Un jour il y en aura une nouvelle
Qui passera et accrochera mon cœur en pendentif autour de son cou
Pour mieux le dévorer quand bon lui
Semblera
Moi,
Le sourire béat
Je m’endormirai près de ses cheveux
Mouton stupide
Tenu par les couilles
Et ce lancinant besoin de trouver un peu de répit
Voir mon âme cesser de saigner dans la solitude
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire