Dans tes yeux
M’ouvrir les veines
Qu’enfin je vibre
vendredi 31 décembre 2010
jeudi 30 décembre 2010
Comme un chien sur une route froide
Tu connais les routes froides
Et les hivers
interminables
Comme un bloc de pierre
Accroché à tes pieds ta
Solitude t’empêche de nager
Tu voudrais hurler
Mais tes poumons sont
noyés
Le temps a passé et la mort
Approche à grands
pas
Tout ce sang versé sur le chemin
Tout ces mots
Tous ces cris
Toutes ces fois où tu as voulu
mordre
Tu baisses la tête et tu attends
Il faudra bien
Que renaisse en toi cette envie ce
besoin
griffer jusqu’au sang,
le visage de ton
existence
Et les hivers
interminables
Comme un bloc de pierre
Accroché à tes pieds ta
Solitude t’empêche de nager
Tu voudrais hurler
Mais tes poumons sont
noyés
Le temps a passé et la mort
Approche à grands
pas
Tout ce sang versé sur le chemin
Tout ces mots
Tous ces cris
Toutes ces fois où tu as voulu
mordre
Tu baisses la tête et tu attends
Il faudra bien
Que renaisse en toi cette envie ce
besoin
griffer jusqu’au sang,
le visage de ton
existence
La lesbienne et le pornographe
Nous sommes au restaurant,
La lesbienne et le pornographe
La même âme
Le même cœur
La même folie
Nous parlons poésie et du joli cul
Des russes aux yeux verts
« Tu sais dit-elle j’aime aussi les blondes maintenant »
Je n’ai rien contre l’idée.
La lesbienne et le pornographe
La même âme
Le même cœur
La même folie
Nous parlons poésie et du joli cul
Des russes aux yeux verts
« Tu sais dit-elle j’aime aussi les blondes maintenant »
Je n’ai rien contre l’idée.
mardi 28 décembre 2010
Lorsqu’elles partent
Il coule du sang de ton regard
On a violé ton âme
Dévoré ton cœur en riant
tu te demandes
Ce qui te rend fou
Tu connais les réponses
Tu refuses de les entendre
Tu cloues ton bonheur
Sur la porte de ton enfer
Personnel
Le room « sévices » t’apporte
tes souffrances sur un plateau
D’argent
Tu voudrais courir au bout du monde
Mais là bas aussi,
Tes larmes videront tes veines
On a violé ton âme
Dévoré ton cœur en riant
tu te demandes
Ce qui te rend fou
Tu connais les réponses
Tu refuses de les entendre
Tu cloues ton bonheur
Sur la porte de ton enfer
Personnel
Le room « sévices » t’apporte
tes souffrances sur un plateau
D’argent
Tu voudrais courir au bout du monde
Mais là bas aussi,
Tes larmes videront tes veines
vendredi 24 décembre 2010
Ne me laisse jamais
Ne me laisse jamais
Trouer ton bonheur
Déchirer ta passion
Pisser dans la bouche
De ton amour
Je suis de ceux qui cassent
Tout
De peur
De tout
Perdre
Ne me laisse jamais
Courir loin de toi
M’évader
M’enfuir
Et si je dois hurler
Alors couvre ma bouche
De tes douces mains
Je suis de ceux qui passent
loin de tout
de peur
de se brûler
s’ils se laissent approcher
de trop
près
Trouer ton bonheur
Déchirer ta passion
Pisser dans la bouche
De ton amour
Je suis de ceux qui cassent
Tout
De peur
De tout
Perdre
Ne me laisse jamais
Courir loin de toi
M’évader
M’enfuir
Et si je dois hurler
Alors couvre ma bouche
De tes douces mains
Je suis de ceux qui passent
loin de tout
de peur
de se brûler
s’ils se laissent approcher
de trop
près
jeudi 23 décembre 2010
Souffrance et passion
Tu éclates continuellement ton cœur
Sur le mur de leurs désirs.
Tu choisis avec circonspection
Ceux qui te briseront
Souffrir c’est ta drogue,
Tu suces sur des banquettes en cuir
Ce que tu avales a le gout amer du chagrin
Tu me demandes de t’aider
Mais le problème c’est ta tête
Qui refuse de réfléchir
Et ton cœur
Qui confond souffrance et
passion
Tu suces sur des banquettes en cuir
Ceux que tu avales se nourrissent de toi
Et tu les laisses
faire
Sur le mur de leurs désirs.
Tu choisis avec circonspection
Ceux qui te briseront
Souffrir c’est ta drogue,
Tu suces sur des banquettes en cuir
Ce que tu avales a le gout amer du chagrin
Tu me demandes de t’aider
Mais le problème c’est ta tête
Qui refuse de réfléchir
Et ton cœur
Qui confond souffrance et
passion
Tu suces sur des banquettes en cuir
Ceux que tu avales se nourrissent de toi
Et tu les laisses
faire
Caresser ta bouche
Je pourrais parfois venir
Embrasser ton cou,
Caresser ta bouche
Te dire que je t’aime
Mais tu me connais,
Je déteste mentir
Embrasser ton cou,
Caresser ta bouche
Te dire que je t’aime
Mais tu me connais,
Je déteste mentir
mercredi 22 décembre 2010
Le souffle chaud d’une putain sur le bout de ma queue
Il arrive que la solitude noie mon cœur
Mon âme et mes yeux
Emporté par le besoin d’une autre
Je me demande si je pourrai
Simuler le grand Amour
Comme si de rien n’était
Avec une qui, jour après jour
Resterait une inconnue
Où si parfois, j’aurais besoin
Du souffle chaud d’une putain sur le bout de ma
queue
Pour tenir le
coup
Mon âme et mes yeux
Emporté par le besoin d’une autre
Je me demande si je pourrai
Simuler le grand Amour
Comme si de rien n’était
Avec une qui, jour après jour
Resterait une inconnue
Où si parfois, j’aurais besoin
Du souffle chaud d’une putain sur le bout de ma
queue
Pour tenir le
coup
Cher Monsieur Dan Fante
Cher Monsieur Dan Fante,
Je ne prend pas la plume pour vous ennuyer
Avec ce que j’écris où mon évident manque de
talent,
Mais pour vous remercier
Pour toutes les fois,
Où vous posez sans tricher
Vos tripes sur le
papier
Avant de vomir votre alcool et vos souffrances dessus
Pour ensuite colorier le tout avec le rouge du sang
versé
Dans les rues grises de L.A à New York,
Dans des amours
impossibles
Sous la pluie froide ou le soleil insensible,
Sur des canapés crasseux ou des sièges en cuir
Pour toutes les fois où votre rage et votre obstination vous
poussent
A graver sur la page blanche chacune des entailles de votre cœur
ces moments où la vie vous a découpé en morceaux saignants
Avec un scalpel rouillé à la lame émoussée sans aucun
états d’âme
Vous ouvrez la route selon votre désir
parfois à coup de
machette,
Parfois avec la précision d’un horloger suisse
sobre,
Nous goutons votre sang et
Vous nous enseignez le
courage
D’autres viendront grâce à
Vous
Je ne prend pas la plume pour vous ennuyer
Avec ce que j’écris où mon évident manque de
talent,
Mais pour vous remercier
Pour toutes les fois,
Où vous posez sans tricher
Vos tripes sur le
papier
Avant de vomir votre alcool et vos souffrances dessus
Pour ensuite colorier le tout avec le rouge du sang
versé
Dans les rues grises de L.A à New York,
Dans des amours
impossibles
Sous la pluie froide ou le soleil insensible,
Sur des canapés crasseux ou des sièges en cuir
Pour toutes les fois où votre rage et votre obstination vous
poussent
A graver sur la page blanche chacune des entailles de votre cœur
ces moments où la vie vous a découpé en morceaux saignants
Avec un scalpel rouillé à la lame émoussée sans aucun
états d’âme
Vous ouvrez la route selon votre désir
parfois à coup de
machette,
Parfois avec la précision d’un horloger suisse
sobre,
Nous goutons votre sang et
Vous nous enseignez le
courage
D’autres viendront grâce à
Vous
mardi 21 décembre 2010
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Piétiner mon corps froid de leurs talons noirs
Comme cette obscurité où je me suis abimé
Laissez les chanter la victoire
Tant pis si elles ont dépecé ce qui fut moi
Dévoré mon cœur
Griffé mon âme jusqu’au sang,
Avec leurs ongles rouge comme cet enfer
Où je brule si souvent
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Pisser dans cette bouche morte qui plus jamais
N’embrassera leurs culs parfaits
Ne mordra le creux de leurs épaules
Ne prononcera les secrets mot de passes
De leurs cœurs enfiévrés
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Jusqu’au petit matin
quand leurs yeux brilleront de mille feux
Dans le soleil levant
Comme brille mon âme de putain
Quand elles me parent de leur amour fou
Incendiaire et
destructeur
Piétiner mon corps froid de leurs talons noirs
Comme cette obscurité où je me suis abimé
Laissez les chanter la victoire
Tant pis si elles ont dépecé ce qui fut moi
Dévoré mon cœur
Griffé mon âme jusqu’au sang,
Avec leurs ongles rouge comme cet enfer
Où je brule si souvent
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Pisser dans cette bouche morte qui plus jamais
N’embrassera leurs culs parfaits
Ne mordra le creux de leurs épaules
Ne prononcera les secrets mot de passes
De leurs cœurs enfiévrés
Laissez les Putains danser sur mon cadavre
Jusqu’au petit matin
quand leurs yeux brilleront de mille feux
Dans le soleil levant
Comme brille mon âme de putain
Quand elles me parent de leur amour fou
Incendiaire et
destructeur
Ta quète
Ils te veulent tous,
Affamés de ton cul de ton corps
Souple et chaud
Ton regard n’est que flammes
Qui les consument
Toi tu marches
Reine de ton monde
Et parfois tu viens
T’accrocher à mon bras
Tu danses dans la rue
Et tu chantes,
Personne ne chante aussi faux que toi
A part moi peut-être
Tu ris et tu déclares
Que ce que tu fais n’as pas d’importance
Que ce que ce qui compte c’est
Que tu sois avec moi,
Mais tu n’es pas avec moi
Femme de personne
Tu appartiens
A tous ces regards brillants,
Qui enflamment tes reins,
Il est si bon pour toi d’être désirée
Tu sais ce que tu veux
Tu l’auras et moi
je ne suis qu’un minuscule diamant
Posé sur le chemin de ton Graal
Affamés de ton cul de ton corps
Souple et chaud
Ton regard n’est que flammes
Qui les consument
Toi tu marches
Reine de ton monde
Et parfois tu viens
T’accrocher à mon bras
Tu danses dans la rue
Et tu chantes,
Personne ne chante aussi faux que toi
A part moi peut-être
Tu ris et tu déclares
Que ce que tu fais n’as pas d’importance
Que ce que ce qui compte c’est
Que tu sois avec moi,
Mais tu n’es pas avec moi
Femme de personne
Tu appartiens
A tous ces regards brillants,
Qui enflamment tes reins,
Il est si bon pour toi d’être désirée
Tu sais ce que tu veux
Tu l’auras et moi
je ne suis qu’un minuscule diamant
Posé sur le chemin de ton Graal
Lâcheté
Sur le bord de ma route, j’abandonne
doucement ton cœur blessé
de peur qu’il rende son dernier souffle
au creux de mes mains
d’assassin
doucement ton cœur blessé
de peur qu’il rende son dernier souffle
au creux de mes mains
d’assassin
Un peu plus d’Amour
Il nous faudrait un peu plus d’amour
Pour clouer au mur les nuits sombres
Le froid
Un peu plus d’amour
Pour apaiser la folie
Recoudre nos veines
Recoller nos cœurs
Un peu plus d’amour
pour colorer le gris de nos amours
un peu plus d’Amour,
pour nous,
si fatigués
d’hésiter
Pour clouer au mur les nuits sombres
Le froid
Un peu plus d’amour
Pour apaiser la folie
Recoudre nos veines
Recoller nos cœurs
Un peu plus d’amour
pour colorer le gris de nos amours
un peu plus d’Amour,
pour nous,
si fatigués
d’hésiter
lundi 20 décembre 2010
La Putain Folle
La Putain Folle écrivait de jolis poèmes lorsqu’elle a commencé à vendre son cul
un bon prix un soir elle est venue s’asseoir sur mon lit avec ses yeux verts et ses sourires à la
fraise « je ne t’aime pas » a-t-elle déclaré « je te donne juste ce dont tu as besoin » et
lorsqu’elle a voulu partir je l’ai prise par les cheveux « tu es ma pute et tu vas m’obéir » j’ai
ordonné ses yeux verts se sont allumés et elle s’est agenouillée devant moi plus tard elle a
dit « c’était une façon très intéressante de le faire » puis un autre jour elle a rougi quand
elle a su que je savais depuis le premier soir pour tous ses amants et pour le feu à son
cul de Putain Folle et comme ça ne me touchait pas elle a eu encore envie de moi alors dans
une salle de bains j’ai claqué fort ses petites fesses et ses yeux une fois de plus ont brillé car
elle adore ça et je ne l’ai plus revu pendant deux ou trois ans puis j’ai reçu un courrier où elle
disait qu’elle n’écrivait plus de poèmes mais qu’elle aimait sa vie
un bon prix un soir elle est venue s’asseoir sur mon lit avec ses yeux verts et ses sourires à la
fraise « je ne t’aime pas » a-t-elle déclaré « je te donne juste ce dont tu as besoin » et
lorsqu’elle a voulu partir je l’ai prise par les cheveux « tu es ma pute et tu vas m’obéir » j’ai
ordonné ses yeux verts se sont allumés et elle s’est agenouillée devant moi plus tard elle a
dit « c’était une façon très intéressante de le faire » puis un autre jour elle a rougi quand
elle a su que je savais depuis le premier soir pour tous ses amants et pour le feu à son
cul de Putain Folle et comme ça ne me touchait pas elle a eu encore envie de moi alors dans
une salle de bains j’ai claqué fort ses petites fesses et ses yeux une fois de plus ont brillé car
elle adore ça et je ne l’ai plus revu pendant deux ou trois ans puis j’ai reçu un courrier où elle
disait qu’elle n’écrivait plus de poèmes mais qu’elle aimait sa vie
Deux jours que je pense à elle bien que je sois persuadé qu’elle est folle
Bien sur que je rêve d’une fille comme toi
Avec ton sourire
Et peut être ton regard,
Tes cheveux longs,
Et ton désir de
Briser les vitres de ma voiture
A coup de talons
Avec ton sourire
Et peut être ton regard,
Tes cheveux longs,
Et ton désir de
Briser les vitres de ma voiture
A coup de talons
Un rire dans le vent d’hiver
Voici venir le temps de la folie,
Se ronger les veines
Pour que jaillisse la vie,
Et que la mort nous emporte
Voici venir le temps des sourires
Des caresses
De la joie
Du vent dans les cheveux,
Toi et moi
Toi et moi
Oui,
Voici venir le temps de toi et moi
Mais qui es tu ?
Un rire dans le vent d’hiver ?
Se ronger les veines
Pour que jaillisse la vie,
Et que la mort nous emporte
Voici venir le temps des sourires
Des caresses
De la joie
Du vent dans les cheveux,
Toi et moi
Toi et moi
Oui,
Voici venir le temps de toi et moi
Mais qui es tu ?
Un rire dans le vent d’hiver ?
En attendant
Je sais que je suis instable,
Dévoré par la fièvre
Le feu,
Prêt à tout pour un peu
D’aventure,
Evidemment, je ne crois plus
A l’amour,
Même si l’Amour,
C’est de la folie à l’état pur
Et que la folie,
C’est môn sang, mon cœur et mon âme
Surement que tout ça finira
Un jour ou l’autre,
L’âme se libère des chaines
Le cœur cesse de battre et
Tout peut recommencer
En attendant
Aussi tard que je veille
La nuit ne m’apporte pas la paix
Dévoré par la fièvre
Le feu,
Prêt à tout pour un peu
D’aventure,
Evidemment, je ne crois plus
A l’amour,
Même si l’Amour,
C’est de la folie à l’état pur
Et que la folie,
C’est môn sang, mon cœur et mon âme
Surement que tout ça finira
Un jour ou l’autre,
L’âme se libère des chaines
Le cœur cesse de battre et
Tout peut recommencer
En attendant
Aussi tard que je veille
La nuit ne m’apporte pas la paix
Entre nous
Tous ces regards
perdus
Tous ces rires
envolés
Tous ça n’a donc servi à
rien
Tenir nos mains comme on tient à
la vie
perdus
Tous ces rires
envolés
Tous ça n’a donc servi à
rien
Tenir nos mains comme on tient à
la vie
Florilège 141
C’est arrivé ce matin dans la boite,
Une revue de poésie
Classe,
Renommée
Un peu de mes mots et ma folie quelque part
A l’intérieur
Wow j’ai dit, c’est donc ça, la première fois
Parfois le vent souffle dans le sens du courant
Une revue de poésie
Classe,
Renommée
Un peu de mes mots et ma folie quelque part
A l’intérieur
Wow j’ai dit, c’est donc ça, la première fois
Parfois le vent souffle dans le sens du courant
Au bar
Nous sommes au comptoir
L’alcool et les rires se déchainent
La lumière jaillit
Les dieux nous offrent un peu de gaité
Dans la nuit,
Nous en abusons
L’alcool et les rires se déchainent
La lumière jaillit
Les dieux nous offrent un peu de gaité
Dans la nuit,
Nous en abusons
dimanche 19 décembre 2010
La blonde au comptoir
Tes cheveux blonds coulent sur ton dos
Soulignant la cambrure parfaite
De tes reins,
Le sol s’embrase lorsque tu marches,
J’aime ton visage, le son de ton rire
La manière dont tu regardes,
Le feu dans tes yeux,
Ta dureté à fleur de peau
Il doit être si bon de t’allonger
Et de tuer tes démons à coups de caresses
Soulignant la cambrure parfaite
De tes reins,
Le sol s’embrase lorsque tu marches,
J’aime ton visage, le son de ton rire
La manière dont tu regardes,
Le feu dans tes yeux,
Ta dureté à fleur de peau
Il doit être si bon de t’allonger
Et de tuer tes démons à coups de caresses
samedi 18 décembre 2010
Ces ombres en moi
ces ombres en moi sont comme un vent de folie soufflant
sur le régulier battement de ton cœur je sais que jamais
tu ne pourras imaginer poser tes mains sur mon visage
ma démence t’effraie bien que je puisse sans doute dévoiler
des parties de moi dont tu ne soupçonnes même pas l’existence
mais je ne laisse plus personne approcher chien fou je me
contente de ronger ma laisse et d’aboyer ce qui est mieux pour
ma santé mentale tandis que toi tu cherches un amour au visage parfait
en oubliant toute les fois ou tu t’es consumée pour ceux qui te l’ont
promis toutes ces fois où stupidement tu les as
crus et c’est parfois étrange pour moi de t’entendre parler
de tous ceux qui t’ont brisée jamais de ceux qui t’ont
offert des rires et des cris de plaisirs sous les étoiles,
comme si cela ne t’était jamais arrivé comme si tes
yeux verts n’avaient connus que les larmes
sur le régulier battement de ton cœur je sais que jamais
tu ne pourras imaginer poser tes mains sur mon visage
ma démence t’effraie bien que je puisse sans doute dévoiler
des parties de moi dont tu ne soupçonnes même pas l’existence
mais je ne laisse plus personne approcher chien fou je me
contente de ronger ma laisse et d’aboyer ce qui est mieux pour
ma santé mentale tandis que toi tu cherches un amour au visage parfait
en oubliant toute les fois ou tu t’es consumée pour ceux qui te l’ont
promis toutes ces fois où stupidement tu les as
crus et c’est parfois étrange pour moi de t’entendre parler
de tous ceux qui t’ont brisée jamais de ceux qui t’ont
offert des rires et des cris de plaisirs sous les étoiles,
comme si cela ne t’était jamais arrivé comme si tes
yeux verts n’avaient connus que les larmes
vendredi 17 décembre 2010
Recroquevillé contre un mur
Recroquevillé contre un mur
En tête à tête avec ton ombre
La folie danse au creux des tes mains
Tu voudrais ronger tes veines avec les dents
De tes ongles arracher ton âme de ce corps
brulé par les moyens dont tu uses pour fuir
De ton cœur il ne reste rien sinon
Un trou noir
Là où la balle perdue a traversé
Pas même une cicatrice pour te souvenir
De tes amours
Cela n’a jamais été facile
Toutes les fois où tu es tombé
Les ailes en flammes,
Toutes les fois où tu es reparti à l’assaut
Des murailles
C’était un pari,
Dangereux et fou
Croire que tu pourrais finir autrement
A trop embrasser le feu,
Tu t’es réduit en cendres grises et
maintenant
Recroquevillé contre un mur,
Ton ombre ne te reconnait plus
En tête à tête avec ton ombre
La folie danse au creux des tes mains
Tu voudrais ronger tes veines avec les dents
De tes ongles arracher ton âme de ce corps
brulé par les moyens dont tu uses pour fuir
De ton cœur il ne reste rien sinon
Un trou noir
Là où la balle perdue a traversé
Pas même une cicatrice pour te souvenir
De tes amours
Cela n’a jamais été facile
Toutes les fois où tu es tombé
Les ailes en flammes,
Toutes les fois où tu es reparti à l’assaut
Des murailles
C’était un pari,
Dangereux et fou
Croire que tu pourrais finir autrement
A trop embrasser le feu,
Tu t’es réduit en cendres grises et
maintenant
Recroquevillé contre un mur,
Ton ombre ne te reconnait plus
Jolie fille
Je sais que ça n’a pas été facile pour toi
D’arriver là
Et de tenter de préserver tout ce
Qui était toi,
Toi aussi tu as payé le prix,
Mais tu devrais voir ta manière de marcher
Ils se retournent tous sur ton chemin,
Tu as des étincelles au bout des doigts
Chacune de tes caresses
Provoque un incendie
Ton sourire est assassin
Il les fauche en plein vol,
Ta beauté
C’est ton pouvoir
A toi d’en user selon ton bon vouloir
D’arriver là
Et de tenter de préserver tout ce
Qui était toi,
Toi aussi tu as payé le prix,
Mais tu devrais voir ta manière de marcher
Ils se retournent tous sur ton chemin,
Tu as des étincelles au bout des doigts
Chacune de tes caresses
Provoque un incendie
Ton sourire est assassin
Il les fauche en plein vol,
Ta beauté
C’est ton pouvoir
A toi d’en user selon ton bon vouloir
Avec le temps
Avec le temps tu as fini par comprendre
Que vivre c’est avaler
Un bol d’acide
Le sourire aux lèvres
Tu as couru si vite
Et pourtant,
Tu as fini abattu en plein vol,
L’aile en flammes,
Bien avant la ligne d’arrivée
Tu devrais verser des larmes,
Tu ne rêves que de recommencer
Que vivre c’est avaler
Un bol d’acide
Le sourire aux lèvres
Tu as couru si vite
Et pourtant,
Tu as fini abattu en plein vol,
L’aile en flammes,
Bien avant la ligne d’arrivée
Tu devrais verser des larmes,
Tu ne rêves que de recommencer
Un mur de briques tout sourire
Tous les matins
Trouver une raison d’ouvrir les yeux,
Rien qui troue la solitude
Ce téléphone qui ne sonne jamais
Pas un amour
Une route droite avec un mur de briques
Rouges
Qui sourit tout
Au bout
Foncer
Foncer
Foncer
La seule chance de passer à travers
Trouver une raison d’ouvrir les yeux,
Rien qui troue la solitude
Ce téléphone qui ne sonne jamais
Pas un amour
Une route droite avec un mur de briques
Rouges
Qui sourit tout
Au bout
Foncer
Foncer
Foncer
La seule chance de passer à travers
La jolie rousse
Trop de drogues dans tes narines ma chérie
Je ne suis pas sur de savoir si ce soir
Tu es envie de moi ou juste de la première queue
Qui passe
mais je veux bien lécher tes seins
et ta chatte
M’enfoncer en toi
Sans même chercher la réponse
A cette question
Je ne suis pas sur de savoir si ce soir
Tu es envie de moi ou juste de la première queue
Qui passe
mais je veux bien lécher tes seins
et ta chatte
M’enfoncer en toi
Sans même chercher la réponse
A cette question
jeudi 16 décembre 2010
Ta préférence
Tu es là étranglé par ta Vie
Un sourire étrange sur tes lèvres
Tu ne te reconnais pas dans le miroir
La folie coule de ton regard et
Nul ne sait où va ta préférence
avoir un flingue
Appuyé sur ta tempe et
suffisamment de tripes
Pour libérer la balle qui fera gicler
Ta cervelle et toute la fièvre
Qui ronge ton
Âme
Ou
que tes mains et
Ton cœur
Cessent enfin de
trembler
Un sourire étrange sur tes lèvres
Tu ne te reconnais pas dans le miroir
La folie coule de ton regard et
Nul ne sait où va ta préférence
avoir un flingue
Appuyé sur ta tempe et
suffisamment de tripes
Pour libérer la balle qui fera gicler
Ta cervelle et toute la fièvre
Qui ronge ton
Âme
Ou
que tes mains et
Ton cœur
Cessent enfin de
trembler
mercredi 15 décembre 2010
La victoire
Une fois encore
Je suis à terre
Bien sur que j’ai fait les mauvais choix
Pris la mauvaise route
Le mur est là
Briques rouges,
Béton,
Je n’ai que mes mains pour taper dessus
L’espoir s’en est allé, en compagnie
De mes catins
De mes amours
Et des autres filles aux regards fiers
Il y a bien eu un moment ou deux
Où j’ai cru tenir la victoire par ses longs cheveux noirs
Mais ce n’était qu’un ou deux coups de poignards de plus
dans mon sourire
Je suis à terre
Bien sur que j’ai fait les mauvais choix
Pris la mauvaise route
Le mur est là
Briques rouges,
Béton,
Je n’ai que mes mains pour taper dessus
L’espoir s’en est allé, en compagnie
De mes catins
De mes amours
Et des autres filles aux regards fiers
Il y a bien eu un moment ou deux
Où j’ai cru tenir la victoire par ses longs cheveux noirs
Mais ce n’était qu’un ou deux coups de poignards de plus
dans mon sourire
Décision
Bon d’accord
Dis-je aux Dieux et aux Déesses,
Je vais arrêter,
D’en chercher une raisonnable
Qui voudrait une vie normale
Et aussi, je cesse d’espérer en trouver une
Qui puisse me sauver, me comprendre, m’apprécier
Pour ma grand sensibilité et ne m’en voudrait pas
De n’avoir aucun talent pour
La cuisine, le ménage, le bricolage, la poésie, le repassage
Et je vais me consacrer
Comme toujours
Aux putes, aux cinglés, aux dépressives, nymphomanes, menteuses
Droguées, chieuses, salopes, exhibitionnistes, et autres
déjantées en tous genres,
C’est toujours plus simple avec celles là
Dis-je aux Dieux et aux Déesses,
Je vais arrêter,
D’en chercher une raisonnable
Qui voudrait une vie normale
Et aussi, je cesse d’espérer en trouver une
Qui puisse me sauver, me comprendre, m’apprécier
Pour ma grand sensibilité et ne m’en voudrait pas
De n’avoir aucun talent pour
La cuisine, le ménage, le bricolage, la poésie, le repassage
Et je vais me consacrer
Comme toujours
Aux putes, aux cinglés, aux dépressives, nymphomanes, menteuses
Droguées, chieuses, salopes, exhibitionnistes, et autres
déjantées en tous genres,
C’est toujours plus simple avec celles là
Ton sourire n’existe plus
On était que des enfants,
Dans la cour de récréation
Mais toi
Tu crevais déjà sur place
Rongé par une maladie
Cruelle et impitoyable
Comme le cœur des grands.
On était que des enfants
Et toi
tu disais que j’étais ton ami
Tu m’as offert ton plus beau trésor
Une voiture rouge aussi grande que ton coeur
Et moi je n’ai pas su le protéger
De la convoitise des grand,
Déjà je décevais ceux qui m’aiment
Tu étais mon ami,
Et tu crevais sur place
Le sang brulé par la maladie
Pas un enfant ne devrait
Mourir
Et surtout pas ainsi.
On était que des enfants
Mais moi je n’ai jamais su
Te remercier pour ton amitié
Ni même en être à la hauteur
On était encore que des enfants
Quand la maladie a eu ta peau
Et je n’ai jamais su te remercier
De l’importance que tu m’as donné
Toi mon ami
Qui ne seras jamais grand
Toi dont le sourire
N’existe plus
Que dans le souvenir de ceux qui t’ont
Aimé
Dans la cour de récréation
Mais toi
Tu crevais déjà sur place
Rongé par une maladie
Cruelle et impitoyable
Comme le cœur des grands.
On était que des enfants
Et toi
tu disais que j’étais ton ami
Tu m’as offert ton plus beau trésor
Une voiture rouge aussi grande que ton coeur
Et moi je n’ai pas su le protéger
De la convoitise des grand,
Déjà je décevais ceux qui m’aiment
Tu étais mon ami,
Et tu crevais sur place
Le sang brulé par la maladie
Pas un enfant ne devrait
Mourir
Et surtout pas ainsi.
On était que des enfants
Mais moi je n’ai jamais su
Te remercier pour ton amitié
Ni même en être à la hauteur
On était encore que des enfants
Quand la maladie a eu ta peau
Et je n’ai jamais su te remercier
De l’importance que tu m’as donné
Toi mon ami
Qui ne seras jamais grand
Toi dont le sourire
N’existe plus
Que dans le souvenir de ceux qui t’ont
Aimé
Je ferais mieux de me branler
Tu es si belle jolie fille
Tous te veulent
Moi aussi
Mais je sais
Que je ferais mieux de me branler
Plutôt que de t’aimer
Tu as des dents de requins enduites
De venin d’araignée
Tu pourrais me dévorer sans t’en rendre compte,
Par jeu ou par plaisir
C’est sur,
Je ferais mieux de me branler
Tous te veulent
Moi aussi
Mais je sais
Que je ferais mieux de me branler
Plutôt que de t’aimer
Tu as des dents de requins enduites
De venin d’araignée
Tu pourrais me dévorer sans t’en rendre compte,
Par jeu ou par plaisir
C’est sur,
Je ferais mieux de me branler
Les anciennes
Je me demande où sont passées
Les fantômes de toutes ces filles,
Je veux dire celles qui disaient m’aimer
Moi qui ne pouvait les aimer.
Il y avait celle qui aimait le faire la lumière
Allumée, les fenêtres ouvertes
Pour les voisins
Celle qui venait d’emménager avec
Son fiancée et moi qui lui faisait
Traverser l’appartement à quatre pattes
L’amour sur la plan de travail de la cuisine
Celle qui n’avait jamais été attaché
Et les autres…
Elles mouillaient pour moi
Elles disaient m’aimer
Moi
Arrogant et fou
J’agissais comme si cela ne valait rien.
Je leur conseillais d’en aimer un autre
Elles disaient qu’un jour
Je pleurerais pour elles
Elles avaient raison,
Ce jour est arrivé.
Toutes ont un amoureux
Et moi je m’endors dans les bras
De la solitude
En pensant à personne
Les fantômes de toutes ces filles,
Je veux dire celles qui disaient m’aimer
Moi qui ne pouvait les aimer.
Il y avait celle qui aimait le faire la lumière
Allumée, les fenêtres ouvertes
Pour les voisins
Celle qui venait d’emménager avec
Son fiancée et moi qui lui faisait
Traverser l’appartement à quatre pattes
L’amour sur la plan de travail de la cuisine
Celle qui n’avait jamais été attaché
Et les autres…
Elles mouillaient pour moi
Elles disaient m’aimer
Moi
Arrogant et fou
J’agissais comme si cela ne valait rien.
Je leur conseillais d’en aimer un autre
Elles disaient qu’un jour
Je pleurerais pour elles
Elles avaient raison,
Ce jour est arrivé.
Toutes ont un amoureux
Et moi je m’endors dans les bras
De la solitude
En pensant à personne
Le perdant
Les putains ont fini par avoir ma peau
Et mon cœur
Et mon âme
Elles ont paradé un instant
Puis m’ont oublié
C’est toujours ainsi
Le perdant quitte le jeu
La queue entre les jambes,
La tête basse
Et mon cœur
Et mon âme
Elles ont paradé un instant
Puis m’ont oublié
C’est toujours ainsi
Le perdant quitte le jeu
La queue entre les jambes,
La tête basse
mardi 14 décembre 2010
La Chance veille aussi sur les mouches
Il y a des nuits d’été où mon côté
Bouddhiste
Me retient de tuer la mouche sur le carreau
De la fenêtre
et ce soir c’est l’hiver,
je suis seul,
personne ne me tient chaud et je
suis
persuadé que les tueurs d’insectes
ont des femmes dans leur lits
Bouddhiste
Me retient de tuer la mouche sur le carreau
De la fenêtre
et ce soir c’est l’hiver,
je suis seul,
personne ne me tient chaud et je
suis
persuadé que les tueurs d’insectes
ont des femmes dans leur lits
Samedi soir
Ton sourire
douceur et tendresse
Une délicate caresse sur mon épaule
Un éclat de magie dans tes yeux verts
ton corps…
… de la lave en fusion
…
lécher
Ce volcan
Avaler ton cœur
Mordre ton
Âme jusqu’au
Sang
douceur et tendresse
Une délicate caresse sur mon épaule
Un éclat de magie dans tes yeux verts
ton corps…
… de la lave en fusion
…
lécher
Ce volcan
Avaler ton cœur
Mordre ton
Âme jusqu’au
Sang
Pas de costume sur les épaules du fou
Je devrais peut-être me lever
Le matin
Enfiler en souriant une chemise blanche
Un costume noir
Prendre un attaché case
Disparaître au volant d’une voiture
Propre
Neuve
Brillante
Etre tout ce qu’on attendait de moi
Seulement je sais
Que la folie viendrait frapper à la porte
De mon cerveau
Dés le troisième jour avec
Mes démons en file indienne
Juste derrière son sourire
C’est toujours ainsi que ca se passe
Quand j’essaye,
Je finis toujours par crier
Le matin
Enfiler en souriant une chemise blanche
Un costume noir
Prendre un attaché case
Disparaître au volant d’une voiture
Propre
Neuve
Brillante
Etre tout ce qu’on attendait de moi
Seulement je sais
Que la folie viendrait frapper à la porte
De mon cerveau
Dés le troisième jour avec
Mes démons en file indienne
Juste derrière son sourire
C’est toujours ainsi que ca se passe
Quand j’essaye,
Je finis toujours par crier
J’aurais peut-être du proposer un truc à trois
La fille aux cheveux noirs ne croit pas
Que j’écris des poèmes
Et celle aux cheveux blonds non plus
Je suis soul j’ai proposé à l’une et l’autre
De coucher avec moi
Ce qu’elles ont refusé
Alors je bois une gorgée de vodka
Car après tout ce n’est pas si grave…
Je ne suis pas un si bon poète que ça
Que j’écris des poèmes
Et celle aux cheveux blonds non plus
Je suis soul j’ai proposé à l’une et l’autre
De coucher avec moi
Ce qu’elles ont refusé
Alors je bois une gorgée de vodka
Car après tout ce n’est pas si grave…
Je ne suis pas un si bon poète que ça
Sans le moindre effort
La folie dans mes bras, a dansé si souvent
La rage dans mes tripes, a grondé si souvent
La colère dans cœur, a rugit si souvent
Et sans le moindre effort
le vent a emporté tout ça
La rage dans mes tripes, a grondé si souvent
La colère dans cœur, a rugit si souvent
Et sans le moindre effort
le vent a emporté tout ça
Quand je cherchais une raison de tenir
Je me souviens de cette fille qui passait
Juste à côté de la plage
A la Rochelle.
J’étais venu là pour me tuer
Et le sourire de cette passante
Aux yeux bleus comme l’espoir
fut une caresse sur
ma poitrine brisée
J’ai souhaité si fort qu’elle dérobe
Mon Cœur assassiné
L’emporte chez elle
Et l’enferme dans un coffre
Dont elle seule aurait la clef
Le temps d’un sourire
J’ai failli être sauver et elle
N’en a jamais rien su
Juste à côté de la plage
A la Rochelle.
J’étais venu là pour me tuer
Et le sourire de cette passante
Aux yeux bleus comme l’espoir
fut une caresse sur
ma poitrine brisée
J’ai souhaité si fort qu’elle dérobe
Mon Cœur assassiné
L’emporte chez elle
Et l’enferme dans un coffre
Dont elle seule aurait la clef
Le temps d’un sourire
J’ai failli être sauver et elle
N’en a jamais rien su
Si belles
Elles dévorent mon cœur
Sous les lumières oranges des rues,
Amoureuses aux regards multicolores
Caresses éphémères
Désir turgescent
S’Allonger contre un mur
Les laisser m’avaler
Puis
les posséder
Comme on vole le feu
Sous les lumières oranges des rues,
Amoureuses aux regards multicolores
Caresses éphémères
Désir turgescent
S’Allonger contre un mur
Les laisser m’avaler
Puis
les posséder
Comme on vole le feu
Oui
Je peux foncer la tête la première dans le mur affronter
mon reflet dans le vide du miroir aimer m’enfoncer une stalactite
de glace dans le cœur pour le faire taire et que mon âme cesse
de battre le rappel des troupes ou bien lécher l’entrejambe
de ma vie jusqu’à la faire jouir de tout son cœur copuler avec
ma folie juste pour le risque de se laisser emporter
mon reflet dans le vide du miroir aimer m’enfoncer une stalactite
de glace dans le cœur pour le faire taire et que mon âme cesse
de battre le rappel des troupes ou bien lécher l’entrejambe
de ma vie jusqu’à la faire jouir de tout son cœur copuler avec
ma folie juste pour le risque de se laisser emporter
Ce soir encore
Ma tueuse un jour
Ecrivit que j’étais
Un garçon avec quelque chose
De plus que les autre, quelque chose
Qui la prenait au ventre et la serrait si fort
Que cela l’empêchait de respirer
Dans le miroir,
Mes traits fatigués
Mon regard fou
Suis-je encore celui là ?
Capable de peindre de la lumière dans leurs nuits ?
Est-ce que le feu brûle toujours en moi ?
Bien sur que oui
Ce soir encore il me dévore
les tripes
Ecrivit que j’étais
Un garçon avec quelque chose
De plus que les autre, quelque chose
Qui la prenait au ventre et la serrait si fort
Que cela l’empêchait de respirer
Dans le miroir,
Mes traits fatigués
Mon regard fou
Suis-je encore celui là ?
Capable de peindre de la lumière dans leurs nuits ?
Est-ce que le feu brûle toujours en moi ?
Bien sur que oui
Ce soir encore il me dévore
les tripes
lundi 13 décembre 2010
La ligne
Tu heurtes les murs de la pièce la
Tête entre les mains
Toutes ces manières que tu as de
Te faire mal de
Te ronger de
Te détruire
Tu es plus efficace que l’acide et la dynamite
Tu ne devrais pas
Torturer ton âme folle ni hacher
Tes tripes en fins morceaux sur la
Table en bois du salon car
Tu sais qu’il te faut connaître la ligne
Ténue qui sépare le bien du mal pour choisir
Ton camp
Tête entre les mains
Toutes ces manières que tu as de
Te faire mal de
Te ronger de
Te détruire
Tu es plus efficace que l’acide et la dynamite
Tu ne devrais pas
Torturer ton âme folle ni hacher
Tes tripes en fins morceaux sur la
Table en bois du salon car
Tu sais qu’il te faut connaître la ligne
Ténue qui sépare le bien du mal pour choisir
Ton camp
dimanche 12 décembre 2010
La fille en blanc avec un vrai regard
La première fois que je l’ai vu
J’ai su qu’elle commencerait par
me détester
Même si la lueur dans ses yeux
Laisse une chance
Lorsqu’ELLE
danse
Elle jette des étincelles
Dans le regard des hommes
MOI
J’ai
une Âme de putain
un cœur de pierre précieuse
la folie coule de mes yeux
C’est toujours drôle lorsqu’on se parle
J’ai su qu’elle commencerait par
me détester
Même si la lueur dans ses yeux
Laisse une chance
Lorsqu’ELLE
danse
Elle jette des étincelles
Dans le regard des hommes
MOI
J’ai
une Âme de putain
un cœur de pierre précieuse
la folie coule de mes yeux
C’est toujours drôle lorsqu’on se parle
samedi 11 décembre 2010
Un regard effrayé
Ses yeux sont verts
Elle a peur d’aimer
Elle a trop souffert
Elle préfère vivre à genoux
Je suis le plus fou de tous
mais elle ne sait pas regarder
Dans le froid elle enroule son écharpe
Autour de mon cou offert
Mais elle ne m’embrasse pas
Et voilà l’instant où
elle me perd car…
C’est un morceau de métal chauffé à blanc
que je dois poser sur mes plaies
Elle a peur d’aimer
Elle a trop souffert
Elle préfère vivre à genoux
Je suis le plus fou de tous
mais elle ne sait pas regarder
Dans le froid elle enroule son écharpe
Autour de mon cou offert
Mais elle ne m’embrasse pas
Et voilà l’instant où
elle me perd car…
C’est un morceau de métal chauffé à blanc
que je dois poser sur mes plaies
jeudi 9 décembre 2010
Tandis qu'elle dort
Allongé sur le sol
les yeux ouverts
j'écoute la calme respiration
de ma sœur
Au cœur de ses rêves,
j'en suis sur,
un monde de jolies filles
russes
aux yeux verts
Là
tout autour,
un million de poèmes
naissent et meurent dans
la magie de cette nuit
d'hiver
J'en cueille quelques-uns au vol
les yeux ouverts
j'écoute la calme respiration
de ma sœur
Au cœur de ses rêves,
j'en suis sur,
un monde de jolies filles
russes
aux yeux verts
Là
tout autour,
un million de poèmes
naissent et meurent dans
la magie de cette nuit
d'hiver
J'en cueille quelques-uns au vol
Cela n'était pas arrivé depuis bien longtemps
Dans un bar de Paris
je prend ma sœur de sang
dans mes bras.
Tu me manques petite pute je dis
Elle embrasse ma joue
me serre fort
je prend ma sœur de sang
dans mes bras.
Tu me manques petite pute je dis
Elle embrasse ma joue
me serre fort
L'inexistence du vieux rêve
L'Amour n'existe pas
Voilà ce que m'ont appris
les nuits grises et les trottoirs
tachés de sang,
mon regard fou délicatement
posé
sur tant de cœurs
désemparés
Voilà ce que m'ont appris
les nuits grises et les trottoirs
tachés de sang,
mon regard fou délicatement
posé
sur tant de cœurs
désemparés
mardi 7 décembre 2010
Plus brillantes que jamais
J'écoute tous ces gens rendus fous par les trahisons et les mensonges de leurs amants ou amantes
je vois le manque d'Amour qui en résulte, le trou dans leur regard qui rappelle
la solitude
qui règne sur leur cœur et je me dis que l'Amour c'est un peu
comme
s'arracher les ongles avec les dents avant de plonger ses mains dans un bol
d'acide
tout en espérant qu'elles ressortiront intactes, plus brillantes que jamais
ET
Se rendre compte que
non
je vois le manque d'Amour qui en résulte, le trou dans leur regard qui rappelle
la solitude
qui règne sur leur cœur et je me dis que l'Amour c'est un peu
comme
s'arracher les ongles avec les dents avant de plonger ses mains dans un bol
d'acide
tout en espérant qu'elles ressortiront intactes, plus brillantes que jamais
ET
Se rendre compte que
non
Libellés :
r
La fille du cabinet d'architecte
Il y a des cœurs déchirés
dans le noir de tes yeux
Mais jamais le tien
et c'est ce qui compte
pour moi
que tu restes debout au
milieu
des rires
tant pis
s'il leur reste les
larmes
dans le noir de tes yeux
Mais jamais le tien
et c'est ce qui compte
pour moi
que tu restes debout au
milieu
des rires
tant pis
s'il leur reste les
larmes
Sans doute
Sans doute que je voudrais
m'endormir
encore
dans des bras doux
toujours les mêmes
soirs après soirs
dans le bleu
de nuits douces
aussi fort
qu'hurlent
les restes de mon âme
un peu d'amour suffirait
sans doute
m'endormir
encore
dans des bras doux
toujours les mêmes
soirs après soirs
dans le bleu
de nuits douces
aussi fort
qu'hurlent
les restes de mon âme
un peu d'amour suffirait
sans doute
Une qui compte
Elle aussi folle que je suis fou
et elle ne fait que rire.
Tous les deux
Nous vivons sans règles
affranchis
Elle me parle
de ses innombrables amants
je souris
car dans ses yeux
il y a
la liberté,
le besoin de vivre
ce qui se rapproche le plus
de cet inexistant Amour
et elle ne fait que rire.
Tous les deux
Nous vivons sans règles
affranchis
Elle me parle
de ses innombrables amants
je souris
car dans ses yeux
il y a
la liberté,
le besoin de vivre
ce qui se rapproche le plus
de cet inexistant Amour
L'appel
Tous les soirs
je regarde la route
juste là
dehors
et je sais
qu'un peu plus loin
elle quitte la ville.
je regarde la route
juste là
dehors
et je sais
qu'un peu plus loin
elle quitte la ville.
samedi 4 décembre 2010
Les putains, les cinglés et celles qui t’habillent de promesses
Les putains et les cinglés mentent toujours
moins
Que celles qui t’habillent de promesses
Les cinglés sont les cinglés
Elles te sourient
Mais peuvent te planter un crayon
Dans les paupières
Durant ton sommeil
Pour des raisons aussi vagues
Que la voisine qui sourit en te voyant
Un type qui les a brisé
Le soleil qui ne brille pas assez la nuit
Un coup de sang inexpliqué, inexplicable
Les putains sont des putains
Elles
te dépouillent,
Mais tu sais
Qu’il ne faut jamais
JAMAIS
laisser trainer
ton téléphone, ta montre, ton portefeuille
sur la table de nuit
du cash au fond de ton pantalon
bleu
Celles qui t’habillent de promesses
Sont les pires
Elles jettent en riant sur tes épaules fières
un joli manteau de mensonges cousu de fil
D’or
Elles disent t’aimer
Mais elles partent à la dérobée
Emportant dans leurs sacs à mains roses
ton cœur
Et ton âme
pour gaspiller tout ça
Avec le premier
venu
moins
Que celles qui t’habillent de promesses
Les cinglés sont les cinglés
Elles te sourient
Mais peuvent te planter un crayon
Dans les paupières
Durant ton sommeil
Pour des raisons aussi vagues
Que la voisine qui sourit en te voyant
Un type qui les a brisé
Le soleil qui ne brille pas assez la nuit
Un coup de sang inexpliqué, inexplicable
Les putains sont des putains
Elles
te dépouillent,
Mais tu sais
Qu’il ne faut jamais
JAMAIS
laisser trainer
ton téléphone, ta montre, ton portefeuille
sur la table de nuit
du cash au fond de ton pantalon
bleu
Celles qui t’habillent de promesses
Sont les pires
Elles jettent en riant sur tes épaules fières
un joli manteau de mensonges cousu de fil
D’or
Elles disent t’aimer
Mais elles partent à la dérobée
Emportant dans leurs sacs à mains roses
ton cœur
Et ton âme
pour gaspiller tout ça
Avec le premier
venu
Au comptoir
Je tourne la tête
Et ma tueuse est au comptoir
En train de me regarder
Elle me fait une grimace
Genre
Tu fais celui qui ne me voit pas
Je vais lui dire bonjour
Serre la main de celui qui partage sa vie maintenant
Puis je retourne parler à cette blonde
Au regard bleu et orange
Et ma tueuse est au comptoir
En train de me regarder
Elle me fait une grimace
Genre
Tu fais celui qui ne me voit pas
Je vais lui dire bonjour
Serre la main de celui qui partage sa vie maintenant
Puis je retourne parler à cette blonde
Au regard bleu et orange
vendredi 3 décembre 2010
Ne me laisse pas approcher
Car
au Corps et au Cœur
je suis de Ceux qui griffent
lorsqu’ils font
l’Amour
au Corps et au Cœur
je suis de Ceux qui griffent
lorsqu’ils font
l’Amour
jeudi 2 décembre 2010
Sans même une caresse sur ta joue
Tu as
Du sang sur tes mains
glacées
Toutes les fois où
tu as
Tué
Chaque beau moment
Chaque étincelle de bonheur
Toutes les fois où
Tu t’es trompé de chemin
Ton cœur de métal ne bat
Plus
Aussi
Fort
Qu’avant
Ton âme est brûlée
Elle n’en finit pas d’hurler
Tu voudrais dévorer la lumière
Lécher le feu
mais
le soir c’est
la solitude qui
T’enlace
de ses bras froids
Tu voudrais sourire mais
Tu ne peux que rire
Comme
un
dément
Ta raison
Ta folie
Tout se mélange
Quand la nuit te prend
Sans t’apporter de
solution
chaleur
réconfort
tu dois t’endormir
Sans même une caresse sur ta joue
Pour t’aider à
tenir
te protéger des
cauchemars
Du sang sur tes mains
glacées
Toutes les fois où
tu as
Tué
Chaque beau moment
Chaque étincelle de bonheur
Toutes les fois où
Tu t’es trompé de chemin
Ton cœur de métal ne bat
Plus
Aussi
Fort
Qu’avant
Ton âme est brûlée
Elle n’en finit pas d’hurler
Tu voudrais dévorer la lumière
Lécher le feu
mais
le soir c’est
la solitude qui
T’enlace
de ses bras froids
Tu voudrais sourire mais
Tu ne peux que rire
Comme
un
dément
Ta raison
Ta folie
Tout se mélange
Quand la nuit te prend
Sans t’apporter de
solution
chaleur
réconfort
tu dois t’endormir
Sans même une caresse sur ta joue
Pour t’aider à
tenir
te protéger des
cauchemars
Chaque verre de vodka, chaque poème
Chaque verre de vodka sur mes lèvres folles
C’est embrasser la mort
Chaque poème
C’est rêver de lui faire l’amour
Mes nuits à hurler dans ce silence
De l’évasion dans les mots
Du sang à chaque virgule
Ma rage lancé sur les murs gris
Ma peine posé à plat sur un drap blanc
Tout ce dont
les gynécologues n’ont rien à
Foutre
C’est embrasser la mort
Chaque poème
C’est rêver de lui faire l’amour
Mes nuits à hurler dans ce silence
De l’évasion dans les mots
Du sang à chaque virgule
Ma rage lancé sur les murs gris
Ma peine posé à plat sur un drap blanc
Tout ce dont
les gynécologues n’ont rien à
Foutre
mercredi 1 décembre 2010
Trop de peur dans leurs regards et leurs cœurs
Encore un,
A pleurer sur mon canapé
Pourtant son amour est encore là.
C’est ainsi aujourd’hui
Filles où garçons
L’Amour les rend fou
Alors même qu’il est encore là
à réchauffer leur mains et leurs cœurs.
Ils sont comme des voleurs
Pris par la peur
Au moment d’ouvrir le coffre.
Ils vivent leurs histoires
Comme s’ils devaient tout perdre
Et trop souvent finissent par tout
Perdre
A pleurer sur mon canapé
Pourtant son amour est encore là.
C’est ainsi aujourd’hui
Filles où garçons
L’Amour les rend fou
Alors même qu’il est encore là
à réchauffer leur mains et leurs cœurs.
Ils sont comme des voleurs
Pris par la peur
Au moment d’ouvrir le coffre.
Ils vivent leurs histoires
Comme s’ils devaient tout perdre
Et trop souvent finissent par tout
Perdre
Vivre trop vite pour un seul cœur
Moi je veux vivre l’amour fou
Voler tes regards et tes rires
Moi je veux vivre l’amour fou
Hurler ton nom
Lorsque je suis dans ton corps
Graver le mien
Lorsque je suis dans ton cœur
Et si cela doit me tuer
Que je meurs la folie dans le regard
Le sourire aux lèvres
Comme un dingue
Danse sous la lune
Voler tes regards et tes rires
Moi je veux vivre l’amour fou
Hurler ton nom
Lorsque je suis dans ton corps
Graver le mien
Lorsque je suis dans ton cœur
Et si cela doit me tuer
Que je meurs la folie dans le regard
Le sourire aux lèvres
Comme un dingue
Danse sous la lune
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