mercredi 12 septembre 2012

La lettone au lancinant refrain

Elle venait de Lettonie,
elle était blonde
Grande et pas moins cinglée que la
majorité de mes
gonzesses,
Elle répétait sans cesse qu’elle
Sortait avec moi
par intérêt et qu’elle ne m’aimait pas.

Je te laisse m’embrasser car j’ai besoin de toi.
Mais si tu viens à Riga, je connais
des gangster, je leur dirai de te
Tuer et jamais je ne coucherai avec toi.
                       
chaque soir je la raccompagnais
jusqu’à sa chambre d’hôtel
et elle refusait de baiser avec moi.
Le premier soir, elle m’a laissé devant la porte,
Le second soir j’ai dormi dans son lit
mais impossible
De fourrer sa chatte, elle avait beau caresser ma poitrine
En disant “j’aime ton corps,” elle a tout refusé, même
une simple branlette
Le troisième soir, je commençais à avoir les crocs
Et quand elle a refait son cinéma avec mes pectoraux
            J’aime ton corps mais jamais je ne coucherai... gnagnagni... gnagnagna
(lancinant refrain)
J’ai pris sa main et je l’ai fourré dans mon caleçon.
Ça bandait bien, (je ne buvais pas en ce temps là),
Et elle a fait :
            OOOOOH, J’AIME TON CORPS.
Elle s’est mise à me branler frénétiquement,
            comme une furie et  finalement, j’ai réussi
à la grimper
mais elle n’a pas arrêté son cinéma
je ne coucherai jamais avec toi criait-elle
Et plus je la limais,
Plus elle gueulait que jamais je ne la baiserai.
Au bout d’un moment, fatigué d’entendre ça
j’ai stoppé le va-et-vient

FERME LÀ, JE SUIS À L’INTÉRIEUR MAINTENANT !!!

AHHHHHHHHHHHH (fut sa réponse)

Après ça, elle ne m’a plus emmerdé jusqu’à qu’on termine

2 commentaires :

  1. J'ai vraiment eu l'impression de lire de Bukowski ce coup là ;-)

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  2. On a déjà dit des choses plus déplacées sur moi hé hé :)

    une fois de plus merci de ton passage.

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