lundi 19 septembre 2011

Quand je t'attendais

Quand l’absence est comme
une torture
quand l'acide coule dans les
veines

Je pourrai
frapper de toutes mes forces
sur des murs de béton

briser mes poings
juste pour me faire hurler

je pourrais
rester là
les mains en sang
à prier
pour que
tes yeux
me voient de nouveau

Tu sais bébé, il y a des nuits
où je parle à la lune

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