Jadis,
ton corps de lave en fusion
prenait vie sous le mien
il suffisait d’un peu de ta
peau
sur la mienne
pour souffler la flamme lancinante de ma souffrance
me dis-je
peut-être
nous sommes nous aimés
dans
chacune de nos vies
peut-être
que là aussi, à chaque fois,
je t’ai perdue
je t’ai perdue
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