Quand ma vérité résonne
comme un glas
Je hais les miroirs qui me
rappellent si durement que
ma rage a le visage
d’une défaite annoncé
tant pis, je m’entête
dans mes errances, écrire et
me tuer à petit feu
dans l’alcool qui n’aide en rien
me détester et me branler
sur des fantasmes bizarres
il faut ce qu’il faut pour
s’affranchir de l’espoir
affronter la réalité de la
mauvaise
idée
qui clame haut et fort qu’
on ne peut
se libérer
des chaines
la VIE
est une chienne
savante
Il faudra bien qu’un
jour
ELLE me donne son cul
pour une levrette claquée
d’anthologie
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire