Toute la
journée à se dévorer
du regard
et me dire
que je
lécherais tes seins et claquerais
ton cul
avec joie,
Moi
le type
timide
quand il ne
verse pas de vodka dans
ses veines,
je te
regarde et tes sourires sont doux
et bien sur
tu aimes aussi
les jolies
filles, je le vois à ta manière
de les
regarder, tu te trimballes le cul
à l’air, on
est là, sur un salon porno
et les jours
passent et
il ne se passe rien,
et tu pars
en me laissant
ce mot
« i like you »
mais nous savons
bien que tu
mens, tu as fini
par ne plus
m’aimer et moi
je suis
tombé amoureux d’une
autre mais c’est la chatte trempée
d’une
troisième que j’ai caressé,
et je me dis qu’il est temps
que l’amour
me trouve,
mais
l’amour impossible est mon fléau
comme si cela ne suffisait pas
tout ce
sang déjà versé, connaître l’illusoire goût
de la paix
me suffirait, mais non,
l’histoire
se répète,
n’aimer que des putes
et saigner pour elles
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