Elle bossait la nuit, mais
pas toutes les nuits
Du coup on passait des après midi entière à
baiser
Parfois plus
Au début son clébard, un
tueur à quatre pattes en robe de Rottweiler
Grognait à chaque fois que je lui mettais une
fessée
Je l’entendais dans le salon
et je me demandais s’il allait surgir dans mon dos
pour planter ses dents dans mon cul ou ma
nuque
Mais avec le temps il a
finit par arrêter et on a fait copain-copain
bien que cela ne l’enchante guère, mais il savait
bien
Qu’il serait encore là quand elle m’aurait
oublié,
Il s’est montré patient
Un jour j’ai amené un gode
et elle se l’est enfoncé dans la chatte
tout en me suçant et après elle a dit
« tu as raison, je
pense que j’aimerai avec deux mecs, mais je ne suis pas
encore prête et ne
crois pas
que tu auras mon cul, je te l’ai dit, ça c’est
non !!! »
De toute façon, je n’ai
jamais été un grand adepte de la partouze, j’ai fait une croix sur
son postérieur
et on a continué à s’envoyer en l’air comme
des fous
une autre fois, on a fait
des photos, elle posait, je déclenchais
et on fumait des
clopes et on s’embrassait
en même temps
elle a fini nue avec des
menottes, elle était capable de pleurer devant
l’objectif, elle me
fascinait mais je ne lui disais pas
,
j’étais incapable d’aimer, il lui fallait
encore
régler un truc ou deux, elle comme moi
nous avions été brisé,
elle comme moi, nous n’avions pas encore
guéri
elle était belle, vraiment belle je veux dire
le genre de femme sur
laquelle on se retourne sans forcement avoir
le courage d’aller lui parler,
elle semblait inaccessible, mais la vérité vrai
la voici, elle était
incroyablement fragile et douce
j’adorais ses longs cheveux et
l’amour avec elle
c’était étreindre la lumière
c’était étreindre la lumière
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