mardi 8 décembre 2015

La complainte du chauve soûl et un peu trop gras (Part 1)

Je commence à trop bien connaître
            Les brulantes joies de l’autodestruction

Rempli d’alcool, dingue, mon putain de cerveau en roue libre dans la nuit
il y avait cette jolie
Fille, sa peau noire était mon aimant, mais, dérisoire amant,
elle n’a pas désiré
                        l’ivresse de ma folie pour finir la nuit, on vieillit, on ne remporte
plus la mise, je suis usé jusqu’à la corde avec laquelle je me pends
à tes basques jolie fille
Et j’ai la colère pour toutes les fois où je bois
            Je voudrais vivre un million d’années
Mais qu’est-ce qu’une éternité sans amour sinon…
            Sinon de la glace autour du cœur jusqu’à ce que cessent
Ses
Désordonnés
            battements
Et je laisse une empreinte de sang sur le carreau
De ma cellule mentale, ah ah ah,
Ne parlez pas de rédemption
Ni de Dieu
Rien n’est vrai
            Tout meurt
Et dans ce monde où je trébuche jour après jour
            Souviens-toi
                        c’est Judas qui s'est goinfré la récompense !

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