Je connais ton regard et bien sur il doit faire
bon
s'endormir près de ton parfum, je pourrai aimer
cette peau et m’abriter au creux de ce cœur
Il me vient comme une envie de te montrer mes larmes
et mes cicatrices, te demander
de poser tes lèvres là où les couteaux ont touché
mais le vent souffle et je sais que la tempête ne
marche jamais loin derrière moi
toujours elle finit par me rattraper, tout ça
n'est que l’œil du cyclone, j’entends résonner le
rire de la Folie au milieu des bourrasques, elle sait
bien que son heure est proche
je suis celui qui veut mourir bientôt ne me laisse
pas t'approcher j'ai si peur que tu puisses sauver
mon âme des flammes
L'auteur des vers ci dessous m'avait laissé ce commentaire que j'ai effacé par mégarde je le remets, (il vient de http://poemespourcafard.blogspot.com/2011/10/une-autre-blessure.html) :
RépondreSupprimerDans les reflets de tes lames de rasoir
ce n'est pas un remède qu'il me faut
mais une nouvelle blessure à ouvrir.