Hey Chevy
Chevy,
le mois s’est terminé hier
et tu n’as
pas pointé le bout de ton joli minois
pourtant tu avais promis Chevy Chevy
les femmes
sont inconstantes, je le sais bien
et leurs promesses sont du vent et
du sable
entre nos
doigts
hey
Chevy Chevy
ne crois pas que je quémande
et bien
sur, j’aurai besoin d’un corps chaud
qui ne pose pas de question, mais
tes rires
et ta folie me manque, tu sais bien
que mon mal
de
vivre
est une feinte pour contrer les
amours défuntes
les corps
qui se frottent, ce n’est pas primordial !
tu avais
promis, j’ai une dette et tu sais bien que tu peux
venir
danser dans tes bottes de velours, il y a des sourires
qui rendent la lumière obsolète et
pour le reste
tu ne
crains rien,
une fois de
plus je n’ai plus personne dans le cœur
il faut
bien que je me guérisse de celle-là et maintenant
je suis comme un marin sur une mer
d’huile,
il me manque le vent, c’est une
question
de
patience, Chevy Chevy, tu sais bien que les types
comme moi
préfèrent appuyer eux-mêmes sur la gâchette
alors dis-moi qu’est-ce que tu fous,
planqué dans
des photos
noirs et blancs, tu es faite pour les rires et
la dinguerie, libre à toi de
prétendre le contraire
à moi, on ne me la fait pas, peut-être que tu
pourrais
amener tes jolies fesses, ôter le
verre de ma main
et me dire, « pas ce soir
Vince, pas ce soir »
et ça suffirait,
nos peurs, jamais, ne
nous protégerons
de
nous
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire