L’amour se nourrit
d’une certaine amoralité charnelle
(Ceux qui
dictent la moralité et ses règles
vénèrent des Dieux pour se laver
d’une illusoire et chimérique
culpabilité de la chair)
Le désir et son
expression
sont la plus absolue liberté
qu’offre l’esclavage
de deux cœurs liés par les flammes
De la passion
Je ne me verrais pas t’aimer
sans mordre ta peau
jusqu’au sang
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