Voilà, j’ai perdu la brune canon à la bouche
brulante, elle a cessé d’écrire et
perdu dans un autre monde, dans une autre
vie que la mienne, il n’y a rien pour moi,
pas d’amour
trop d’aimées, inutile d’attendre, les
dieux et les déesses en rient,
toujours
c’est mon cœur qui finit l’aile en
flammes
avant de s’écraser
sur un sol pavé de mes bonnes intentions
et l’année démarre,
encore une fois, je me vois prendre
de mauvaises résolutions et croire
que cela me protégera
je
devrais
me sauver de la folie, du manque d’amour,
des bouches et des corps chauds
mais hier c’était, habituel refrain,
la vodka qui m’aidait
à rester droit dans mes bottes,
sonné, sonné, compté
debout, faut-il donc
être lâche pour se donner autant de coups
à l’âme
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