on a baisé dans cette hôtel classe
de Johannesburg
la lumière allumée
sans tirer
les rideaux, au rez de chaussée
et on s’en
foutait d’être vus ou pas
si tant est
que l’un de nous d’eux s’en
soit rendu
Compte et
devenu vieux, nul doute que
je donnerai cher
(tout ce
que je posséderai ?)
pour
revivre des moments comme
celui là,
avec un corps comme le sien
entre mes
mains
pour jouer
avec sans retenue jusqu’au
petit matin
Putain,
C’était
sacrement bon,
Comme le
gout du feu sur la langue
Et c’est là
que j’apprenais
Ce que la
vie offre de meilleur
Car il faut
bien le dire,
En une
phrase comme en cent,
Les russes sont les meilleurs
baiseuses de la planète
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