Toi ma sorcière aux yeux de flammes obscures
J'ai violé ton cœur et je n'ai fait preuve d'aucun remord devant le tribunal
la nuit était ma complice et faut dire ce qui est, personne ne s'autoriserait à aimer ma sale gueule
au grand jour
alors, j'ai fait ce que je savais faire
au grand dam des censeurs et des jaloux
dessiné de rougeoyants symboles sur ton petit cul blanc
murmuré des mots d'asservissements, si choquants, si aimants
et maintenant, tu as repris ta liberté, brisé les chaines de velours que j'avais enroulées
autour de tes mains jointes sur ma queue dure alors que ta bouche me priait de la prendre
rêve-tu de moi quand d'autres te touchent ?
la violence dans mes yeux t excitait
et je ne reviens jamais vers toi
car je sais bien que tu m'as oublié
et j'ai toujours préféré le gout du sang à celui des larmes
le diable n'existe qu'au plus profond de nos âmes, attendant son heure dans l'ombre
et dieu n'a jamais été que la première étincelle de vie dans l'univers
et rien ne se passe mème si tout trépasse
allonge toi et
je lécherai ta peau jusqu'à ce que tu mouilles et dans tes yeux reviendra le printemps
ô mon amour
je n'ai rien appris
et toutes, je vous ai déçu
mais quand bien mème
nous avons tellement
rit
de la musique douce sur un piano rose, je savais aussi être cette caresse là
d'avoir cru que cela durerait toujours
je suis coupable de trop d'innocence
ta
ta
ta ta ta la la
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