Je voudrais être assis sur le perron
De ma maison
Comme une apparition dans le
soleil
tu viendrais
pour me sauver
Et je te laisserais faire
Comme je te laisserais faire
Si tu préférais
me tuer
me tuer
Bonjour, je m'arrête sous ce texte pour vous écrire un mot (mais cela aurait tout aussi bien pu être sous un autre, car j'ai aimé tout ce que j'ai lu et découvert aujourd’hui sur votre blog). J'ai été saisi par votre plume.
RépondreSupprimerDu coup, il me semblait que partir en silence, sans même vous formuler une infime partie de mon ressenti, aurait été un acte infiniment con.
Alors, voilà.
Merci pour vos mots à vous ! Ils sont de la chaleur dans cette route chaotique et solitaire qu'est l'écriture :)
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