ma poésie et pas la tienne
mardi 4 mai 2010
Que les larmes ne brouillent jamais ta raison
Tu as fais tes choix petite sœur
Alors je ne peux que te souhaiter de ne jamais tomber
Car ce n’est qu’une fois à terre,
Qu’on se demande pourquoi
On n’a pas emmené avec soi
Ceux qui étaient toujours là
Quand on les appelait,
Ses vrais amis
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