tu réclames et d'une langue habile
j'ai le geste parfait pour faire mouiller ta chatte parfaite
ta chatte...
est le délictueux judas par lequel je contemple les tréfonds de ton âme impure
puis te voilà
divin enfer brûlant au bout de ma queue dure
mercredi 27 mai 2020
mardi 26 mai 2020
La brûlante fusion
Au milieu des étreintes et des mésententes, j'ai rêvé de toi cette nuit
et je n'ouvrais pas ta gorge de mes dents jaunies,
et tu ne criais pas encore mais tu gémissais, implorant plus de nous l'un dans l'autre
et tu laissais libre cours à ma folie étrange qui griffe les peaux offertes
Autres lieux, autres discours
tu trouves qu'il fait beau près de moi, la pluie ne t'effraie plus
nous sommes la paradisiaque alternative à nos enfers
Nouveau matin, le soleil est blême, je pense à la blonde aux yeux verts, à ses seins de silicone
à sa peau tatouée, à tous les plaisirs ce que je désire lui infliger
et je sais que tu aurais désiré qu'il en soit ainsi avec toi,
je me souviens de ton goût pour tout ce qui claque, et pour les langues douces, juste là entre tes cuisses
Ils étaient tous chiens pour toi mais c'est la laisse que tu préférais
et j'étais le feu qui réduisait en cendres
le moindre de tes enfers
De tous les soleils, c'est ta lune qui me rendait vivant
je suis la parfaite harmonie de toutes les inavouables ombres qui brûlent dans tes silences
il a fallu tant de temps pour que tu me laisses approches ta peau de pêche
ne comment pas l'erreur de croire que j'en suis reparti
ils étaient tous chiens pour toi, mais c'est la laisse que tu préfères
et j'étais le fou qui marquait ton âme
au fer rouge de l'indicible désir
Nous étions flammes, nous étions passion quand tous vomissaient leurs larmes
et je n'ouvrais pas ta gorge de mes dents jaunies,
et tu ne criais pas encore mais tu gémissais, implorant plus de nous l'un dans l'autre
et tu laissais libre cours à ma folie étrange qui griffe les peaux offertes
Autres lieux, autres discours
tu trouves qu'il fait beau près de moi, la pluie ne t'effraie plus
nous sommes la paradisiaque alternative à nos enfers
Nouveau matin, le soleil est blême, je pense à la blonde aux yeux verts, à ses seins de silicone
à sa peau tatouée, à tous les plaisirs ce que je désire lui infliger
et je sais que tu aurais désiré qu'il en soit ainsi avec toi,
je me souviens de ton goût pour tout ce qui claque, et pour les langues douces, juste là entre tes cuisses
Ils étaient tous chiens pour toi mais c'est la laisse que tu préférais
et j'étais le feu qui réduisait en cendres
le moindre de tes enfers
De tous les soleils, c'est ta lune qui me rendait vivant
je suis la parfaite harmonie de toutes les inavouables ombres qui brûlent dans tes silences
il a fallu tant de temps pour que tu me laisses approches ta peau de pêche
ne comment pas l'erreur de croire que j'en suis reparti
ils étaient tous chiens pour toi, mais c'est la laisse que tu préfères
et j'étais le fou qui marquait ton âme
au fer rouge de l'indicible désir
Nous étions flammes, nous étions passion quand tous vomissaient leurs larmes
vendredi 8 mai 2020
Deux mondes séparés
On nous avait engagé pour la journée et on devait ranger tout un entrepôt à deux
Etudiant en fin de cursus, il savait exactement ce qu'il voulait faire dans la vie
il était là pour se faire un peu d'argent de poche et moi pour payer mes virées la nuit
j'étais un putain de perdant qui était en train de rater le coche
il allait devenir prof de gym
et sans doute a-t-il accompli son rêve depuis longtemps
peut-être marié, 2,1 enfants, divorcé, une pension à verser, famille recomposée
en ce temps-là
Il avait un avenir, je commençais à devenir vraiment bon
pour gâcher le mien
il était sur une putain de trajectoire rectiligne et rien ne semblait destiné
à l'en décrocher
j'étais tout ce qu'il ne voulait pas être
(je suis tout ce qu'il ne faut pas être)
et tous les deux nous le sentions,
mais il était cool
même s'il ne fumait pas et que
les filles devaient raffoler de ses abdos
dans une autre vie, on aurait sans doute pu être potes
mais dans celle-ci,
on a fait la journée sans forcer et
on ne s'est jamais revu
Immense est le fossé qui sépare
l'homme qui voit des ennemis à chaque coin de rue
de celui qui a planifié sa victoire depuis toujours
Etudiant en fin de cursus, il savait exactement ce qu'il voulait faire dans la vie
il était là pour se faire un peu d'argent de poche et moi pour payer mes virées la nuit
j'étais un putain de perdant qui était en train de rater le coche
il allait devenir prof de gym
et sans doute a-t-il accompli son rêve depuis longtemps
peut-être marié, 2,1 enfants, divorcé, une pension à verser, famille recomposée
en ce temps-là
Il avait un avenir, je commençais à devenir vraiment bon
pour gâcher le mien
il était sur une putain de trajectoire rectiligne et rien ne semblait destiné
à l'en décrocher
j'étais tout ce qu'il ne voulait pas être
(je suis tout ce qu'il ne faut pas être)
et tous les deux nous le sentions,
mais il était cool
même s'il ne fumait pas et que
les filles devaient raffoler de ses abdos
dans une autre vie, on aurait sans doute pu être potes
mais dans celle-ci,
on a fait la journée sans forcer et
on ne s'est jamais revu
Immense est le fossé qui sépare
l'homme qui voit des ennemis à chaque coin de rue
de celui qui a planifié sa victoire depuis toujours
jeudi 7 mai 2020
Un jour j'irai à Venise et tu ne seras pas là
tu disais m'aimer et je répondais ne fais pas cette erreur
avec le temps je deviendrai le combat que tu refuses
mais bien sur tu ne m'as pas écouté
ma fuite se révéla ultime
vinrent tes larmes
j'étais la déchirante absence
tu aurais du me croire
je n'ai nulle substance,
il y a des orages dans mes orbites vides
et des déserts là où tu imaginais des forêts
avec le temps je deviendrai le combat que tu refuses
mais bien sur tu ne m'as pas écouté
ma fuite se révéla ultime
vinrent tes larmes
j'étais la déchirante absence
tu aurais du me croire
je n'ai nulle substance,
il y a des orages dans mes orbites vides
et des déserts là où tu imaginais des forêts
Inscription à :
Articles
(
Atom
)