On
connaît tous le goût du sang
on a tous un amour
et une fascination pour la mort
comme
si tout ça n’était qu’un jeu
comme
si tout ça n’était qu’un feu, mais
la vie, c’est ce qui nous brûle
J’ai passé du temps à m’enfuir
mais
je connais tes cris d’amour,
j’aime le son de mon prénom
dans
ta bouche gémissante,
bébé je peux griffer et mordre
claquer ton cul, faire de toi ma
pute
où
t’aimer comme une princesse de conte de fées
au gré du vent
inconstant
rien n’est vrai, rien ne dure et je
m’en fous
puisque
tout doit mourir, je dévore chaque seconde
au creux de
ton cou
au creux de
tes cuisses
Voici, ce qui est VRAI
… et chacun de tes cris est une
naissance
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