mercredi 14 décembre 2011

Les morts n’attendent rien de la vie

Tu vas peut-être traverser ma vie

        un soir

déchirer en deux mon cœur
                être l’éclair dans la sombre folie de mon regard

                                Et pour Toi
il me faudra abattre le monde

        le déposer à tes pieds

                Tout ce sang versé
                         m’a-t-il appris la patience ?

2 commentaires :

  1. La patience, non. Ou plus tard..
    Mais la douceur vous va parfaitement :)

    J' aime bien le titre
    Le reste aussi d' ailleurs

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  2. C'est toujours un plaisir de vous croiser là :)

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