisons
Et de stabilité
la peur de tout perdre
Plus présente chez elles que
Chez d’autres,
Voilà ce qui les rend
folles
Quoi que j’en dise,
Celles-là connaissent mieux
la réalité de l’existence
Et il y a du sang qui coule
Des murs gris
Et les mouches elles mêmes
Evitent de s’y poser
Et les araignées partent
En courant
Mais où est donc passé ma raison ?
Partie avec les bouteilles vides ?
Dans mon cas,
les femmes sont trop
souvent
comme l’alcool
Passée l’euphorie de la nuit,
Le réveil est dur
Mais on ne sait jamais
Il en existe peut-être une plus
Terrible
Que moi
Et ses cheveux couleront le long
De son dos quand elle dira
Prépare toi !
Et elle portera des étoiles
Dans ses yeux
Et sa voix chantera
Lorsqu’elle viendra
Et peu importe
qu’elle
embrasse
mes paupières
afin de
masquer
l'instant
où
elle lèvera le
couteau
Qu’elle porte
le coup droit
au cœur
Et qu’on en finisse
Quelque soit le bar où je me cache elles retrouvent toujours ma trace
Je les connais
Je les vois venir
Elles sont exhibitionnistes
ou
Nymphomanes
Ou
juste folles
Elles allument le
Feu à chacun
De leur pas
En manque d’Amour
En manque de tout,
Elles sont là
Viennent danser
sur mon cœur
Toujours dans les rues
Toujours dehors
Il ne faut ni les attendre
Ni vouloir
Les capturer
C’est toujours moi
Qu’elles repèrent
Toujours à moi
Qu’elles parlent
En premier
Je ne sais pas ce qu’il leur
Manque,
Mais c’est comme
Si je le possédais
Tu es fou
Me disent elles
J’écris des poèmes
Je réponds
Elles éclatent de
Rire
Et les étoiles
Plaident non
Coupable et
Je suis
presque
Sur
Qu’elles se
parjurent
Je les vois venir
Elles sont exhibitionnistes
ou
Nymphomanes
Ou
juste folles
Elles allument le
Feu à chacun
De leur pas
En manque d’Amour
En manque de tout,
Elles sont là
Viennent danser
sur mon cœur
Toujours dans les rues
Toujours dehors
Il ne faut ni les attendre
Ni vouloir
Les capturer
C’est toujours moi
Qu’elles repèrent
Toujours à moi
Qu’elles parlent
En premier
Je ne sais pas ce qu’il leur
Manque,
Mais c’est comme
Si je le possédais
Tu es fou
Me disent elles
J’écris des poèmes
Je réponds
Elles éclatent de
Rire
Et les étoiles
Plaident non
Coupable et
Je suis
presque
Sur
Qu’elles se
parjurent
mardi 17 mai 2011
Comme un pilote d’avion de chasse qui aurait survécu au crash de son appareil
Je me
suis
fait
Abattre
En plein
vol
Une
fois
L’Amour
Tout à
coup
n’était
plus
comme
Boire le
Sang du
Christ
Et trouver
La paix
Eternelle
Celle là
Part fumer
une cigarette
dehors
et je sais
que tous
les
fumeurs
de
l’instant
vont
tenter
de
me
la voler
avant même
que je ne l’ai
eu mais
je
reste
assis
au
comptoir
j’ai un
verre
et on
ne meurt
qu’une
fois
suis
fait
Abattre
En plein
vol
Une
fois
L’Amour
Tout à
coup
n’était
plus
comme
Boire le
Sang du
Christ
Et trouver
La paix
Eternelle
Celle là
Part fumer
une cigarette
dehors
et je sais
que tous
les
fumeurs
de
l’instant
vont
tenter
de
me
la voler
avant même
que je ne l’ai
eu mais
je
reste
assis
au
comptoir
j’ai un
verre
et on
ne meurt
qu’une
fois
La fin de soirée
Je n’ai pas beaucoup
De seins, mais mes fesses
Sont jolies
Dit-elle
Puis elle nous montre
Sa délicieuse
Culotte violette
Je pense que je vais
Très certainement
Tomber très amoureuse de
Mon copain ,
Nous sommes ensemble
Depuis trois semaines
Sinon je t’aurais embrassé
Toi ou lui
Ajoute-t-elle en nous
montrant
du doigt
moi et
un
autre
Je l’abandonne pour aller
Flirter rapidement avec
cette brune
Aux yeux verts
Que je n’avais pas vu
Avant
Puis je reviens
Et nous parlons
En mangeant
De la viande
Et des frites
En guise de
Petit déjeuner
Et j’oublie quel
est le sujet
De la discussion
-surement le sexe ou
l’amour -
Car j’ai vraiment
Beaucoup
Trop bu
Il est sept heures
Du matin
Les gens se lèvent
Pour partir au travail
Nous sommes
mardi
De seins, mais mes fesses
Sont jolies
Dit-elle
Puis elle nous montre
Sa délicieuse
Culotte violette
Je pense que je vais
Très certainement
Tomber très amoureuse de
Mon copain ,
Nous sommes ensemble
Depuis trois semaines
Sinon je t’aurais embrassé
Toi ou lui
Ajoute-t-elle en nous
montrant
du doigt
moi et
un
autre
Je l’abandonne pour aller
Flirter rapidement avec
cette brune
Aux yeux verts
Que je n’avais pas vu
Avant
Puis je reviens
Et nous parlons
En mangeant
De la viande
Et des frites
En guise de
Petit déjeuner
Et j’oublie quel
est le sujet
De la discussion
-surement le sexe ou
l’amour -
Car j’ai vraiment
Beaucoup
Trop bu
Il est sept heures
Du matin
Les gens se lèvent
Pour partir au travail
Nous sommes
mardi
samedi 14 mai 2011
Tu devrais te dépêcher
S’allonger
Près de ta peau
Et caresser ton cœur
Sans doute
Que cela doit
Etre bon
Fou
Divin
Comme
un ciel rose
Et des nuages verts
Une pluie chaude
Un hiver au gout
De guimauve
Mais jamais
Tu n’appelles
et
je connais
L’attrait
De l’alcool
Pour tromper
La solitude
Mais jamais
Tu ne viens
et
moi je sais
Toutes celles
Qui attendent
A chaque coin
De rue
Des histoires
D’Amour
Du sexe sans
Histoire(s)
Des cœurs solitaires
Pour mon âme
farouche
Il y a mes démons
Qui courent
Dans mes veines
Je mords
La vie
Je mords
La vie
Je mords
La vie
et
elle crie
son Plaisir
Tu n’es pas
Là
Tu ne seras pas
Mon amour
je devrais
Hurler à la lune
Ma souffrance et
Ma
Folie
Mais je ne suis pas
De ceux qui
attendent
Je connais
Pas loin
Une brune
Qui cherche
Quelque chose
Que je peux lui
Offrir
Regarde
Je vis les poings
Serrés
Je suis en train de
T’oublier
Près de ta peau
Et caresser ton cœur
Sans doute
Que cela doit
Etre bon
Fou
Divin
Comme
un ciel rose
Et des nuages verts
Une pluie chaude
Un hiver au gout
De guimauve
Mais jamais
Tu n’appelles
et
je connais
L’attrait
De l’alcool
Pour tromper
La solitude
Mais jamais
Tu ne viens
et
moi je sais
Toutes celles
Qui attendent
A chaque coin
De rue
Des histoires
D’Amour
Du sexe sans
Histoire(s)
Des cœurs solitaires
Pour mon âme
farouche
Il y a mes démons
Qui courent
Dans mes veines
Je mords
La vie
Je mords
La vie
Je mords
La vie
et
elle crie
son Plaisir
Tu n’es pas
Là
Tu ne seras pas
Mon amour
je devrais
Hurler à la lune
Ma souffrance et
Ma
Folie
Mais je ne suis pas
De ceux qui
attendent
Je connais
Pas loin
Une brune
Qui cherche
Quelque chose
Que je peux lui
Offrir
Regarde
Je vis les poings
Serrés
Je suis en train de
T’oublier
Toi, quelque part sous les brûlures
He jolie fille
Tu ne voudrais
Pas pisser un peu
D’Amour
Dans ce récipient
Creux et abimé
Que l’on nomme
Mon
Cœur
Hé tu sais,
Je t’ai dans la
Peau
Et je n’aime
Pas ça
Tu sais
J’avais
Dit
Plus
Jamais
Oui
C’est
Vraiment
Tu ne voudrais
Pas pisser un peu
D’Amour
Dans ce récipient
Creux et abimé
Que l’on nomme
Mon
Cœur
Hé tu sais,
Je t’ai dans la
Peau
Et je n’aime
Pas ça
Tu sais
J’avais
Dit
Plus
Jamais
Oui
C’est
Vraiment
Ce
Que
J’
Avais
Dit........
jeudi 12 mai 2011
Le guerrier tombe l’épée à la main
Tu as perdu bien des guerres
Bien des batailles
La plupart
Contre toi-même
ta folie
tes démons
tous tes combats
Ne sont que des incendies
Dans le désert
tes blessures
Saignent
Quand tu te lèves
Sous l’orage
les dieux
attendent que
Tu t’écroules en
Brave
mais
Tu es déjà
Mort
Ils devraient
s’en souvenir
torse
Nu dans le vent
Ce regard
Rempli de sang
Et la folie
Qui coule
Des blessures
Et les morceaux
D’âmes qui
S’enfuient
Dans la tempête
sont ce qui te
rend
dangereux
Le guerrier
tombe
l’épée à la
main
Bien des batailles
La plupart
Contre toi-même
ta folie
tes démons
tous tes combats
Ne sont que des incendies
Dans le désert
tes blessures
Saignent
Quand tu te lèves
Sous l’orage
les dieux
attendent que
Tu t’écroules en
Brave
mais
Tu es déjà
Mort
Ils devraient
s’en souvenir
torse
Nu dans le vent
Ce regard
Rempli de sang
Et la folie
Qui coule
Des blessures
Et les morceaux
D’âmes qui
S’enfuient
Dans la tempête
sont ce qui te
rend
dangereux
Le guerrier
tombe
l’épée à la
main
La blonde aux yeux dorés a dit non
Elle ressemble
A cette pépite
Qu’on cherche
Dans les rivières
Jour après jour
Sous la pluie
La neige
Ou le soleil
De plomb
Ses cheveux sont
Or et ses jambes
Interminables
En secret
Je la tenais caché
Quelque part
Sous ma peau
Depuis quelques
Temps
Mais la blonde aux yeux
Dorés a dit
Non
Elle ne sera pas le vent
Frais
Qui souffle sur mes
Brûlures
Alors
maintenant
Je lui dit
Sors
de ma Peau,
Sors de là
Va ronger l’âme
D’un autre que moi
Un qui t’aimera
moins
Que tu n’appelleras
Jamais magicien
Et qui t’offrira des
Larmes là où moi
Je vole les Rires
Et je lui dis
Sors
et laisse
Moi m’enfuir
Loin de ton humour
Et de ton sourire
Et de tes jambes
Ah tes jambes
Et le doré
De ton regard
Aussi
Je lui dis
pars
Va dévorer un
Autre cœur
Il ne reste
Plus grand chose
Du mien
Pas de quoi
Nourrir une
Lionne comme
Toi,
affamée
Pars
Et fais les tous
Ramper
Ne baisse jamais
Tes yeux dorés
Et soit celle que
J’aurai pu aimer
à en mourir
encore une
fois
Mais, bien
Qu’elle ait dit
Non,
elle
Reste
Planquée
Quelque part
En dedans
sa Jolie Lueur
se dissimule
derrière mes ombres
Je tire à vue
Sur son fantôme
Et pourtant,
je n’arrive
pas
à la chasser
De moi
Et elle
dévore
Ma peau
Et mon
Âme
Et ce cœur
Qui avait promis
de ne plus jamais
battre
l’enfoiré !
A cette pépite
Qu’on cherche
Dans les rivières
Jour après jour
Sous la pluie
La neige
Ou le soleil
De plomb
Ses cheveux sont
Or et ses jambes
Interminables
En secret
Je la tenais caché
Quelque part
Sous ma peau
Depuis quelques
Temps
Mais la blonde aux yeux
Dorés a dit
Non
Elle ne sera pas le vent
Frais
Qui souffle sur mes
Brûlures
Alors
maintenant
Je lui dit
Sors
de ma Peau,
Sors de là
Va ronger l’âme
D’un autre que moi
Un qui t’aimera
moins
Que tu n’appelleras
Jamais magicien
Et qui t’offrira des
Larmes là où moi
Je vole les Rires
Et je lui dis
Sors
et laisse
Moi m’enfuir
Loin de ton humour
Et de ton sourire
Et de tes jambes
Ah tes jambes
Et le doré
De ton regard
Aussi
Je lui dis
pars
Va dévorer un
Autre cœur
Il ne reste
Plus grand chose
Du mien
Pas de quoi
Nourrir une
Lionne comme
Toi,
affamée
Pars
Et fais les tous
Ramper
Ne baisse jamais
Tes yeux dorés
Et soit celle que
J’aurai pu aimer
à en mourir
encore une
fois
Mais, bien
Qu’elle ait dit
Non,
elle
Reste
Planquée
Quelque part
En dedans
sa Jolie Lueur
se dissimule
derrière mes ombres
Je tire à vue
Sur son fantôme
Et pourtant,
je n’arrive
pas
à la chasser
De moi
Et elle
dévore
Ma peau
Et mon
Âme
Et ce cœur
Qui avait promis
de ne plus jamais
battre
l’enfoiré !
Sur la route et ailleurs tu étais mon Amour
On prenait la route
Et je mettais ma main
Entre tes cuisses
Là où c’était toujours
Chaud et humide
pour moi
La musique
D’Anouk
Résonnait
Sur l’autoradio
Tu prenais mon sexe
Dans ta jolie bouche
Et je conduisais
Ainsi
Tu disais que j’étais
Fou
Que tu m’aimais
Et tu étais
Mon Amour
Mon Amour
Mon Amour
Une nuit tu as
Oté tes
Vêtements et
Tu es monté sur
Moi
On était sur
La route
On roulait
Et je ne me souviens
Plus si Anouk
Chantait
Pour nous à
Ce moment là
Mais si elle l ‘avait su,
Elle l’aurait fait
C’était dangereux
Et nous aimions
Ça
Autant que cet Amour
Qu’on faisait
A notre manière
C’était notre liberté
Notre univers
Nos rires
Et nos étreintes
Tu étais mon
Amour
Mon Amour
Et je mettais ma main
Entre tes cuisses
Là où c’était toujours
Chaud et humide
pour moi
La musique
D’Anouk
Résonnait
Sur l’autoradio
Tu prenais mon sexe
Dans ta jolie bouche
Et je conduisais
Ainsi
Tu disais que j’étais
Fou
Que tu m’aimais
Et tu étais
Mon Amour
Mon Amour
Mon Amour
Une nuit tu as
Oté tes
Vêtements et
Tu es monté sur
Moi
On était sur
La route
On roulait
Et je ne me souviens
Plus si Anouk
Chantait
Pour nous à
Ce moment là
Mais si elle l ‘avait su,
Elle l’aurait fait
C’était dangereux
Et nous aimions
Ça
Autant que cet Amour
Qu’on faisait
A notre manière
C’était notre liberté
Notre univers
Nos rires
Et nos étreintes
Tu étais mon
Amour
Mon Amour
Soixante kilos de poule mouillée
Ce type pesait dans les soixante
Kilos
Et il sortait avec une brune
Plutôt mignonne et complètement
Cinglée
Quand leur histoire s’est
Terminée
Il n’a pas compris tout
De suite et
il l’a tabassé
Deux fois,
-Des coups et des larmes
En guise de cadeau
De rupture - et
quand on m’a raconté
ça
Je me suis souvenu
Qu’il ne se battait
Jamais en boite
Mais préférait
courageusement offrir
un verre à ceux
Qui l’emmerdaient
D’après ce qu’il
M’avait expliqué
un jour
Seulement la deuxième
Fois, son ancienne
Petite amie s’était
mise
Avec un autre
Et celui-ci est venu
Un soir
Avec un de ses potes
Et il l’ont chopé
Sur un parking
d’hypermarché
et ils s’en sont donné
à cœur joie
lui mettant des coups
de pieds dans la tête
et bien que je ne cautionne
pas le « deux contre un »
je dois avouer n’avoir
éprouvé aucune compassion
quand on m’a raconté
les bosses qu’il
avait sur le crâne
pas plus que je ne l’ai plains
quand quelques années
plus tard celle qu’il avait
épousé s’est barrée
pendant qu’il bossait
avec sa voiture
son pognon et ses meubles
ne lui laissant en tout
et pour
tout
que le loyer à payer
En tout cas
Et pour autant que je
Sache,
Il n’a plus jamais touché
Celle qu’il avait frappée
Avec tout le courage
De ses soixante
Kilo
Kilos
Et il sortait avec une brune
Plutôt mignonne et complètement
Cinglée
Quand leur histoire s’est
Terminée
Il n’a pas compris tout
De suite et
il l’a tabassé
Deux fois,
-Des coups et des larmes
En guise de cadeau
De rupture - et
quand on m’a raconté
ça
Je me suis souvenu
Qu’il ne se battait
Jamais en boite
Mais préférait
courageusement offrir
un verre à ceux
Qui l’emmerdaient
D’après ce qu’il
M’avait expliqué
un jour
Seulement la deuxième
Fois, son ancienne
Petite amie s’était
mise
Avec un autre
Et celui-ci est venu
Un soir
Avec un de ses potes
Et il l’ont chopé
Sur un parking
d’hypermarché
et ils s’en sont donné
à cœur joie
lui mettant des coups
de pieds dans la tête
et bien que je ne cautionne
pas le « deux contre un »
je dois avouer n’avoir
éprouvé aucune compassion
quand on m’a raconté
les bosses qu’il
avait sur le crâne
pas plus que je ne l’ai plains
quand quelques années
plus tard celle qu’il avait
épousé s’est barrée
pendant qu’il bossait
avec sa voiture
son pognon et ses meubles
ne lui laissant en tout
et pour
tout
que le loyer à payer
En tout cas
Et pour autant que je
Sache,
Il n’a plus jamais touché
Celle qu’il avait frappée
Avec tout le courage
De ses soixante
Kilo
Je suis dans l’arène mais je ne suis pas celui qui porte le brillant pantalon moulant
Je vis dans une petite maison
Sans jamais être sur de
réussir à payer
Mon prochain loyer
Mais en ce moment
J’y parviens
Et cela surprend
Peut-être ma propriétaire
Ou ma banquière
Autant que moi
Les types comme moi
Se suicident ou
Finissent en haut de
L’affiche et j’ai
Préféré jeter tout ce qui
Ressemblait à une corde
De près ou de loin
Je ne suis rien
Et je m’en fous
Je vis dans une petite
Vie
Sans amour
Ni carrière
Ni argent
Et je ne crois plus
Aux femmes
à leurs corps chauds
Et leurs promesses qui
Sont comme du sable qui
Coulerait entre nos doigts
Les femmes de ma vie
Vivent avec l’homme de leur
Vie ou avec un autre,
mon Amour s’est
Trouvé un autre
Amour
et
personnellement
le prix à payer
me semble encore
trop élevé
Je suis seul et
Je m’enfuis
Dès qu’une demoiselle
Un peu trop jolie
pointe
Le bout de ses seins
Trop près de mon
Cœur
Tout ça ne mène à rien
et
La vie ne mène à rien
d’autre
que quatre planches
Six pieds sous terre
Mais
La semaine dernière,
Une blonde aux yeux
Bleu verts de
Vingt ans s’est appuyée
Sur moi.
C’est dingue toutes ces filles
Qui viennent vers toi, tu connais
Que des bombes a-t-elle dit.
Il y avait du respect dans sa voix
Et le mardi d'avant
Une brune avec des seins
Enormes a dit à une blonde
Avec des seins énormes
Que j’étais le meilleur coup
De la ville
Et deux filles très belles
De moins de trente ans
M’ont invité à leurs fêtes
D’anniversaire
La semaine prochaine et
Peut-être
Que je pourrais finir
Dans le lit d’une
De leurs amies
Car la vie est
ainsi
L’amour n’existe pas
Mais
Le sexe si, et
Il arrive parfois que
le taureau
Reparte avec les
Couilles du torero
Au bout de ses cornes.
Sans jamais être sur de
réussir à payer
Mon prochain loyer
Mais en ce moment
J’y parviens
Et cela surprend
Peut-être ma propriétaire
Ou ma banquière
Autant que moi
Les types comme moi
Se suicident ou
Finissent en haut de
L’affiche et j’ai
Préféré jeter tout ce qui
Ressemblait à une corde
De près ou de loin
Je ne suis rien
Et je m’en fous
Je vis dans une petite
Vie
Sans amour
Ni carrière
Ni argent
Et je ne crois plus
Aux femmes
à leurs corps chauds
Et leurs promesses qui
Sont comme du sable qui
Coulerait entre nos doigts
Les femmes de ma vie
Vivent avec l’homme de leur
Vie ou avec un autre,
mon Amour s’est
Trouvé un autre
Amour
et
personnellement
le prix à payer
me semble encore
trop élevé
Je suis seul et
Je m’enfuis
Dès qu’une demoiselle
Un peu trop jolie
pointe
Le bout de ses seins
Trop près de mon
Cœur
Tout ça ne mène à rien
et
La vie ne mène à rien
d’autre
que quatre planches
Six pieds sous terre
Mais
La semaine dernière,
Une blonde aux yeux
Bleu verts de
Vingt ans s’est appuyée
Sur moi.
C’est dingue toutes ces filles
Qui viennent vers toi, tu connais
Que des bombes a-t-elle dit.
Il y avait du respect dans sa voix
Et le mardi d'avant
Une brune avec des seins
Enormes a dit à une blonde
Avec des seins énormes
Que j’étais le meilleur coup
De la ville
Et deux filles très belles
De moins de trente ans
M’ont invité à leurs fêtes
D’anniversaire
La semaine prochaine et
Peut-être
Que je pourrais finir
Dans le lit d’une
De leurs amies
Car la vie est
ainsi
L’amour n’existe pas
Mais
Le sexe si, et
Il arrive parfois que
le taureau
Reparte avec les
Couilles du torero
Au bout de ses cornes.
lundi 9 mai 2011
On ramène des brûlures de ses visites en enfer
Ils ne comprennent
Pas ma folie
Mais ils ne voient plus
Qu’elle
Et ils sont là
Tous et Toutes,
à demander doucement
- Pourquoi es tu ainsi ?
Ils n’ont jamais
vu
mes nuits
Et mes jours
- Chaque jour
- Chaque nuit
- Chaque seconde
Quand le feu
Me consumait
Et que le vent
Attisait les
Flammes
Une fille aux
Lêvres roses
m’offre un
Sourire
Et je voudrais
Lui répondre
mais…
Désolé bébé
mon cœur est
une maison
close
où j’ai
enfermé mon
Âme de
Putain
Pas ma folie
Mais ils ne voient plus
Qu’elle
Et ils sont là
Tous et Toutes,
à demander doucement
- Pourquoi es tu ainsi ?
Ils n’ont jamais
vu
mes nuits
Et mes jours
- Chaque jour
- Chaque nuit
- Chaque seconde
Quand le feu
Me consumait
Et que le vent
Attisait les
Flammes
Une fille aux
Lêvres roses
m’offre un
Sourire
Et je voudrais
Lui répondre
mais…
Désolé bébé
mon cœur est
une maison
close
où j’ai
enfermé mon
Âme de
Putain
Presqu’un vieil homme au crâne humide
Entre deux âges
Presqu’un vieil homme
Au crâne humide
Allongé dans un bain
Brulant
Pour tuer le froid
Qui envahit mon
Corps
Avec le ventre qui
Pousse
les cheveux qui
Tombent
Des tatouages qui
Signifient
diverses choses
à mes yeux
Un esprit dérangé
et le désir de ne
Plus connaître
L’enfer
Ne jamais se laisser
Approcher
ne jamais risquer
la capture
Des chattes,
Des culs
Et des seins
Suffiraient
Des corps de
Tueuses au sang
Chaud
Et tant pis
Si celles-ci
ne possèdent ni Âmes
Ni Cœurs
Juste des talons hauts
Et de la lingerie
Rose
Sur des peaux
Douces et parfumées
Qu’elles soient donc
Comme des araignées
Dans des toiles
Aux fils tranchants
Et tant pis
Si
la solitude
Embrasse mon
Cou de ses
venimeuses
Lèvres dès
Qu’elles refermeront
La porte
Les flammes dévorent
Ceux qui tentent
D’apprivoiser le
feu
La folie c’est
croire
Qu’on peut aimer
Deux fois
Presqu’un vieil homme
Au crâne humide
Allongé dans un bain
Brulant
Pour tuer le froid
Qui envahit mon
Corps
Avec le ventre qui
Pousse
les cheveux qui
Tombent
Des tatouages qui
Signifient
diverses choses
à mes yeux
Un esprit dérangé
et le désir de ne
Plus connaître
L’enfer
Ne jamais se laisser
Approcher
ne jamais risquer
la capture
Des chattes,
Des culs
Et des seins
Suffiraient
Des corps de
Tueuses au sang
Chaud
Et tant pis
Si celles-ci
ne possèdent ni Âmes
Ni Cœurs
Juste des talons hauts
Et de la lingerie
Rose
Sur des peaux
Douces et parfumées
Qu’elles soient donc
Comme des araignées
Dans des toiles
Aux fils tranchants
Et tant pis
Si
la solitude
Embrasse mon
Cou de ses
venimeuses
Lèvres dès
Qu’elles refermeront
La porte
Les flammes dévorent
Ceux qui tentent
D’apprivoiser le
feu
La folie c’est
croire
Qu’on peut aimer
Deux fois
samedi 7 mai 2011
Le sang du PoèTe est son encre
brûle
ton
Âme
dans
les
flammes
de
ton
enfer
intérieur
et
couche
tes
cris
de
souffrances
sur
d’immaculés
lits
de
papier
blanc
ton
Âme
dans
les
flammes
de
ton
enfer
intérieur
et
couche
tes
cris
de
souffrances
sur
d’immaculés
lits
de
papier
blanc
vendredi 6 mai 2011
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
cabriolet aux
Sièges blancs
d’un costume noir et d’une
chemise rouge
sang
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
Et d’un mannequin russe
Aux yeux verts
nue sous
Une robe courte en
Train de boire de
la Vodka à
la bouteille
Sur le siège
passager
Et alors
je prendrai
Des photos de nous
En train de dévorer
La Route et nos
Vies
Je déclamerai
Des PoèMes hallucinés
Et fous
En haut
Des montagnes
Je me soulerai sur
Des plages
Désertes
Je vomirai du champagne
Dans les toilettes
Des stations
Services
J’insulterais
tous les uniformes
De toutes les polices
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
et
d’un mannequin russe
Je la veux
Nue Folle et Dangereuse
sous une robe courte
Et donnez lui un revolver
pour qu’elle puisse menacer
De
Me tuer et
Tirer
En l’air tout en versant
Des larmes de
désespoir
Car je l’aurai trompé
avec une Serveuse
ou une Actrice
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
car
l’attitude compte plus
que ce que tu es,
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
car
le Succès c’est la Voiture,
le Fric et la Fille
- Il me faut la Voiture le Fric et la Fille-
Et ici
tous
Diront que
Le Succés a
eu
Ma peau et
Mon âme
Que mon cul
Se tend
Pour un billet
Jaune
Mais l’Amérique
M’adorera et
La traitera de pute
l’Angleterre
s’interrogera
le Japon criera
au Génie
et
la Russie
Fera de moi
Une idole
Et d’elle une icône
Et nous pourrons
vivre à Berlin
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
et d’une beauté russe
aux yeux aussi Verts
Que la folie de l’AMOUR
ultimE
cabriolet aux
Sièges blancs
d’un costume noir et d’une
chemise rouge
sang
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
Et d’un mannequin russe
Aux yeux verts
nue sous
Une robe courte en
Train de boire de
la Vodka à
la bouteille
Sur le siège
passager
Et alors
je prendrai
Des photos de nous
En train de dévorer
La Route et nos
Vies
Je déclamerai
Des PoèMes hallucinés
Et fous
En haut
Des montagnes
Je me soulerai sur
Des plages
Désertes
Je vomirai du champagne
Dans les toilettes
Des stations
Services
J’insulterais
tous les uniformes
De toutes les polices
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
et
d’un mannequin russe
Je la veux
Nue Folle et Dangereuse
sous une robe courte
Et donnez lui un revolver
pour qu’elle puisse menacer
De
Me tuer et
Tirer
En l’air tout en versant
Des larmes de
désespoir
Car je l’aurai trompé
avec une Serveuse
ou une Actrice
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
car
l’attitude compte plus
que ce que tu es,
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
car
le Succès c’est la Voiture,
le Fric et la Fille
- Il me faut la Voiture le Fric et la Fille-
Et ici
tous
Diront que
Le Succés a
eu
Ma peau et
Mon âme
Que mon cul
Se tend
Pour un billet
Jaune
Mais l’Amérique
M’adorera et
La traitera de pute
l’Angleterre
s’interrogera
le Japon criera
au Génie
et
la Russie
Fera de moi
Une idole
Et d’elle une icône
Et nous pourrons
vivre à Berlin
J’ai besoin d’une Rolls-Royce
et d’une beauté russe
aux yeux aussi Verts
Que la folie de l’AMOUR
ultimE
Sur une route d’Espagne
tu as relevé ta jupe
oté
Ta culotte
posé tes jambes
écartées
Sur le tableau
De bord
"Je fais bronzer ma foufoune"
as-tu déclaré
J'ai tendu la main
Pour la caresser
Tout en conduisant de l’autre
Et tu m’as laissé faire
En souriant,
les paupières baissées
Sur tes yeux verts
Le soleil souriait
Et l’été était mon
allié
oté
Ta culotte
posé tes jambes
écartées
Sur le tableau
De bord
"Je fais bronzer ma foufoune"
as-tu déclaré
J'ai tendu la main
Pour la caresser
Tout en conduisant de l’autre
Et tu m’as laissé faire
En souriant,
les paupières baissées
Sur tes yeux verts
Le soleil souriait
Et l’été était mon
allié
Billy Idol a contribué à l’amélioration de ma vie sexuelle
Billy Idol avait
Dit dans une
Interview qu’on
Pouvait baiser
Sur sa musique
Qu’il le savait
Car il avait
Essayé
Et du coup
J’avais mis
Une cassette
Dans le poste
Et toi et moi
On avait tenté
Le coup
Et oui
Effectivement
Il avait raison
Dit dans une
Interview qu’on
Pouvait baiser
Sur sa musique
Qu’il le savait
Car il avait
Essayé
Et du coup
J’avais mis
Une cassette
Dans le poste
Et toi et moi
On avait tenté
Le coup
Et oui
Effectivement
Il avait raison
De la chevrotine dans le crâne de mes démons
Je suis assis
Et la vodka
Ne me manque pas
Il y a des anges
Qui volent
Et dégomment
Les démons
Au fusil à
Canon scié
Pan Pan Pan
Les coups
De feu
Résonnent
Les démons
S’écroulent
Fauchés
Plein vol
Pan Pan Pan
Le sang noir
Coule sur
Les carreaux
Jaunis.
Pan Pan Pan
Encore un au sol
Pan Pan Pan
J’aime ces instants
Où je crois pouvoir
guérir
Et la vodka
Ne me manque pas
Il y a des anges
Qui volent
Et dégomment
Les démons
Au fusil à
Canon scié
Pan Pan Pan
Les coups
De feu
Résonnent
Les démons
S’écroulent
Fauchés
Plein vol
Pan Pan Pan
Le sang noir
Coule sur
Les carreaux
Jaunis.
Pan Pan Pan
Encore un au sol
Pan Pan Pan
J’aime ces instants
Où je crois pouvoir
guérir
La punk rousse avec des taches de rousseurs de ma jeunesse
La plupart ferment les
Yeux
Quand ils devraient ouvrir
Leur gueule,
Mais pas toi, tu as
La tête remplie de combats
Pour la justice,
Tu es habillée en punk
Et tu fais tourner tes
Pétitions que je signe
Au stylo bic
Le plus souvent tu réclames
la libération de prisonniers
politiques
Mandela et d’autres
Incarcérés au nom
De la folie meurtrière
Des hommes,
Rarement des
femmes
Tu es intelligente
Belle rousse et
Folle
Nous avons dix huit ans,
Et je ne t’ai jamais revu
depuis cette époque
là
Le temps a pissé au visage
De notre
Jeunesse mais
Je me souviens de toi
Et je me demande
Si tu as gagné
Quelques unes de tes batailles
Et sans doute que oui
Et le monde est meilleur
Grâce à toi
Juste parce que tu as
Eu le courage
D’essayer
Yeux
Quand ils devraient ouvrir
Leur gueule,
Mais pas toi, tu as
La tête remplie de combats
Pour la justice,
Tu es habillée en punk
Et tu fais tourner tes
Pétitions que je signe
Au stylo bic
Le plus souvent tu réclames
la libération de prisonniers
politiques
Mandela et d’autres
Incarcérés au nom
De la folie meurtrière
Des hommes,
Rarement des
femmes
Tu es intelligente
Belle rousse et
Folle
Nous avons dix huit ans,
Et je ne t’ai jamais revu
depuis cette époque
là
Le temps a pissé au visage
De notre
Jeunesse mais
Je me souviens de toi
Et je me demande
Si tu as gagné
Quelques unes de tes batailles
Et sans doute que oui
Et le monde est meilleur
Grâce à toi
Juste parce que tu as
Eu le courage
D’essayer
mercredi 4 mai 2011
Le sang sur mes coupables mains
Le monde ne chante pas pour
Moi
Ce matin
Ni ce soir
Ni tout à l’heure
Je me souviens
D’un amour
Qui valait le risque.
D’une vie brisée sur
le carrelage blanc du
destin
d’un cœur de cristal en
mille morceaux
brillants
sous un
soleil écarlate
Et les Dieux
Et les Déesses
Et les Anges
Se moquent
Les femmes se moquent
L’oiseau moqueur se
Moque
Ce monde est étrange
Ils voudraient tous être
Des tigres
Et sans doute le sont-ils
Le tigre est un animal qui
Attaque sa proie dans le
Dos
Je me souviens d’un enfant
Qui guettait le sourire
De sa mère
De ses cheveux blonds dans
Le vent et
de sa tête remplie de rêves
(Déjà une méthode pour fuir
ce monde)
Il ne connaissait rien
Du sang sur les murs
Rien du sang
Sur les mains
Moi
Ce matin
Ni ce soir
Ni tout à l’heure
Je me souviens
D’un amour
Qui valait le risque.
D’une vie brisée sur
le carrelage blanc du
destin
d’un cœur de cristal en
mille morceaux
brillants
sous un
soleil écarlate
Et les Dieux
Et les Déesses
Et les Anges
Se moquent
Les femmes se moquent
L’oiseau moqueur se
Moque
Ce monde est étrange
Ils voudraient tous être
Des tigres
Et sans doute le sont-ils
Le tigre est un animal qui
Attaque sa proie dans le
Dos
Je me souviens d’un enfant
Qui guettait le sourire
De sa mère
De ses cheveux blonds dans
Le vent et
de sa tête remplie de rêves
(Déjà une méthode pour fuir
ce monde)
Il ne connaissait rien
Du sang sur les murs
Rien du sang
Sur les mains
lundi 2 mai 2011
Etats des lieux
La raison a fui cette
maison close qu’est
mon crâne
Les murs ne me protègent
Plus
Et mon esprit est une
prison
la Vie griffe ma peau
Et le sang coule
des blessures
Je taillade mon âme
Avec les morceaux de
verre
de ce cœur brisé
Les mouches volent
et
le Soleil semble
inutile
maison close qu’est
mon crâne
Les murs ne me protègent
Plus
Et mon esprit est une
prison
la Vie griffe ma peau
Et le sang coule
des blessures
Je taillade mon âme
Avec les morceaux de
verre
de ce cœur brisé
Les mouches volent
et
le Soleil semble
inutile
Poème pour un Homme qui mérite le bonheur à chacune de ses respirations
Mon père est passé aujourd’hui
Avec son sourire et ses cheveux
Grisonnants
Nous discutons quelques minutes
Puis il repart dans sa voiture
Blanche emportant avec lui
son beau sourire
Et je ne sais toujours pas lui
Dire
Tout cet Amour en
Moi
Etre à nouveau un enfant
De cinq ans
Pouvoir courir,
Sauter dans ses bras
Et dire Papa je t’aime
Avec son sourire et ses cheveux
Grisonnants
Nous discutons quelques minutes
Puis il repart dans sa voiture
Blanche emportant avec lui
son beau sourire
Et je ne sais toujours pas lui
Dire
Tout cet Amour en
Moi
Etre à nouveau un enfant
De cinq ans
Pouvoir courir,
Sauter dans ses bras
Et dire Papa je t’aime
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