ô mon amour tu avais l'irréalité d'un destin
et tu peignais tes longs cheveux assise sur le lit
et j'apprenais de nouveaux territoires en moi
les femmes viennent et elles apportent quelque chose de rose
qu'elles déposent ici et là sans un mot
puis elles partent
et la solitude recouvre tout ça de poussière grise
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