La nuit
attend de mourir,
Et perdu
dans un rêve inutile
J’ai envie d’allumer une cigarette,
J’ai besoin d’aimer à en crever,
Mais tout
ça,
J’ai arrêté
Il reste la
brûlure de l’alcool
La solitude tenue à bout de bras
Il me
suffirait d’un rien
mordre une chair offerte
laisser
s’affoler mes sens,
me perdre à nouveau dans le goût sublime du péché
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