De
la solitude à en crier
Voilà
ma prison,
L’amour n’existe pas
Quand
elles n’ont pas la chance
De
vivre avec
elles pleurent
Pour
un type
Qu’elles
conseilleraient à leur
meilleure
amie
de quitter
Je me souviens de mon Amour
en partance
vers un monde loin, très loin,
du mien
et ses mots…
Je ne te
vois plus que comme un mec…
… gentil
Et
aussi…
… j’aurai du être fier de toi,
Classifié
en deux phrases « perdant au grand
cœur »,
me voici, les yeux rongés par les
Larmes
Depuis
De
la solitude à en crier
Voilà
ma déraison
J’avance les veines ouvertes
Aux quatre vents
L’amour n’existe pas
Et
le bonheur c’est pour les morts
(Peut-être)
je
regarde les fous croire et je sais
que
c’est l’espoir de l’erreur qui me
ronge
mais
ma
lucidité et ma vérité sont des tisons
brûlants
plantés dans ma poitrine,
et
voici comment j’avance, les poumons
transpercés
par le feu, criant à chaque
inspiration
la
nuit je dors seul
et
les battements de mon cœur sont le bruit
des pas qui me rapprochent de la mort
et au matin, les yeux grands ouverts
je brûle
De la solitude à en crier
Voilà
mon enfer,
Très touchant !
RépondreSupprimerMerci :)
RépondreSupprimer