Il y a ce truc qui
coule en moi, ce besoin sourd en un seul mot
liberté
règles et chaines
doivent être brisées
mon âme est plus libre
que vos morales
prisonnier d’un ordinateur et des comptoirs
j’ai le gout de la
fuite sur le bout de la langue
donne-moi d’autres soleils,
sinon je m’affole,
laisse moi aspirer le vent,
remplir mes poumons
pour courir plus loin, hurler plus fort
tu sais bien que je me vends
pour
une aurore boréale
ou la caresse d’une main sur mon
visage
Voilà le matin et déjà
ma peau desire se frotter à une nouvelle
égérie, ne me pardonne pas mon
amour
nos nuits donnent au jour sa lumière
inconstant et instable,
je tourne en rond dans la plupart des histoires
aussi délicieux que soit l’appât
je sais reconnaitre une cage
les prisons m’effraient plus
que la mort
loin des poudres
éphèmères je me drogue aux secondes d’éternités
la poésie du bleu est l’héroine chaude qui
coule le long
de mes veines fissurées
jusqu’à toucher un Coeur affamé de vie
L’oeil enfiévré, la
solitude et la douleur vissées aux tripes
je brûle debout
il faut être une flamme pour abattre l’obscurité
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