Les yeux
fatigués,
L’alcool en
guise de couleur,
Il faut ouvrir
les yeux, dehors
La vie
N’attendra
pas
Plus jeune,
Innocent
que j’étais,
je croyais
Qu’il
suffirait de me détruire
Pour
écrire,
Je voyais
dans ce mépris de la vie et du
Sacré,
Une artistique
et décadente beauté,
(morbide fascination d’un Coeur
jadis
rempli de vie)
Plus vieux,
Rongé par
ce demon,
(Noircir le papier)
je n’ignore plus
que seule
la souffrance mène le jeu,
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