jeudi 5 juillet 2012

Infernale(s) Beauté(s)

dans la boite de nuit, je plante
mon doigt dans le cul de la fille aux seins
énormes
aux yeux
marron vert

Ailleurs,
Je La plaque contre un mur
Elle gémit et dit :
les chiottes !

c’est là que nous nous enfermons
Mais nous n’avons pas de capote
Et je suis complètement bourré,
            En furie, Elle s’ouvre sous mes doigts
                                                (fin du round)

plus
Tard,
Quand
Je
La
ramene chez
Elle,

Il fait jour et Elle me laisse cet  étrange
au revoir qui en
vaut
Bien
Un autre

Je dois faire pisser les chiens et partir au boulot mais
ne t’inquiète pas, je finirai bien par réussir
à te sucer,

je rentre chez moi noyé dans le soleil du matin et je préfère
être
dingue
car,
Infernales Beautés,
elles ne tombent jamais amoureuse des poètes

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