mardi 11 septembre 2012

Comme si les flammes n’avaient déjà dévoré la maison


Un million de putains ont piétiné
Les trottoirs gris
De ma vie
Pissé sur les murs sales de mon
Existence,
Et je suis là planté devant
Ce telephone
Qui ne sonne
pas,

comme si jamais
Ô GRAND JAMAIS
            Je ne m’étais fait déchiré
Le Coeur en deux

            L’oeil larmoyant,
sans savoir quoi faire
            j’attend son sourire
et ses rires
            mais elle n’appelle
pas et ça me rend dingue

un million de putains
et je n’ai rien appris


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