Tu as posé tes yeux noirs devant moi,
Et je me suis demandé si je pouvais encore
espérer vaincre le soleil,
Tu étais là, avec ton sourire, et je voyais
de temps à autres, une étincelle
éclairer ton regard,
sans doute qu’il serait bon me disais-je
de laisser tes mains griffer ma peau,
et mon âme
juste pour le plaisir,
de faire
ce que bon me semble
libérer ton rire,
m’en nourrir
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