Je me suis assis
et je t'ai regardé
J'étais déjà mort
mais tu ne le savais
pas
j'étais déjà fou
mais tu t'en
doutais
Les mensonges
glissaient sur
le rouge de
tes lèvres
mais tes yeux
te trahissaient
stupide
je n'ai pas
voulu les
croire
c'est ainsi
que les égarés
disparaissent
Brisés par
le vent
emportés
par la tempête
là
où
nul
ne pleure
leurs cœurs
déchirés
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une tempête brisant des égarés... sûr!
RépondreSupprimerannaj