Assis au bord
Du gouffre
La tête
Entre les mains
Des larmes
Sur
Les joues
Tout te semble
Perdu
Tu n’as plus la
Force
De serrer ton
poing
et tu ne sais
ce qui te retiens
de sauter
tandis que
pas loin de toi,
Le diable chantonne
Car il
sait bien que
chaque âme a son prix
lundi 29 août 2011
De quoi agrémenter la légende
Un type comme
Moi devrait savoir
Que lécher
Une paire de seins
(Naturels)
bonnet D
Sur le siège
Arrière d’une
Voiture lors
D’un trajet
Clermont-Ferrand
Paris
Ne peut que te
Créer
Des problèmes
Avec
La fille
au bonnet C
assise
sur le siège
passager
avant
Et forcement
Une semaine
Après,
Le conducteur
m’appelle
et me dit
que bonnet c
a trouvé ça
glauque
qu’elle en
parlé
à sa sœur
(qui le hait
car il couche avec
bonnet c) et que
cette dernière
nous descend,
bonnet D et
moi.
Bahhhh dis-je
Les ragots
nourrissent les légendes
Pourquoi as-tu eu la
mauvaise idée
De dire à haute
Voix
devant
Bonnet c
que bonnet D
Avait des seins parfaits ?
Moi devrait savoir
Que lécher
Une paire de seins
(Naturels)
bonnet D
Sur le siège
Arrière d’une
Voiture lors
D’un trajet
Clermont-Ferrand
Paris
Ne peut que te
Créer
Des problèmes
Avec
La fille
au bonnet C
assise
sur le siège
passager
avant
Et forcement
Une semaine
Après,
Le conducteur
m’appelle
et me dit
que bonnet c
a trouvé ça
glauque
qu’elle en
parlé
à sa sœur
(qui le hait
car il couche avec
bonnet c) et que
cette dernière
nous descend,
bonnet D et
moi.
Bahhhh dis-je
Les ragots
nourrissent les légendes
Pourquoi as-tu eu la
mauvaise idée
De dire à haute
Voix
devant
Bonnet c
que bonnet D
Avait des seins parfaits ?
mercredi 24 août 2011
J'entends aboyer les chiens de l'enfer
La solitude s'est
plantée dans
mes veines sans
qu'un seul cri
ne brise
mes lèvres
Mon âme
court
dans le vide
et les chiens
de l'enfer
attendent
que
le diable
lâche
la
laisse
plantée dans
mes veines sans
qu'un seul cri
ne brise
mes lèvres
Mon âme
court
dans le vide
et les chiens
de l'enfer
attendent
que
le diable
lâche
la
laisse
samedi 20 août 2011
Je reçois parfois d’étranges appels à l'aide
Je reçois parfois
D’étranges appels
A l’aide,
comme
Cette amie
(dont je connais
bien le corps...)
Qui me
Dit le plus
sérieusement
Du monde
Je suis enceinte
Mes hormones sont
Horribles
J’ai envie que niquer
Du matin au soir
Ton mec doit-être
Content
Oui mais la il est
Parti travailler,
il n’en peux
plus, il a pas
assuré
et j’ai
Trop envie
Viens me sauter
Tu es enceinte…
Personne ne veux
me sauter
Car je suis enceinte
Viens me sauter
Viens me sauter
Viens me sauter
Toi tu peux le faire
Mais tu es amoureuse
De lui
Et fidèle avec ça
Désolé ma puce
mais
Je ne vais pas
Venir…
J’en peux plus
Viensssssssss……
Je lève les yeux au ciel
Et je demande à Dieu
Si une seule fois
Sur ma route
Il y en a eu
Une qui
N’aie pas souffert
D’un quelconque
Déséquilibre
à un moment donné
Et si c’est
Moi
ou elle
Qui n’a pas
Vu l’autre
Mais Dieu se mure
Dans le silence
Après tout
Lui et moi savons
pertinemment
Que les filles
Comme elle
m’ont toujours
donné
plus
D’étranges appels
A l’aide,
comme
Cette amie
(dont je connais
bien le corps...)
Qui me
Dit le plus
sérieusement
Du monde
Je suis enceinte
Mes hormones sont
Horribles
J’ai envie que niquer
Du matin au soir
Ton mec doit-être
Content
Oui mais la il est
Parti travailler,
il n’en peux
plus, il a pas
assuré
et j’ai
Trop envie
Viens me sauter
Tu es enceinte…
Personne ne veux
me sauter
Car je suis enceinte
Viens me sauter
Viens me sauter
Viens me sauter
Toi tu peux le faire
Mais tu es amoureuse
De lui
Et fidèle avec ça
Désolé ma puce
mais
Je ne vais pas
Venir…
J’en peux plus
Viensssssssss……
Je lève les yeux au ciel
Et je demande à Dieu
Si une seule fois
Sur ma route
Il y en a eu
Une qui
N’aie pas souffert
D’un quelconque
Déséquilibre
à un moment donné
Et si c’est
Moi
ou elle
Qui n’a pas
Vu l’autre
Mais Dieu se mure
Dans le silence
Après tout
Lui et moi savons
pertinemment
Que les filles
Comme elle
m’ont toujours
donné
plus
vendredi 19 août 2011
Même pas le prix de la corde pour me pendre
J’entends
Encore tes pleurs
Alors que
se ferme
La porte
Je suis désolé
Bébé,
Je suis ainsi
Je ne peux rien
Faire
Contre ça
Je ne sais pas aimer
Encore tes pleurs
Alors que
se ferme
La porte
Je suis désolé
Bébé,
Je suis ainsi
Je ne peux rien
Faire
Contre ça
Je ne sais pas aimer
jeudi 18 août 2011
Comme une envie sourde de reprendre la route
J’ouvre les yeux
mon
Sourire
Se montre
Carnassier
J’ai dans les tripes
L’envie
De dévorer
Le monde
Me repaitre
De sa chair
Quelques
Part
J’en suis
Sur
Une fille
Aux yeux verts m’attend
La route est là
Mes mains tremblent
mon cœur
aspire à
s’enflammer
mon sang
bouillonne
je crie
mon désir
mon
Sourire
Se montre
Carnassier
J’ai dans les tripes
L’envie
De dévorer
Le monde
Me repaitre
De sa chair
Quelques
Part
J’en suis
Sur
Une fille
Aux yeux verts m’attend
La route est là
Mes mains tremblent
mon cœur
aspire à
s’enflammer
mon sang
bouillonne
je crie
mon désir
mardi 16 août 2011
Des flammes et se brûler
Du feu
Dans
Le bas
du ventre
De la fièvre
Dans
nos regards
Lécher tes lêvres
Carresser tes seins
Il nous faut
De la douleur
Et des cris
Lécher tes seins
Carresser tes lêvres
Il nous faut
Des flammes
Il nous faut
nous brûler
S’aimer
à
nous réduire
en
cendres
Dans
Le bas
du ventre
De la fièvre
Dans
nos regards
Lécher tes lêvres
Carresser tes seins
Il nous faut
De la douleur
Et des cris
Lécher tes seins
Carresser tes lêvres
Il nous faut
Des flammes
Il nous faut
nous brûler
S’aimer
à
nous réduire
en
cendres
lundi 15 août 2011
Un lundi de 2011, ivre à 2 heures 55 du matin
Jeudi,
J’ai quarante et un balais
Je devrais me remettre
à fumer
me souler pendant une semaine
jusqu’à tomber
jusqu’à vibrer
me payer trois ou quatre
putes aux yeux verts
et suffisamment
de champagne
et de vodka pour
ne pas me réveiller
Je devrais boire jusqu’à
Sombrer
Et que mes amantes
Viennent verser
Une larme sur mon
Cadavre avant que
Le croque mort
Le jette à la mer
Sans autre forme
De procès
Boire jusqu’à
Oublier le
Temps
Qui passe en piétinant
Nos corps
Regarde mes yeux
La folie dedans
N’est pas faite
pour
vieillir
J’ai quarante et un balais
Je devrais me remettre
à fumer
me souler pendant une semaine
jusqu’à tomber
jusqu’à vibrer
me payer trois ou quatre
putes aux yeux verts
et suffisamment
de champagne
et de vodka pour
ne pas me réveiller
Je devrais boire jusqu’à
Sombrer
Et que mes amantes
Viennent verser
Une larme sur mon
Cadavre avant que
Le croque mort
Le jette à la mer
Sans autre forme
De procès
Boire jusqu’à
Oublier le
Temps
Qui passe en piétinant
Nos corps
Regarde mes yeux
La folie dedans
N’est pas faite
pour
vieillir
Reste pure et viens chercher mon âme au cœur des flammes de l’enfer où elle brûle
Est ce que tu
Finiras
Toi aussi
Par me détester ?
Est ce que tu me haïras
Si je finis
Par ne pas être
A la hauteur ?
Tu étais
A boire ce soir
Avec moi et dans
La bouche
De ton amante
Toi ma sœur
De sang,
Je te voyais
Te liquéfier
Et Dieu
Que j’aimais ça
Savoir que ton cœur
Battait au rythme de
Ton corps
Les démons auront ma peau
La folie
Le chagrin
Et la tristesse
Rongeront mon âme
Et mes chairs
Est ce que tu me détesteras
Si
Je tombe
Si je ne suis plus capable
d’hurler ma douleur ?
J’arrive au bout, et
Mes veines sont
Percées
De part en part
La vie
Est une dague
Planté dans mon
Dos jusqu’au
poumon
Et si je te déçois
Si je ne suis pas
Assez fort
Pourras tu me pardonner
De n’être pas celui
Dont tu parles si
Bien ?
Il y a du sang sur
Ma route
Du feu et de la
pure
démence
Tout cela
Ne peut que m'exploser
En plein visage
Et toi
que je sois
tombé
au champ d’honneur
ou dans le caniveau
que je sois debout
ou
ivre et
fou
allongé sur le
sol
froid,
fais en sorte
d’aller
Si haut
Que je ne puisse
Même pas
apercevoir
Ton ombre
De là
Où je brûle
Finiras
Toi aussi
Par me détester ?
Est ce que tu me haïras
Si je finis
Par ne pas être
A la hauteur ?
Tu étais
A boire ce soir
Avec moi et dans
La bouche
De ton amante
Toi ma sœur
De sang,
Je te voyais
Te liquéfier
Et Dieu
Que j’aimais ça
Savoir que ton cœur
Battait au rythme de
Ton corps
Les démons auront ma peau
La folie
Le chagrin
Et la tristesse
Rongeront mon âme
Et mes chairs
Est ce que tu me détesteras
Si
Je tombe
Si je ne suis plus capable
d’hurler ma douleur ?
J’arrive au bout, et
Mes veines sont
Percées
De part en part
La vie
Est une dague
Planté dans mon
Dos jusqu’au
poumon
Et si je te déçois
Si je ne suis pas
Assez fort
Pourras tu me pardonner
De n’être pas celui
Dont tu parles si
Bien ?
Il y a du sang sur
Ma route
Du feu et de la
pure
démence
Tout cela
Ne peut que m'exploser
En plein visage
Et toi
que je sois
tombé
au champ d’honneur
ou dans le caniveau
que je sois debout
ou
ivre et
fou
allongé sur le
sol
froid,
fais en sorte
d’aller
Si haut
Que je ne puisse
Même pas
apercevoir
Ton ombre
De là
Où je brûle
Pour une amante aux cheveux rouges
Bien sur que je
T’ai trahi
Bien sur
Que je t’ai
Maudit
Mais tu as posée
Tes
Lêvres
Sur
Les miennes
Et ton
Cœur
Avide
De caresses
Connaissait
Le mien
Ne laisse pas tes
Chaines
Te clouer
Au sol
Ne laisse pas tes cris
Se muer en larmes
T’ai trahi
Bien sur
Que je t’ai
Maudit
Mais tu as posée
Tes
Lêvres
Sur
Les miennes
Et ton
Cœur
Avide
De caresses
Connaissait
Le mien
Ne laisse pas tes
Chaines
Te clouer
Au sol
Ne laisse pas tes cris
Se muer en larmes
dimanche 14 août 2011
Il fut un temps où aucun plafond ne m’empêchait de voir le bleu du ciel
Les mots
Ne coulent
Pas facilement
En ce
Moment
Ça manque
De directs du
Droit
Et de crochets
du gauche
précis et rapides
au menton
De l’existence
Je reste allongé
Sur le canapé
je
Suis
Aux abonnés
Absents
pour mes amis
et mes ennemis
Je ne souhaite
Pas décrocher
Le téléphone
Sa sonnerie ne
M’offre
Plus
l’envie
De
tuer
Les amoureuses
Pourraient
Bien dévorer
Mon cœur
Et piétiner mes
Couilles en
Haut
Talons
Je les laisserais
faire
Je devrais me lever
Et hurler
Mais je
Ne suis
Qu’un homme
Laid égoiste,
et
Vieillissant
Qu’ai-je
Donc
Fait
De
Ma colère
De ma rage
De ma
Manière
Insolente
De faire
L’amour
Aux plus
Belles
?????
Je regarde
Mes mains
Je vois du
Sang
Je regarde
Mon
Ame
Je vois des
Péchés
Je regarde
Ma porte
et
Je me
Demande
Qui de
Dieu
Ou du
Diable
Viendra
sonner
Ne coulent
Pas facilement
En ce
Moment
Ça manque
De directs du
Droit
Et de crochets
du gauche
précis et rapides
au menton
De l’existence
Je reste allongé
Sur le canapé
je
Suis
Aux abonnés
Absents
pour mes amis
et mes ennemis
Je ne souhaite
Pas décrocher
Le téléphone
Sa sonnerie ne
M’offre
Plus
l’envie
De
tuer
Les amoureuses
Pourraient
Bien dévorer
Mon cœur
Et piétiner mes
Couilles en
Haut
Talons
Je les laisserais
faire
Je devrais me lever
Et hurler
Mais je
Ne suis
Qu’un homme
Laid égoiste,
et
Vieillissant
Qu’ai-je
Donc
Fait
De
Ma colère
De ma rage
De ma
Manière
Insolente
De faire
L’amour
Aux plus
Belles
?????
Je regarde
Mes mains
Je vois du
Sang
Je regarde
Mon
Ame
Je vois des
Péchés
Je regarde
Ma porte
et
Je me
Demande
Qui de
Dieu
Ou du
Diable
Viendra
sonner
Aussi fort que je me sois jeté
Je regarde la flaque
De
Sang
Sur le
Mur
Et je me
Dis
Qu’une
Fois de
Plus,
Je ne
Suis pas
Passé
A travers
De
Sang
Sur le
Mur
Et je me
Dis
Qu’une
Fois de
Plus,
Je ne
Suis pas
Passé
A travers
Deux frustrés sur une banquette en faux velours
Apprendre à
Relativiser
C’est par
Exemple
Savoir
Imaginer
La danseuse
Nue
Aux
Seins
Parfaits
Assise
Aux
Chiottes
En train
De poser
Un étron
Aussi quand
cette fille,
moins belle
que
la
dite
danseuse,
la nuit
dernière
Me dit
Qu’elle n’a
Pas eu
Un orgasme
Depuis
Juin
Alors
Que
Nous
Sommes
En Août
Et qu’elle
Refuse
De me
Suivre
Chez
Moi
Pour
Tenter
D’inverser
Le cours
Des choses
Je ne peux
Que me dire
Qu’elle
Est définitivement
De celles
Qui se
Complaisent
Dans
La
frustration
Non ?
Relativiser
C’est par
Exemple
Savoir
Imaginer
La danseuse
Nue
Aux
Seins
Parfaits
Assise
Aux
Chiottes
En train
De poser
Un étron
Aussi quand
cette fille,
moins belle
que
la
dite
danseuse,
la nuit
dernière
Me dit
Qu’elle n’a
Pas eu
Un orgasme
Depuis
Juin
Alors
Que
Nous
Sommes
En Août
Et qu’elle
Refuse
De me
Suivre
Chez
Moi
Pour
Tenter
D’inverser
Le cours
Des choses
Je ne peux
Que me dire
Qu’elle
Est définitivement
De celles
Qui se
Complaisent
Dans
La
frustration
Non ?
Libérateur sexuel
Tu sais,
je crois que tu m’as
libérée
Il y a beaucoup de choses que
Je ne faisais pas
Ou
Que je
Ne disais pas avant
Je la regarde
Et
Je
Me
Dis
Que
Plus
Je
Les
Libère
Moins
Elles
restent
Voyons le
Bon
Côté
Des
Choses,
Celle là
Au moins
Elle
Est
passée
je crois que tu m’as
libérée
Il y a beaucoup de choses que
Je ne faisais pas
Ou
Que je
Ne disais pas avant
Je la regarde
Et
Je
Me
Dis
Que
Plus
Je
Les
Libère
Moins
Elles
restent
Voyons le
Bon
Côté
Des
Choses,
Celle là
Au moins
Elle
Est
passée
samedi 13 août 2011
Petite reflexion acide sur les sentiments qui peuvent parfois relier deux êtres dont la seul erreur est de croire aux contes de fées
Le vrai
AMOUR
c'est
un
noeud coulant
autour du
cou...
ET
... une longueur
de corde assez
courte
pour être
sur
de ne
pas
toucher
terre
quand
l'objet
de cet
AMOUR FOU
otera
d'un geste
sec
- sans une
seule once
de pitié
dans le regard -
le tabouret
sous nos
pied
AMOUR
c'est
un
noeud coulant
autour du
cou...
ET
... une longueur
de corde assez
courte
pour être
sur
de ne
pas
toucher
terre
quand
l'objet
de cet
AMOUR FOU
otera
d'un geste
sec
- sans une
seule once
de pitié
dans le regard -
le tabouret
sous nos
pied
jeudi 11 août 2011
De la lave brulante pour étouffer les peurs
Tout de suite,
Je me demande si je
Dois t’appeler
Je suis en pleine crise
D’angoisse,
Mes mains tremblent
Et
Je me dis que me faire
Sucer
Pourrait calmer tout ça
Bien sur tu ne viendrais
pas
mais je sais que
L’honnêteté
de la
demande
provoquerait
ton
rire
Tu sais
J’aimais bien quand on
Etait
Ensemble
En ce temps là
Je finissais d’oublier
mon Amour
Toi
Tu avais un autre dans le
Cœur mais il avait
Abandonné ce cul
Que tu
m’offrais
moi
Je tentais désespérément
De garder le mien
Hors de portée
Des coups
De pute
De la
vie
Je léchais
Tes seins
Et tu me laissais
Faire
Tu adorais t’enfoncer
Un gode tout en
Pompant ma queue
Tu aimais que je claque
Tes jolies
fesses
Tu détestais
Le mot
Pute
Mais salope
T’excitait
Et chacun de nos
Instants
Etait du feu pour
Cautériser les
Plaies
Certains
nous jugeraient
peut-être
Immondes
Fous et vulgaires
Ce qui serait
Eventuellement
Vrai
S’il n’y avait
Pas
Eu
Tant de rires
Et de lumières
Dans nos
regards
Leurs chaines
Ne seront
Jamais les nôtres
Et quoi que nous ayons
Pu être
Que notre
Liberté
Les dérange
Ou non
Cela
Ne change
Rien
Au monde
ou
à ton
sourire
Rien ne dure
Mais
Les souvenirs
Sont parfois
Un rempart
contre
l’angoisse
et la folie
Rien ne dure
Mais tu es là
et enfin
Je
souris
Je me demande si je
Dois t’appeler
Je suis en pleine crise
D’angoisse,
Mes mains tremblent
Et
Je me dis que me faire
Sucer
Pourrait calmer tout ça
Bien sur tu ne viendrais
pas
mais je sais que
L’honnêteté
de la
demande
provoquerait
ton
rire
Tu sais
J’aimais bien quand on
Etait
Ensemble
En ce temps là
Je finissais d’oublier
mon Amour
Toi
Tu avais un autre dans le
Cœur mais il avait
Abandonné ce cul
Que tu
m’offrais
moi
Je tentais désespérément
De garder le mien
Hors de portée
Des coups
De pute
De la
vie
Je léchais
Tes seins
Et tu me laissais
Faire
Tu adorais t’enfoncer
Un gode tout en
Pompant ma queue
Tu aimais que je claque
Tes jolies
fesses
Tu détestais
Le mot
Pute
Mais salope
T’excitait
Et chacun de nos
Instants
Etait du feu pour
Cautériser les
Plaies
Certains
nous jugeraient
peut-être
Immondes
Fous et vulgaires
Ce qui serait
Eventuellement
Vrai
S’il n’y avait
Pas
Eu
Tant de rires
Et de lumières
Dans nos
regards
Leurs chaines
Ne seront
Jamais les nôtres
Et quoi que nous ayons
Pu être
Que notre
Liberté
Les dérange
Ou non
Cela
Ne change
Rien
Au monde
ou
à ton
sourire
Rien ne dure
Mais
Les souvenirs
Sont parfois
Un rempart
contre
l’angoisse
et la folie
Rien ne dure
Mais tu es là
et enfin
Je
souris
Egoïsme
Regarde le sang
Dans les rigoles
Des caniveaux
Gris
Ecoute les cris
Des cœurs
Déchirés
Laisse la souffrance
Des âmes
Folles
T’envahir
Mais ne vient
Pas me voir
A mon tour
Je suis
aveugle
et
Sourd
Dans les rigoles
Des caniveaux
Gris
Ecoute les cris
Des cœurs
Déchirés
Laisse la souffrance
Des âmes
Folles
T’envahir
Mais ne vient
Pas me voir
A mon tour
Je suis
aveugle
et
Sourd
mercredi 10 août 2011
Comme des dingues
On a baisé dans cette
Hôtel
A l’autre bout
Du monde
Toi et moi
Il y avait ta peau
Ta bouche
Et tes mains
Qui griffaient
Les rideaux
N’étaient pas
Tirés
Et je
Refusais de
Te lâcher
Il y avait la lumière
La tienne
La mienne
Celle qui
Illuminait
La
Chambre
Et nous offrait
Aux passants
Il y avait toi
Et moi
Et rien
Ne comptait
Que mes coups
De reins
Et tes cris
Toi et moi
avec notre folie
Jusqu’à ce que tu
Cries
pitié
Alors
tout
Doucement
J’ai fumé une cigarette
Et je t’ai
dit
Que
je t’aimais
Hôtel
A l’autre bout
Du monde
Toi et moi
Il y avait ta peau
Ta bouche
Et tes mains
Qui griffaient
Les rideaux
N’étaient pas
Tirés
Et je
Refusais de
Te lâcher
Il y avait la lumière
La tienne
La mienne
Celle qui
Illuminait
La
Chambre
Et nous offrait
Aux passants
Il y avait toi
Et moi
Et rien
Ne comptait
Que mes coups
De reins
Et tes cris
Toi et moi
avec notre folie
Jusqu’à ce que tu
Cries
pitié
Alors
tout
Doucement
J’ai fumé une cigarette
Et je t’ai
dit
Que
je t’aimais
Griffer jusqu’à graver mon prénom en lettres écarlates
J’ai planté
Mes ongles
dans la froide
pierre
De ton
Cœur
Je l’ai griffée
Jusqu’à
Voir
Couler ton
sang
Et maintenant
Tu sais
qui je suis
Mes ongles
dans la froide
pierre
De ton
Cœur
Je l’ai griffée
Jusqu’à
Voir
Couler ton
sang
Et maintenant
Tu sais
qui je suis
Que renaisse le Feu
Je me souviens de
Toutes
Mes folies
Mes Amantes brulantes
Et affamées
celle
Qui fut
mienne
Dans des
toilettes
D’avion
cette bouche sur
mon sexe
Dans ce
restaurant
Une autre
Sous un pont
Un jour
d’orage
Tant de souvenirs
De lieux
De désir(s)
Des noms et
Des visages
Différents
La folie qui
Coulait chaude
Et furieuse
Dans nos veines
Bleues
Une façon de vivre
Différente
Ma manière à
Moi
N’en avoir jamais
Assez
Et l’amour était
Ce qu’il y avait
De mieux
Tant pis si je
crève
De son
absence
L’alcool et la drogue
Ne sont rien
Juste une manière
D’en finir
Quand tes rires
Se taisent
L’amour est mieux
Et l’amour était en
moi
J’étais ce fou là
Le corps et le cœur
Brulés
Par le feu
De la Vie
Et je me suis
Consumé
Dévoré par
Les
Flammes bleues
Mais au milieu des
cendres
Quelques braises
encore
Souffle dessus
Toutes
Mes folies
Mes Amantes brulantes
Et affamées
celle
Qui fut
mienne
Dans des
toilettes
D’avion
cette bouche sur
mon sexe
Dans ce
restaurant
Une autre
Sous un pont
Un jour
d’orage
Tant de souvenirs
De lieux
De désir(s)
Des noms et
Des visages
Différents
La folie qui
Coulait chaude
Et furieuse
Dans nos veines
Bleues
Une façon de vivre
Différente
Ma manière à
Moi
N’en avoir jamais
Assez
Et l’amour était
Ce qu’il y avait
De mieux
Tant pis si je
crève
De son
absence
L’alcool et la drogue
Ne sont rien
Juste une manière
D’en finir
Quand tes rires
Se taisent
L’amour est mieux
Et l’amour était en
moi
J’étais ce fou là
Le corps et le cœur
Brulés
Par le feu
De la Vie
Et je me suis
Consumé
Dévoré par
Les
Flammes bleues
Mais au milieu des
cendres
Quelques braises
encore
Souffle dessus
lundi 8 août 2011
L’armure
Je cherche le sommeil
Et rien ne me
Protège
J’ai besoin d’une
peau
Contre la mienne
En guise
d’armure
Et rien ne me
Protège
J’ai besoin d’une
peau
Contre la mienne
En guise
d’armure
Un 10/10
Elle lève sa jupe
et
sa culotte joue dans
la
catégorie
« juste au dessus de minuscule »
Regarde mon cul,
Je trouve que je manque
De fesses, tu en penses quoi ?
Hé, arrête ! Il y a ton copain
Là bas, il va me tuer.
Non non, t’inquiètes,
Il t’aime bien
Plus pour longtemps
Me dis-je
Alors tu en penses quoi ?
ton cul est parfait
vraiment parfait
Un 10/10
et
sa culotte joue dans
la
catégorie
« juste au dessus de minuscule »
Regarde mon cul,
Je trouve que je manque
De fesses, tu en penses quoi ?
Hé, arrête ! Il y a ton copain
Là bas, il va me tuer.
Non non, t’inquiètes,
Il t’aime bien
Plus pour longtemps
Me dis-je
Alors tu en penses quoi ?
ton cul est parfait
vraiment parfait
Un 10/10
Le sommeil
Comme si mon sang
Cessait
De couler
Comme si le vent était
Une caresse sur
Mon corps
Comme si mon cœur
N’avait plus de cicatrices
Comme si le paradis
avait ouvert
ses portes
Et que la vie
Ne soit plus
qu’un long
Baiser passionné
Chaque fois que je
m’endors dans
tes bras
Cessait
De couler
Comme si le vent était
Une caresse sur
Mon corps
Comme si mon cœur
N’avait plus de cicatrices
Comme si le paradis
avait ouvert
ses portes
Et que la vie
Ne soit plus
qu’un long
Baiser passionné
Chaque fois que je
m’endors dans
tes bras
vendredi 5 août 2011
jeudi 4 août 2011
Le gout de la liberté est comme un papillon posé sur tes lèvres (Certains ne connaissent jamais le gout de la liberté)
Assise sur mes genoux,
elle me prend dans ses bras
Avec douceur
J’aime vraiment ça dit-elle
Je crois que je suis une chienne
Je connais un million de femmes
Incapables de prononcer
Ces mots,
Pas de cette
manière
Je connais un million d’hommes
Qui la jugeraient et la
condamnerait
En d’autres temps, on l’aurait
Brisée à coups de
Barre de fer
Sur une roue de
Bois
Ensevelie sous une
Pluie de pierres
Brulée vive sur un
Bûcher
Elle est le feu et le désir
qui dansent dans les corps
Et les cœurs
J’aimerais qu’une femme me lèche
Pendant que je suce une queue
Dit-elle
Je connais un million de femmes
Incapables de prononcer
Ces mots,
Pas de cette
manière
Je connais un million d’hommes
Qui la jugeraient et la
condamnerait
Ceux- là
Celles-là
ne connaitront jamais le gout
de la
liberté
elle me prend dans ses bras
Avec douceur
J’aime vraiment ça dit-elle
Je crois que je suis une chienne
Je connais un million de femmes
Incapables de prononcer
Ces mots,
Pas de cette
manière
Je connais un million d’hommes
Qui la jugeraient et la
condamnerait
En d’autres temps, on l’aurait
Brisée à coups de
Barre de fer
Sur une roue de
Bois
Ensevelie sous une
Pluie de pierres
Brulée vive sur un
Bûcher
Elle est le feu et le désir
qui dansent dans les corps
Et les cœurs
J’aimerais qu’une femme me lèche
Pendant que je suce une queue
Dit-elle
Je connais un million de femmes
Incapables de prononcer
Ces mots,
Pas de cette
manière
Je connais un million d’hommes
Qui la jugeraient et la
condamnerait
Ceux- là
Celles-là
ne connaitront jamais le gout
de la
liberté
Deux vieux amants et leur passé sur une terrasse carrelée
Elle rit en parlant de
Toutes les fois où
le
Feu a jaillit entre nos
Deux
corps
Quand je l’ai prise
Debout contre la voiture
Quand les petites vieilles
nous ont surpris en pleine
campagne, le rire sur leurs
lêvres
quand je le lui ai fait sous la
pluie
puis sous le pont avec le
livreur de pizza venu s’abriter
de l’autre
côté de la rivière qui matait
Elle se souvient
De la robe qu’elle portait
Pas moi, mais elle ne m’en
Tient pas rigueur
Elle me dit
C’était fou quand même !
Rappelle-toi la cheminée
Je réponds
Ah oui la cheminée…
Et la fenêtre aussi
Ah oui la fenêtre…
Elle a trente ans et
ses seins sont d’une
Mortelle
Perfection
Elle les agite sous mon nez
Et elle sait
Que je meurs d’envie
de les
dévorer
Toutes les fois où
le
Feu a jaillit entre nos
Deux
corps
Quand je l’ai prise
Debout contre la voiture
Quand les petites vieilles
nous ont surpris en pleine
campagne, le rire sur leurs
lêvres
quand je le lui ai fait sous la
pluie
puis sous le pont avec le
livreur de pizza venu s’abriter
de l’autre
côté de la rivière qui matait
Elle se souvient
De la robe qu’elle portait
Pas moi, mais elle ne m’en
Tient pas rigueur
Elle me dit
C’était fou quand même !
Rappelle-toi la cheminée
Je réponds
Ah oui la cheminée…
Et la fenêtre aussi
Ah oui la fenêtre…
Elle a trente ans et
ses seins sont d’une
Mortelle
Perfection
Elle les agite sous mon nez
Et elle sait
Que je meurs d’envie
de les
dévorer
La seconde fois
Je l’ai emmené à l’hôtel et là,
Pour la première fois
toute
la nuit, j’ai embrassé son
corps
Je connais chaque parcelle
de sa peau,
je l’ai
griffée
maintenant, il est quatorze
heure et
nous sommes assis dans un
restaurant
Quand le ciel se
déchire
Je jette un œil par la fenêtre
Tu as déjà fait l’amour
sous l’orage ?
Sous… ? Mais t’es
dingue ?
Oui, mais ce n’était pas ma question.
Tu l’as fait ou
pas ?
Non
Finis vite ton plat
D’accord !
Pour la première fois
toute
la nuit, j’ai embrassé son
corps
Je connais chaque parcelle
de sa peau,
je l’ai
griffée
maintenant, il est quatorze
heure et
nous sommes assis dans un
restaurant
Quand le ciel se
déchire
Je jette un œil par la fenêtre
Tu as déjà fait l’amour
sous l’orage ?
Sous… ? Mais t’es
dingue ?
Oui, mais ce n’était pas ma question.
Tu l’as fait ou
pas ?
Non
Finis vite ton plat
D’accord !
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