Nulle main posée sur ma poitrine
Nul désir de sentir les battements égaré de ce cœur
Nulles lèvres pour murmurer doucement à mon oreille,
« tu ne seras plus jamais seul »
Nul corps brûlant pour m’attirer au creux d’un lit
ou dehors,
(n’importe où
dehors),
Nulle voix pour me supplier
« fais moi l’amour et fais moi crier,
dis moi des choses sales mais
dis moi que tu m’aimes »
Il y a du vent et des cendres là où dansent les démons
Le sang cesse de couler et le visage devient gris
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