Tu as de nouveaux tes mains
qui tremblent
Souvenir
De toutes les fois
Où tu as hurlé
Perdu pied
Et tu sais
Oui tu sais
Que tu ne veux pas
Retourner
Dans cette enfer
Là
Oui
Tu le sais
Plutôt
crever
vendredi 28 janvier 2011
jeudi 27 janvier 2011
Comme de l’or
Nous avions tout ça et
c’était comme de
l’Or
Qui coulait
Coulait
Entre nos mains
Mais tout ca n’a pas compté
Et, bonnes ou mauvaises
je me fous des raisons
J’ai tout laissé derrière
Je suis plus léger pour avancer
Ce matin c’est la fièvre
qui fait trembler mes mains
La rage et le désir pour un autre corps
J’avale la lumière
Dévore la vie
J’ai tout laissé derrière
Je suis plus léger pour avancer
il ne sert à rien
De compter ses blessures
Avant la fin de la bataille
Le sang se verse
Le sang se boit
Nous avions tout ça et c’était
comme de l’Or
Qui coulait
Coulait entre nos mains
Mais bien sur ,
tout s’est envolé
évaporé avec la fumée des cigarettes
On y était presque, mais presque
ne suffisait pas
Et pour toi comme pour moi
Cela n’a plus d’importance
Le sang se verse, le sang se boit
Il ne sert à rien
de compter ses blessures
c’était comme de
l’Or
Qui coulait
Coulait
Entre nos mains
Mais tout ca n’a pas compté
Et, bonnes ou mauvaises
je me fous des raisons
J’ai tout laissé derrière
Je suis plus léger pour avancer
Ce matin c’est la fièvre
qui fait trembler mes mains
La rage et le désir pour un autre corps
J’avale la lumière
Dévore la vie
J’ai tout laissé derrière
Je suis plus léger pour avancer
il ne sert à rien
De compter ses blessures
Avant la fin de la bataille
Le sang se verse
Le sang se boit
Nous avions tout ça et c’était
comme de l’Or
Qui coulait
Coulait entre nos mains
Mais bien sur ,
tout s’est envolé
évaporé avec la fumée des cigarettes
On y était presque, mais presque
ne suffisait pas
Et pour toi comme pour moi
Cela n’a plus d’importance
Le sang se verse, le sang se boit
Il ne sert à rien
de compter ses blessures
Le Feu
Je me fous des nuits sans amour
De la solitude qui ronge
Le Feu…
Le Feu
Me dévore
Viole mon corps
Me prends
Me brule
J’oublie…
Je laisse le Feu me réduire
En cendres
quand nulle lumière
Ne m’éclaire
De la solitude qui ronge
Le Feu…
Le Feu
Me dévore
Viole mon corps
Me prends
Me brule
J’oublie…
Je laisse le Feu me réduire
En cendres
quand nulle lumière
Ne m’éclaire
jeudi 20 janvier 2011
lundi 17 janvier 2011
Un semblant d’équilibre
Je devrais tout plaquer
Partir et m’enfuir
me cacher
Ou
te trouver et mordre
ton cou
Arracher tes vêtements et ta
carapace
De préjugés afin de marquer ta
nudité
Du sceau de la
passion
Car je suis ainsi
Rempli de violence
dans ma manière de
vivre
Comme dans celle de me
détruire
ma solution
pour
maintenir un semblant
d’équilibre
Partir et m’enfuir
me cacher
Ou
te trouver et mordre
ton cou
Arracher tes vêtements et ta
carapace
De préjugés afin de marquer ta
nudité
Du sceau de la
passion
Car je suis ainsi
Rempli de violence
dans ma manière de
vivre
Comme dans celle de me
détruire
ma solution
pour
maintenir un semblant
d’équilibre
dimanche 16 janvier 2011
Mon âme de putain
Parfois le soir debout devant la vitre
le regard perdu dans un monde que moi seul peut voir
je me demande à quel moment de ma
vie mon âme s’est transformé en putain depuis
quand elle vend son cul à la première venue
et
si la folie qui coule de mes yeux de ma peau
et
de ma bouche tout comme l’étincelle qui court le long de mes doigts fiévreux sont une
conséquence du peu de cas qu’elle fait du faible prix
qu’on lui donne et pourquoi elle ne protège
ni arme
mon cœur mais dieux et diables ne semblent pas
décidés à me répondre de
manière claire et précise et puisque les déesses sont
silencieuses ce serait bien que
mon
téléphone sonne et qu’une avec un corps chaud demande
à passer pour faire l’amour me
griffer et me mordre en hurlant
« bordel c’est bon » avant de fumer une cigarette allongée nue
sur le lit en souriant car moi,
mon âme de putain
et
tout ce que je suis ne l’effraieraient
pas
le regard perdu dans un monde que moi seul peut voir
je me demande à quel moment de ma
vie mon âme s’est transformé en putain depuis
quand elle vend son cul à la première venue
et
si la folie qui coule de mes yeux de ma peau
et
de ma bouche tout comme l’étincelle qui court le long de mes doigts fiévreux sont une
conséquence du peu de cas qu’elle fait du faible prix
qu’on lui donne et pourquoi elle ne protège
ni arme
mon cœur mais dieux et diables ne semblent pas
décidés à me répondre de
manière claire et précise et puisque les déesses sont
silencieuses ce serait bien que
mon
téléphone sonne et qu’une avec un corps chaud demande
à passer pour faire l’amour me
griffer et me mordre en hurlant
« bordel c’est bon » avant de fumer une cigarette allongée nue
sur le lit en souriant car moi,
mon âme de putain
et
tout ce que je suis ne l’effraieraient
pas
Je sais qu’ils tiendront
Contre vents et marées
Contre la vie, la folie et les autres
Ensemble
Main dans la main
Ils tiendront jusqu’au bout
Car ils ont tenu ensemble
Ainsi
Toute la vie
Loin du soleil
Avec pour seules armes
Le regard
qu’ils ont l’un pour l’autre
La certitude qu’ils sont
Fait
L’un pour l’autre
Contre la vie, la folie et les autres
Ensemble
Main dans la main
Ils tiendront jusqu’au bout
Car ils ont tenu ensemble
Ainsi
Toute la vie
Loin du soleil
Avec pour seules armes
Le regard
qu’ils ont l’un pour l’autre
La certitude qu’ils sont
Fait
L’un pour l’autre
vendredi 14 janvier 2011
Océan
Il ne flotte aucune branche d’arbre sur
l’océan noir
de ton regard
Pour m’empêcher de m’y noyer
l’océan noir
de ton regard
Pour m’empêcher de m’y noyer
Fuite
Nous aimerions croire que nous sommes faits pour aimer lorsque tombe la nuit
Rester coller contre un corps mais je connais le gout du sang et dehors il y a
L’aventure et toutes ces rues qui quittent la ville tous ces regards verts qui n’attendent que
L’étincelle et tu devrais me haïr car je ne rêve que de partir et quitter tes
Bras qui si souvent me protègent dans mon sommeil alors que tu n’essaie même pas de
M’enchainer mais juste de me garder moi et mon sourire amusé qui font battre ton cœur à
chaque fois que tes yeux plongent dans les miens et je ne peux que te souhaiter de rire quand
je finirais seul et fou crucifié sur un mur par mes propres démons loin de tout ton amour et de
toutes les fois où tu mords ma peau pour me prouver que je suis vivant
Rester coller contre un corps mais je connais le gout du sang et dehors il y a
L’aventure et toutes ces rues qui quittent la ville tous ces regards verts qui n’attendent que
L’étincelle et tu devrais me haïr car je ne rêve que de partir et quitter tes
Bras qui si souvent me protègent dans mon sommeil alors que tu n’essaie même pas de
M’enchainer mais juste de me garder moi et mon sourire amusé qui font battre ton cœur à
chaque fois que tes yeux plongent dans les miens et je ne peux que te souhaiter de rire quand
je finirais seul et fou crucifié sur un mur par mes propres démons loin de tout ton amour et de
toutes les fois où tu mords ma peau pour me prouver que je suis vivant
Des larmes de sang noir
Il pleut des larmes de sang noir
Sur les pages déchirées de ma vie,
Du chagrin et des pertes
De la solitude
Il pleut des larmes de sang noir
Au creux de mes doigts
Je voudrais hurler
Mais un démon m’étrangle en riant
Mes ongles ne sont pas assez longs
Pour crever ses yeux de cuivre
Je suis comme les autres,
Incapable de regarder la mort en face
Ou de gouter le temps qu’il me reste
Il pleut des larmes de sang noir
Personne n’essuie mes joues
Sur les pages déchirées de ma vie,
Du chagrin et des pertes
De la solitude
Il pleut des larmes de sang noir
Au creux de mes doigts
Je voudrais hurler
Mais un démon m’étrangle en riant
Mes ongles ne sont pas assez longs
Pour crever ses yeux de cuivre
Je suis comme les autres,
Incapable de regarder la mort en face
Ou de gouter le temps qu’il me reste
Il pleut des larmes de sang noir
Personne n’essuie mes joues
L’absente
Encore de la rage au bout des doigts
Du désir au ventre,
Je voudrais mordre ta peau
Mais tu n’es pas là
Il me faut des yeux verts
Et des griffures en guise de caresses
Des baisers au gout de lave brulante
De la drogue en chair et en os
Je pourrai te prendre et te posséder
Puis te laisser là
Pantelante
Sans un seul regard en arrière
Une fois passée
la porte de ta chambre
rose
Mais tu n’es pas là
Et je pourrai presque entendre
Ton rire qui se moque de moi
De là où tu es
allongée
Du désir au ventre,
Je voudrais mordre ta peau
Mais tu n’es pas là
Il me faut des yeux verts
Et des griffures en guise de caresses
Des baisers au gout de lave brulante
De la drogue en chair et en os
Je pourrai te prendre et te posséder
Puis te laisser là
Pantelante
Sans un seul regard en arrière
Une fois passée
la porte de ta chambre
rose
Mais tu n’es pas là
Et je pourrai presque entendre
Ton rire qui se moque de moi
De là où tu es
allongée
mercredi 12 janvier 2011
Ma folie joue pour toi
J’ai perdu mon âme dans des déserts brulants
J’ai noyé mon cœur dans des sables mouvants,
ton sourire
Mon bébé
Troue la solitude
Comme une flamme bleue apaise
le regard du dément
J’ai brulé ma peau dans les cris des soleils
J’ai embrassé la déraison dans des nuits roses
Tes mots
Mon bébé
Sont comme une caresse sur le cœur
D’un marin fou
Ma folie ce soir,
Joue pour toi
J’ai noyé mon cœur dans des sables mouvants,
ton sourire
Mon bébé
Troue la solitude
Comme une flamme bleue apaise
le regard du dément
J’ai brulé ma peau dans les cris des soleils
J’ai embrassé la déraison dans des nuits roses
Tes mots
Mon bébé
Sont comme une caresse sur le cœur
D’un marin fou
Ma folie ce soir,
Joue pour toi
Toujours seul
La mélodie au fond de mon cœur
Est triste et mélancolique
Comme un automne sans amour
Une méche de cheveux sur ton regard
Parfois suffisait
A me faire oublier
Qu’on est toujours
seul
Est triste et mélancolique
Comme un automne sans amour
Une méche de cheveux sur ton regard
Parfois suffisait
A me faire oublier
Qu’on est toujours
seul
Sarabande
Je suis fatigué de saigner sans raison
ce mal de vivre qui me tient au cœur
ronge mes chairs et mes tripes.
Toutes ces fois, où je dois me griffer
Me tuer
Pour hurler
Le feu brule et me dévore
je dois souffler dessus
Pour que jamais il ne s’éteigne
Je ne sais si mes anges sont tristes
Mes démons eux,
Dansent la sarabande
ce mal de vivre qui me tient au cœur
ronge mes chairs et mes tripes.
Toutes ces fois, où je dois me griffer
Me tuer
Pour hurler
Le feu brule et me dévore
je dois souffler dessus
Pour que jamais il ne s’éteigne
Je ne sais si mes anges sont tristes
Mes démons eux,
Dansent la sarabande
dimanche 9 janvier 2011
Souffle
Un démon perché sur ton épaule
Tatoué du signe de la folie
Tu cours encore après un rêve
Un mensonge,
Une chimère,
L’amour
L’amour
L’amour
Mais l’Amour n’existe pas
alors
Chacun de tes rires cache
Un cri de souffrance
Mais il est si facile de lire
Les entailles dans ton cœur de verre
Tous ces soirs où tu hurles sans
Jamais personne pour souffler doucement
Sur tes brulures
La lumière coule de tes yeux
Tatoué du signe de la folie
Tu cours encore après un rêve
Un mensonge,
Une chimère,
L’amour
L’amour
L’amour
Mais l’Amour n’existe pas
alors
Chacun de tes rires cache
Un cri de souffrance
Mais il est si facile de lire
Les entailles dans ton cœur de verre
Tous ces soirs où tu hurles sans
Jamais personne pour souffler doucement
Sur tes brulures
La lumière coule de tes yeux
Le bleu de la nuit
Encore une fois, mes démons
M’ont attrapé de leurs longs doigts
Toute la nuit j’ai dansé
Dans les flammes
Maintenant
Leurs visages rieurs se
Moquent de moi
Ma folie a marqué le point
De leur victoire
Moi,
Mon pire ennemi
Ma santé mentale rongée
Par l’alcool et le bleu de la nuit
M’ont attrapé de leurs longs doigts
Toute la nuit j’ai dansé
Dans les flammes
Maintenant
Leurs visages rieurs se
Moquent de moi
Ma folie a marqué le point
De leur victoire
Moi,
Mon pire ennemi
Ma santé mentale rongée
Par l’alcool et le bleu de la nuit
samedi 8 janvier 2011
M’envoler
Tant de fois
Où dans mon cœur bat
Le désir
D’arracher mon âme
De ce corps
Est-il possible de s’envoler
Dans l’immensité de cette univers ?
Mais penser ainsi, c’est
Oublier
Toutes les fois où il est
Si bon
De gouter une peau
Sucrée,
Meurtrir une croupe
Incendiaire
Caresser du bout des doigts
Ce morceau de vent
Que l’on nomme
Amour
Tous ces instants où la chaleur
Dissout nos peurs
Où dans mon cœur bat
Le désir
D’arracher mon âme
De ce corps
Est-il possible de s’envoler
Dans l’immensité de cette univers ?
Mais penser ainsi, c’est
Oublier
Toutes les fois où il est
Si bon
De gouter une peau
Sucrée,
Meurtrir une croupe
Incendiaire
Caresser du bout des doigts
Ce morceau de vent
Que l’on nomme
Amour
Tous ces instants où la chaleur
Dissout nos peurs
vendredi 7 janvier 2011
Armes fatales
Tu ne devrais pas agiter devant moi
Ton cul
étroit,
Tes seins
énormes
Merde
Ce sont des armes de précision,
mortelles,
Le coup pourrait partir tout
Seul et me perforer le
cœur
En même temps que celui
d’un million d’autres
Victimes
Pas vraiment
innocentes
Ton cul
étroit,
Tes seins
énormes
Merde
Ce sont des armes de précision,
mortelles,
Le coup pourrait partir tout
Seul et me perforer le
cœur
En même temps que celui
d’un million d’autres
Victimes
Pas vraiment
innocentes
mardi 4 janvier 2011
Tu as plus de chance de me trouver dehors
Il ne sert à rien d’espérer que
les jolies putes aux yeux verts
viennent d’elle même
sonner à ta porte
Avec une bouteille de vodka
A la main
Une boite de capotes,
Dans leur sac à main
Voilà pourquoi
Tu as plus de chance de me trouver dehors
Dans le bruit et la fureur
Rongé par mes démons et
Cette sordide peur de la
solitude
les jolies putes aux yeux verts
viennent d’elle même
sonner à ta porte
Avec une bouteille de vodka
A la main
Une boite de capotes,
Dans leur sac à main
Voilà pourquoi
Tu as plus de chance de me trouver dehors
Dans le bruit et la fureur
Rongé par mes démons et
Cette sordide peur de la
solitude
dimanche 2 janvier 2011
Un jour je finirai par grandir
Un jour je finirai par grandir
Et envoyer chier tous ces types qui me
Pompent l’air tout comme ces nanas qui refusent
De me pomper la bite,
Tous ces gens dont je ne sais pas ce qu’il me veulent
mais m’aident à me convaincre
qu’on est tous esclave du fric, que tout s’achète
qu’un joli cul est une arme de destruction massive
que les porte-paroles du Christ ont depuis longtemps repris
son manteau aux pauvres,
et que merde
je devrais peut-être
m’enfuir de là et aller me planquer dans un trou
à rats pour y crever,
de faim, le cœur battant à deux cent,
les yeux remplis de fièvre et de sang tout en pissant
mes tripes et ma rage sur le cul de mon existence
de cinglé
Et envoyer chier tous ces types qui me
Pompent l’air tout comme ces nanas qui refusent
De me pomper la bite,
Tous ces gens dont je ne sais pas ce qu’il me veulent
mais m’aident à me convaincre
qu’on est tous esclave du fric, que tout s’achète
qu’un joli cul est une arme de destruction massive
que les porte-paroles du Christ ont depuis longtemps repris
son manteau aux pauvres,
et que merde
je devrais peut-être
m’enfuir de là et aller me planquer dans un trou
à rats pour y crever,
de faim, le cœur battant à deux cent,
les yeux remplis de fièvre et de sang tout en pissant
mes tripes et ma rage sur le cul de mon existence
de cinglé
Froide
Tes lèvres sont froides comme une pierre tombale
Il ne sort de ta bouche que des mots de
Glace
Tu en veux à la vie en oubliant toutes les fois où
Tu as eu le choix pour finalement
en arriver là
Et moi
Je suis
Assez fou pour espérer
Ne pas te ressembler
Oublier que le destin m’a mis K.O.
Plus souvent qu’à mon tour
Croire que la chaleur de mon souffle
Fera fondre l’iceberg
Qui te sert de cœur.
Il ne sort de ta bouche que des mots de
Glace
Tu en veux à la vie en oubliant toutes les fois où
Tu as eu le choix pour finalement
en arriver là
Et moi
Je suis
Assez fou pour espérer
Ne pas te ressembler
Oublier que le destin m’a mis K.O.
Plus souvent qu’à mon tour
Croire que la chaleur de mon souffle
Fera fondre l’iceberg
Qui te sert de cœur.
Mardi
Elle reçoit mon message de premier de l’an et demande qui je suis elle a donc effacé
Mon numéro depuis longtemps mais quand elle apprend que c’est moi elle semble heureuse
D’avoir de mes nouvelles et je me souviens de son corps chaud son appétit de sexe
Sa manière d’embrasser et de crier et du coup nous nous revoyons mardi cela me fait
Plaisir car c’est une des femmes les plus fortes que je connaisse elle a une manière bien à elle
D’avancer dans le vie de surmonter tous les obstacles de n’en faire qu’à sa tête et souvent j’ai
pensé à ses yeux dorés sa peau sucrée et son rire beaucoup plus vrai que bien des mots
d’amour prononcé par d’autres lèvres venues trop près de moi
Mon numéro depuis longtemps mais quand elle apprend que c’est moi elle semble heureuse
D’avoir de mes nouvelles et je me souviens de son corps chaud son appétit de sexe
Sa manière d’embrasser et de crier et du coup nous nous revoyons mardi cela me fait
Plaisir car c’est une des femmes les plus fortes que je connaisse elle a une manière bien à elle
D’avancer dans le vie de surmonter tous les obstacles de n’en faire qu’à sa tête et souvent j’ai
pensé à ses yeux dorés sa peau sucrée et son rire beaucoup plus vrai que bien des mots
d’amour prononcé par d’autres lèvres venues trop près de moi
Du haut de tes vingt ans
J’ai dit que je savais que je t’énervais
Et du haut de tes vingt ans tu m’as regardé avant de
demander
pourquoi je parlais ainsi
j’ai
répondu
Que j’étais vieux fou et pervers, tout
Ce que tu détestais et que tu étais agacée
car tu ne comprenais
pas
Pourquoi tu avais envie de
moi
Du haut de tes vingt ans tu as souri
Et répondu que j’avais
raison
Lorsque je suis parti, tu as mis ta langue dans ma
bouche
Juste devant la fille qui venait de refuser
De faire de même
Et j’en ai
redemandé
Une autre fois, du haut de tes vingt ans tu as sauté
dans mes
bras
Enroulé tes jambes autour de mes
hanches
Et les gens se sont demandés
Pourquoi
lui?
Plus tard, sur la terrasse de la discothèque
J’ai léché tes seins au milieu de la foule,
déclaré
Que je voulais bouffer ta chatte, là et
maintenant
Tu as commencé à déboutonner ce short noir qui
Moulait si bien ton petit cul rond, Dieux que j’avais
Envie que tu ailles jusqu'au bout, j’aurai
Empli ma bouche de cet abricot au gout mouillé
Mais tu as refermé, emprisonné ton
- Tu es fou, tu vas le faire…
Evidemment …
tu es
Tellement belle du haut de tes vingt ans
avec tes cheveux roux
tes yeux verts remplis d’étincelles, ce sourire affamé
ta peau au gout
sucré
Et bien sur que tu as SEULEMENT vingt ans
Mais je n’ai pas posé un flingue sur ta
tempe
Ni versé quoi que ce soit dans ton
verre
Et depuis trop longtemps je sais
Qu’il faut profiter de l’instant
présent
Et de toutes les fois où la
Vie
Et les jolies filles aux yeux
verts
désirent vous
embrasser
à pleine
bouche
Et du haut de tes vingt ans tu m’as regardé avant de
demander
pourquoi je parlais ainsi
j’ai
répondu
Que j’étais vieux fou et pervers, tout
Ce que tu détestais et que tu étais agacée
car tu ne comprenais
pas
Pourquoi tu avais envie de
moi
Du haut de tes vingt ans tu as souri
Et répondu que j’avais
raison
Lorsque je suis parti, tu as mis ta langue dans ma
bouche
Juste devant la fille qui venait de refuser
De faire de même
Et j’en ai
redemandé
Une autre fois, du haut de tes vingt ans tu as sauté
dans mes
bras
Enroulé tes jambes autour de mes
hanches
Et les gens se sont demandés
Pourquoi
lui?
Plus tard, sur la terrasse de la discothèque
J’ai léché tes seins au milieu de la foule,
déclaré
Que je voulais bouffer ta chatte, là et
maintenant
Tu as commencé à déboutonner ce short noir qui
Moulait si bien ton petit cul rond, Dieux que j’avais
Envie que tu ailles jusqu'au bout, j’aurai
Empli ma bouche de cet abricot au gout mouillé
Mais tu as refermé, emprisonné ton
trésor
- Tu es fou, tu vas le faire…
Evidemment …
tu es
Tellement belle du haut de tes vingt ans
avec tes cheveux roux
tes yeux verts remplis d’étincelles, ce sourire affamé
ta peau au gout
sucré
Et bien sur que tu as SEULEMENT vingt ans
Mais je n’ai pas posé un flingue sur ta
tempe
Ni versé quoi que ce soit dans ton
verre
Et depuis trop longtemps je sais
Qu’il faut profiter de l’instant
présent
Et de toutes les fois où la
Vie
Et les jolies filles aux yeux
verts
désirent vous
embrasser
à pleine
bouche
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