dimanche 8 mars 2015

Celui-là sent un peu le foutre, mais pas que...

Elle bossait la nuit, mais pas toutes les nuits
                        Du coup on passait des après midi entière à baiser
Parfois plus

Au début son clébard, un tueur à quatre pattes en robe de Rottweiler
                        Grognait à chaque fois que je lui mettais une fessée
Je l’entendais dans le salon et je me demandais s’il allait surgir dans mon dos
                        pour planter ses dents dans mon cul ou ma nuque
Mais avec le temps il a finit par arrêter et on a fait copain-copain
bien que cela ne l’enchante guère, mais il savait bien
                        Qu’il serait encore là quand elle m’aurait oublié,
                        Il s’est montré patient

Un jour j’ai amené un gode et elle se l’est enfoncé dans la chatte
                        tout en me suçant et après elle a dit
« tu as raison, je pense que j’aimerai avec deux mecs, mais je ne suis pas
                                                encore prête et ne crois pas
que tu auras mon cul, je te l’ai dit, ça c’est non !!! »
De toute façon, je n’ai jamais été un grand adepte de la partouze, j’ai fait une croix sur
son postérieur
                        et on a continué à s’envoyer en l’air comme des fous

une autre fois, on a fait des photos, elle posait, je déclenchais
                                                et on fumait des clopes et on s’embrassait
                                                en même temps
elle a fini nue avec des menottes, elle était capable de pleurer devant
l’objectif, elle me fascinait mais je ne lui disais pas
,
                        j’étais incapable d’aimer, il lui fallait encore
régler un truc ou deux, elle comme moi
                        nous avions été brisé,
                        elle comme moi, nous n’avions pas encore guéri

                        elle était belle, vraiment belle je veux dire
le genre de femme sur laquelle on se retourne sans forcement avoir
                        le courage d’aller lui parler,

 elle semblait inaccessible, mais la vérité vrai la voici, elle était
                        incroyablement fragile et douce
j’adorais ses longs cheveux et
                                    l’amour avec elle
                                    c’était étreindre la lumière

Aucun commentaire :

Enregistrer un commentaire