Je me suis branlé sur la photo de tes seins énormes
et je sais que ça
t'excite de le savoir
et tu voudrais que
je t'écrive un poème d'amour
mais je ne sais
pas écrire de poèmes d'amour
à l'évidence
je suis un poète
du cul, pas du cœur
sans doute parce
que les histoires de cul
ne font jamais
verser de larmes
et tu voudrais
qu'on se voit et qu'on baise
c'est mieux que
l'amour et
j'ai déjà reçu de
plus mauvaises intentions à mon égard
25 ans
tu as lu mes mots
et tu sais, que je
suis dingue, que je claque les fesses
et griffe les
peaux, que j'adore dire des choses pas du tout douces comme
- tu es ma pute -
des phrases qui
asservissent
mais il ne faut
pas de marques car il en existe Un que tu aimes et ne veut
perdre
et je comprends
ça, la différence entre le sentiment et le désir inassouvi
tu aimes, dis-tu,
être humiliée
et je trouve ça
cool
vraiment cool
plus cool que
toutes ces filles qui me parlaient de loyauté
et partaient voir
les garçons dès que mon dos se tournait
il est clair que
certaines infidélités expliquent certaines de Mes infidélités
ce qui fait, que
je comprends tout ça et trouve tout ça
cool
mais il faut bien
que tu saisisses
tous ces trucs
hideux à l'odeur de souffre que je ponds
reflètent une
certaine perversité, un gout affirmé pour la douleur
souvent
auto-infligée et
résument
l'obscurité quasi-continue
de près de 20
années de ma putain de vie
et depuis mes moments
de gloire (ou presque)
j'ai pris du bide,
perdu des cheveux et de la vivacité
je transpire et
m'essouffle durant les rounds
j'encaisse plus
que j'esquive
au fur et à mesure
que j'apprends à la dure
quelle cruelle
guerre est l'existence
mais au cas où
(entre autres, alcool+baise surprise)
j'ai du viagra
indien dans l'armoire de ma cuisine et en ce moment, je travaille
mon cardio
body pump, RPM et
boxe thaïlandaise
histoire de
laisser une chance de briller
à mes
hypothétiques coups de reins
alors peut-être
que oui, c'est un risque à prendre,
pourrais-je le
temps de quelques coups tirés
à bout
portant,
redevenir ce
cinglé du cul que tu sembles vouloir en toi avec une certaine forme de
violence
les chairs
deviennent flasques avec le temps mais il en faut encore
un peu plus
du temps
pour tuer la
flamme et le sournois appétit pour ce qui brûle et racornit l'âme
et je me sens
comme dans l'oeil du cyclone
et si tu étais là,
sans doute songerais-je qu'il est temps de
te fouetter avec
ma ceinture en cuir marron
puisqu'après tout,
tu connais déjà ton mot de sécurité
voilà qui tu
désires jeune fille,
quand tu m'envoies
par surprise cette photo de tes seins énormes
------------------------ #relancetonporc -----------------------
1M80 d'échecs
répétés
98,9 Kilogrammes
de folie déviante
pour un poids de
forme originel de 68 kg
le tout
arrosé à la vodka
pendant un million de nuits
dans le vain
espoir de tromper le désespoir à défaut d'une femme ou deux ou plus et
avec dans le
regard, quelque chose d'égaré qui souvent, effraye les demoiselles
et les pousse à
éloigner leurs chattes parfaitement épilées ou non
de ma queue de
pornographe
de mes mains de
branleur alcoolique
de ma bouche
arrogante et
de ma langue
menteuse malgré l'indécent plaisir que ces dernières sont capables
parait-il
(instant frime)
de procurer
48 balais dans
trois semaines
un vieux pervers
sur le retour qui se branle sur la photo de tes seins énormes
et qui sourit
salement en le faisant
parce qu'il sait,
petite chienne, que ça t'excites vraiment
et que c'est ton
choix
et
ton
désir
auxquels il répond
et voila ma simple
branlette devenir une studieuse révérence devant l'énormité de tes seins
provocation et
subtil pied de nez pour les bien pensants !
licencieuse
poésie, virtuel amant porno/graphique, chante avec moi
poète du cul
poète du cul
poète du cul
poète du cul
poète du cul
poète du cul
poète du cul
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