dimanche 17 avril 2011

Les femmes mariées rentrent chez elle

Je me souviens de ton prénom
Et de tes cheveux noirs et courts

Une des premières choses que je t’ai
Dit était que je préfère les femmes
Mariées
Car elles rentrent chez elles
Et plus tard
Tu m’as demandé pourquoi
J’étais si fou
Et je t’ai répondu que si tous les
Amis de ton homme n’étaient pas
Autour de nous dans la discothèque
Nous aurions déjà conclu ensemble
Et je t’ai plantée là
Mais tu m’as suivi et tu as posé
Tes Lèvres affamées sur les miennes

Plus tard,
Dans le couloir qui menait aux
Toilettes
J’ai ouvert ton pantalon et glissé
Ma main dans ta culotte rose
Et tu ne te foutais pas
D’être vue
Mais le désir était plus fort

J’aimais tellement ta manière
d’embrasser et de me serrer
dans tes bras
oh putain oui,
tu embrassais si bien

Je me souviens de ton prénom
Et de cette nuit
Et je sais que si ton connard
De mec ne t’avait pas
trompé en premier,
DEUX fois,
Il ne se serait sans doute rien passé
tu aurais résistée
Car
Tu avais raison
J’étais Fou, incontrôlable et effrayant


Mais les hommes sont stupides
Et la plupart ne savent même pas
lécher une Chatte correctement

Incapable
De se rendre compte du prix inestimable
Qu’une fille comme toi valait
Le tien ne faisait pas exception

Il ne méritait,
pour le mal qu’il t’avait fait,
que de finir brisé et haché menu
par une Pute froide et calculatrice
quand toi tu aurais trouvé le Bonheur
parfait et magique, ce qui j’espère
t’es arrivé depuis cette nuit
ou tes lèvres aspiraient mon âme
et mon cœur par ma bouche

Je me souviens de ton prénom
du gout de tes caresses et de la couleur
de tes cheveux
tu méritais mieux que ton homme,
tu ne méritais surement pas
Ma Folie
Et ce poème
n’est qu’une maladroite manière
de te remercier de m’avoir
laissé
caresser ta peau et ta
petite culotte rose,

me baigner doucement
dans ta Lumière Or et Feu

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