Les cheveux finissent par tomber et
le ventre par pousser
Alors tu sais que le
temps de la gloire
est passé
et tu restes assis à
attendre
Les bras posés sur
les accoudoirs de
ton fauteuil
Tu attends que ce téléphone
sonne
que quelqu'un passe,
que ce verre se vide
mais seule
La solitude s'invite
chez toi
Tu fermes tes fenêtres
pour te protéger du
froid
et tu oublies de courir
sous la pluie
Quand on cesse de compter
les femmes
on commençe à compter les heures
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