Tu connais les routes froides
Et les hivers
interminables
Comme un bloc de pierre
Accroché à tes pieds ta
Solitude t’empêche de nager
Tu voudrais hurler
Mais tes poumons sont
noyés
Le temps a passé et la mort
Approche à grands
pas
Tout ce sang versé sur le chemin
Tout ces mots
Tous ces cris
Toutes ces fois où tu as voulu
mordre
Tu baisses la tête et tu attends
Il faudra bien
Que renaisse en toi cette envie ce
besoin
griffer jusqu’au sang,
le visage de ton
existence
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