Que
ceux qui choisissent l’esclavage gardent leur chaines
Juste
après un 69 et une bonne partie de baise,
tu
as dit
« Sucer
une bite tout en me faisant lécher avec un doigt dans mon
cul, c’est vraiment bon, » et je me suis
souvenu
de toi, plutôt coincée sur tout ce qui étais sexe
lorsqu’on s’était rencontré, mais tu
avais décidé
de
changer cet état de choses et tu l’avais bien changé
et on a baisé dans un escalier et un
ascenseur, dans et sur
des
voitures, sur la table de la cuisine, contre le lavabo, assis, debout,
couché,
à quatre pattes, ici ou là, dans cette ville et d’autres, dans le jardin,
sur
une moto, dans des forêts et des lits, à côté de lits, contre les armoires, partout
où on le désirait de la façon dont on voulait, comme cette fois là, toi en
train de gémir avec le pantalon et le string sur les genoux, appuyée contre le
mur
d’une maison jaune lors de la soirée d’anniversaire d’un ami, les invités
étaient
dans
le jardin, de l’autre côté, et les voisins et la rue pouvaient nous voir et on
s’en foutait
comme on se foutait, des règles, de la morale, de
l’éducation… le cul nous donnait
le
sourire , autant de flammes pour nous nourrir
et tu adorais les mots crus et les insultes
et la folie dans tes yeux, putain, je l’aimais comme
un drogué idolâtre sa dose, quand
on
était moi en toi la nuit, peu importe que l’aube décide de ne pas venir,
nous avions volé la lumière
et
on laissait
les
vies tristes et conformistes aux autres, puisque la plupart rêvaient de vivre
comme
nous
mais
la
plupart
n’osaient
pas
et je ne sais pas s’il est question d’AMOUR
quand
je parle de VIVRE et de LIBERTÉ, mais
c’était
ça le
truc,
nous
on osait
Le poème le plus excitant de ce blog ... Une leçon de baise, de vie.
RépondreSupprimerune histoire vraie et .... vraie :)
RépondreSupprimeret un chouette commentaire, ami(e?) Anonyme !!!! merci
RépondreSupprimer