Photo de son corps serti dans une petite culotte, seins énormes et beauté pure et décadente glissés
dans ma messagerie
dans ma messagerie
elle aime la douleur et l'imagination. Je suis une garce dit-elle souvent
son esprit navigue dans des sphères qui me sont innacessibles,
et tant d'hommes
la haïraient pour ça
pas moi mais j'imagine que ça aussi, elle doit le cacher
nombre de mes congénères masculin détestent qu'on leur ôte leur prétendu supériorité
"Mon corps. Tu me trouves belle ? tu me diras"
oh bébé,
je vais me branler sur ce corps la
(et tu le savais déjà)
ô
je voudrais gifler ces joues roses, lécher ces seins énormes, mordre ta peau de pécheresse
et n'importe quelle homme et nombre de femmes voudrait te faire, au minimum, de
mème
tu es belle
tu es magnifique
(et cela implique tellement plus que ce corps splendide sculpté pour l'étreinte)
tu es
belle et magnifique à se damner
à laisser choir ses amantes
à se noyer dans le noir de tes yeux dingues, à s'ouvrir les veines pour eux puis à boire son
sang et passionnément, se nourrir de sa propre mort
des fois je songe à toi
je voudrais connaitre tes secrets, ce qui a été brisé en toi, par qui, (simplement pour le ou la haïr moi
aussi) mais je sais bien que tu révèles peu ce secret enfoui quelque part
pour ne pas t'en souvenir,
(nous faisons tous de mème, nous rangeons ce qui nous brise tout au fond et feignons de l'oublier)
et
comme tous les hommes, je me laisse aller à penser au sexe avec toi
(pas à l'amour je sais que tu n'en aimes qu'un)
moi, je veux être celui capable de te louer à d'autres au coin d'un bois juste pour assouvir ce fantasme si jamais
il est en toi, (je sais que tu comprends ce que je veux dire)
la nuit, quand tu me tiens compagnie malgré la distance
je songe à t'asservir pour mon propre plaisir ou
à t'offrir à des hommes sur des parkings, les regarder te salir et te posséder sur le goudron gris
tout en sachant qu'à aucun, tu n'appartiendras jamais, puisque mème quand tu tends tes mains
pour les chaines
tu restes
libre comme personne
ô
je voudrais voir ton visage
souillé du foutre d'inconnus
que ton sourire repu soit le reflet de ton triomphe
et le plaisir reçu
ta couronne d'or et de rubis
tu le sais n'est-ce pas, à jamais
ta beauté brûlera mes yeux
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