mercredi 23 octobre 2013

Ton joli cul, Berlin et mes illusions

Toute la journée à se dévorer
du regard
et me dire
que je lécherais tes seins et claquerais
ton cul avec joie,
Moi
le type timide
quand il ne verse pas de vodka dans
ses veines,
je te regarde et tes sourires sont doux
et bien sur tu aimes aussi
les jolies filles, je le vois à ta manière
de les regarder, tu te trimballes le cul
à l’air, on est là, sur un salon porno
 et les jours
passent et il ne se passe rien,
et tu pars en me laissant
ce mot
« i like you »
                        mais nous savons
bien que tu mens, tu as fini
par ne plus m’aimer et moi
je suis tombé amoureux d’une
            autre mais c’est la chatte trempée
d’une troisième que j’ai caressé,
            et je me dis qu’il est temps
que l’amour me trouve,
mais l’amour impossible est mon fléau
            comme si cela ne suffisait pas
tout ce sang déjà versé, connaître l’illusoire goût
de la paix
                        me suffirait, mais non,
l’histoire se répète,

                        n’aimer que des putes
                        et saigner pour elles

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