mardi 18 juillet 2023

L'amour ressemble à un patron de sex-shop !!!

14 Juillet 2023, 

les filles ne m'envoient plus de photos d'elles nues
mes amoureuses ont disparu
le soleil brûle ma peau, mon âme et je me dessèche à verser des larmes de solitude

mais il reste mon plan cul

il n'y a plus qu'elle qui veut de moi
elle a douze ans de moins, elle a fait 45mn de train
pour que je la prenne
et maintenant
on est en train de baiser, j'ai pris un cacheton de contrebande, je veux la déchirer en deux avec
ma queue de salaud

- au fait, j'ai une cravache je dis après une première étreinte.

(une vraie d'équitation, très efficace, achetée 5 euros dans une célèbre chaine de magasins de sport, rien
à dire sinon que les patrons de sex-shop sont des arnaqueurs)

je la menotte aux barreaux de mon lit noir et la voici nue, sur le dos, cuisses écartées
et je commence à faire claquer le cuir sur son clitoris de salope, puis je m'attaque à ses seins,
à l'intérieur des cuisses, je la tourne sur le côté gauche, marque son cul, pareil pour le côté droit
doucement, un ou deux coups sur ses joues roses, elle mouille, ça l'excite, j'ai envie d'être sale,
je vois les zébrures sur sa peau, je veux qu'elle m'appartienne.

tu as la nuance suivant ou tu tapes, c'est rare... putain, ca m'excite de plus en plus de me faire frapper...
c'était pas comme ça avant, j'ai toujours aimé les fessées mais ça, maintenant, j'aime VRAIMENT...

- je le vois, mème les claques sur le visage t'excitent, avant je le faisais juste pour t'énerver pendant
l'acte, j'aimais te voir râler, maintenant tu mouilles dès que je le fais
elle se marre

je  cingle, je la marque, je la fait mienne,

avec deux doigts je commence à la branler comme elle aime.
Son bouton sous mes phalanges, elle
gémit, crie, je claque ses seins, je la traite de sale pute qui aime se faire frapper, de chienne, de salope
elle dit oui à tout

comme ça,
elle jouit vite et fort
une putain de jouissance

- celui-la, je l'ai pas vu venir dit-elle après que je l'ai détachée

elle sourit, nos lèvres et nos peaux se collent puis on descend, dans
la glace, elle juge en riant la qualité des marques sur sa peau
On va boire sur ma terrasse, une bière pour elle et un
peu d'eau pour moi, je lui propose de remplir ma baignoire d'extérieur si elle veut
se rafraichir, elle refuse, on se raconte des histoires drôles, elle fume, on remonte
dans la chambre et
on baise. 

enfin début de soirée, il n'y a plus de train alors je la ramène chez elle, 
bien loin de nos perversités de jour férié, on discute et on rit tout le trajet
 
je prends la route du retour lorsque le soleil se couche, le chien est à côté de moi
et il me fait ses magnifiques yeux dorés de chien pas battu,
je mange un paquet de gateaux au chocolat qu'elle m'a offert, je souris, 
je pourrai presque m'aimer

cette fille, 
Elle aime le cul comme on aime respirer, j'en ai connu des moins chaudes, mais pas
souvent, celles qui viennent vers moi aiment qu'on les griffe et ne cherchent plus un mari
les autres,
je vous les laisse et ainsi je sais que je n'aurai rien, pas d'enfant, personne pour me tenir
la main quand viendra l'heure, mon avenir se nomme solitude, il faudra faire avec
Jesus a connu la souffrance sur sa croix de bois, je connaitrai la folie qu'engendre le silence

l'amour ressemble à un patron de sex-shop, me dis-je tout en conduisant, la prestation est sur-facturée
et ceci n'est ni triste ni mélancolique,

il y a des jours comme ça, des jours où
le cul suffit pour tenir




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