elle était
blonde
Grande et pas
moins cinglée que la
majorité de
mes
gonzesses,
Elle répétait sans cesse qu’elle
Sortait
avec moi
par intérêt
et qu’elle ne m’aimait pas.
Je te laisse m’embrasser car j’ai besoin de toi.
Mais si tu viens à Riga,
je connais
des gangster, je leur
dirai de te
Tuer et jamais je ne coucherai avec
toi.
chaque soir
je la raccompagnais
jusqu’à sa
chambre d’hôtel
et elle
refusait de baiser avec moi.
Le premier
soir, elle m’a laissé devant la porte,
Le second
soir j’ai dormi dans son lit
mais
impossible
De fourrer
sa chatte, elle avait beau caresser ma poitrine
En disant “j’aime
ton corps,” elle a tout refusé, même
une simple
branlette
Le
troisième soir, je commençais à avoir les crocs
Et quand
elle a refait son cinéma avec mes pectoraux
J’aime ton corps mais jamais je ne
coucherai... gnagnagni... gnagnagna
(lancinant
refrain)
J’ai pris
sa main et je l’ai fourré dans mon caleçon.
Ça bandait
bien, (je ne buvais pas en ce temps là),
Et elle a
fait :
OOOOOH, J’AIME TON CORPS.
Elle s’est
mise à me branler frénétiquement,
comme une furie et finalement, j’ai réussi
à la grimper
mais elle n’a pas arrêté son cinéma
je ne coucherai jamais avec toi criait-elle
Et plus je
la limais,
Plus elle
gueulait que jamais je ne la baiserai.
Au bout
d’un moment, fatigué d’entendre ça
j’ai stoppé le va-et-vient
FERME LÀ, JE SUIS À L’INTÉRIEUR MAINTENANT !!!
AHHHHHHHHHHHH (fut sa réponse)
Après ça,
elle ne m’a plus emmerdé jusqu’à qu’on termine
J'ai vraiment eu l'impression de lire de Bukowski ce coup là ;-)
RépondreSupprimerOn a déjà dit des choses plus déplacées sur moi hé hé :)
RépondreSupprimerune fois de plus merci de ton passage.