Il est de ces nuits
Où le sommeil et les femmes te fuient
Où l’obscurité n’est plus une armure
Et tu te demandes, si tu aurais encore la force
D’égorger un innocent
Sans que ta main ne tremble
De ces nuits où l’éventuel jugement d’un Dieu juste
Se révèle susceptible
d’influencer
tes décisions
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