Je pourrai t’ouvrir mon cœur
Et te laisser ce corps
Mais je ne souhaite pas
que tu visites
Ces brumes noires
Brouillards d’acides
où mon âme si souvent
s’égare,
marécages brûlants
où brûlures et cicatrices font
bon ménage
Je brille d’une sombre lumière
Et mon âme se consume
Ne me trouve pas là où je suis perdu
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