Je
n’accuse personne, j’ai baissé les bras
« elles »
ont fini par avoir ma peau « toutes » ces
amours
erratiques,
comme un semblant de vérité posé
sur
la langue d’un mensonge, donne moi une étincelle
je
t’offrirai un incendie, c’est le sang, le sang
qui
jamais
ne
sèche et voile mon regard, je sais, je sais
personne
ne sait où traine mon amour,
ses yeux sont noirs et
on y croise la folie
qui
ne cesse de rire, personne ne sait où se donne
mon
amour et puisque tout est trahison,
rien
rien
rien
ne
dure
personne
ne croit puisque tout est comme les embruns
un
gout salé au fond d’une gorge sale, personne ne croit
que personne ne vole
plus
haut
que
les
anges
moi
si,
j’y crois
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