L’aube
est là
j’écoute
des musiques
mélancoliques
je
lis de la poésie
et
je suis seul comme le vent
est seul
j’ai
le cœur déchiré et
je connais le goût
de
la colère comme je sais
la violence du désespoir
il
faut parfois approcher la
folie pour se défaire
de ses chaines
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