Enfermé à écrire de
mauvais poèmes
Froide
la solitude
glacés
les souvenirs des faux pas
des erreurs
des lâchetés
un étau
D’acier autour
De mon crâne
Les yeux prêts
à jaillir
des orbites creuses
Tenir jusqu’aux cauchemars
de la nuit
Attendre le soleil
Dehors
les oiseaux s’en foutent
ils sont trop occupés
à fuir le chat
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