J’avais garé la voiture
sous son immeuble
Et elle a dit,
« comment ça se passe avec tes actrices pornos ? »
- je les prends
par les cheveux en levrette et je claque leur cul
en les traitants de putes
- Jamais tu ne
feras ça avec moi
Sans doute que je l’ai fait,
mais ça m’a pris du temps, une ou deux semaines
de
plus
Le sexe, l’amour, l’amitié ne sont que des histoires de
jeux et
de confiance
il a bien fallu
que je la mérite, elle ne
soldait pas sa beauté au premier dingue venu
et mentir ne m’a jamais
intéressé,
(la vérité est une défaite honorable)
J’aimais bien quand je
l’embrassai
Elle adorait me sucer
Un jour je suis venu avec
des menottes et je l’ai accrochée
après une tringle à rideau et je l’ai baisée
debout
en claquant ses jolies fesses,
après tout
Elle n’appréciait plus autant qu’elle
l’avait prétendu
la
sensualité
A la fin, elle a dit
« on ne m’avait jamais attachée, je garde les menottes »
Et il arrive que je me demande
Qui s’en sert avec elle maintenant
Elle avait de longs cheveux
noirs, on fumait des cigarettes
Avant et après l’amour
Et pendant une fois ou deux
Pour la beauté du geste
Pour la beauté du geste
On aurait pu faire un truc bien tous les deux
Mais ni elle ni moi
n’étions l’Amour de l’autre
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