« j’ai
découvert le pot aux roses il y a deux jours
… il a fait de moi
une
muse-pute … une pute artistique »
… …
elle est remplie de souffrance
mais ne
veut pas que je raconte
le pourquoi
du comment, ce qui rend
difficile
la compréhension d’une partie
de ce
poème, mais j’imagine que tu auras
compris qu’elle
parle
d’un menteur de plus sur la
sinuosité
d’une route
déjà bien trompeuse
et voilà mon héroïne,
âme indomptable
aux ailes à nouveau en
flammes,
affublée
d’un nouveau surnom
Moi, j’aime
bien cette expression
muse-pute
après tout
j’ai couché
avec bien des putes
mais embrassé une seule
muse-pute
(elle, de
la pleine lumière dans mon regard)
Ceci dit,
je ne
comprendrais jamais le genre masculin
et son atavique besoin de mentir
pervertir
une réalité ôte la magie de l’histoire
avant même le
premier baiser
bien sur,
aucun
d’entre
nous (les hommes) ne mérite la beauté
des femmes,
nous devons la conquérir
mais, amer
poison, le mensonge
rend la défaite honteuse et
laide la victoire
sous les masques, aucune gloire
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