dimanche 29 mai 2011

Il y a du sang sur les murs de ma prison mentale

En chien de fusil
sur le sol
à
maltraiter
mon âme

Comme si
je voulais
hurler
avec
une lame
De
Rasoir
Au fond de
La gorge

la
Folie
Courre
Dans mon
cerveau,
Elle se cogne
Aux murs
 
Ouvrir les yeux
est une
souffrance,
les fermer
un
suicide

Je sais bien
que
le soleil
ne brille jamais
pour les
        perdants

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