Tu es là étranglé par ta Vie
Un sourire étrange sur tes lèvres
Tu ne te reconnais pas dans le miroir
La folie coule de ton regard et
Nul ne sait où va ta préférence
avoir un flingue
Appuyé sur ta tempe et
suffisamment de tripes
Pour libérer la balle qui fera gicler
Ta cervelle et toute la fièvre
Qui ronge ton
Âme
Ou
que tes mains et
Ton cœur
Cessent enfin de
trembler
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